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Le Petit Chaperon Rouge

Chapitre 1

Zoophilie
Il y a fort longtemps, une jeune demoiselle de dix-huit printemps, le village n’en avait compté de si ravissante depuis quelques décennies. Sa mère, veuve peu après sa naissance, lui transmit une éducation stricte.Sa mère-grand l’affectionnait, elle lui confectionna un somptueux chaperon rouge. La ravissante demoiselle ne sortait jamais sans en être vêtue. Les villageois la surnommaient le Petit Chaperon Rouge.Quelle créature superbe ! Sapristi ! L’avenir promettait de la rendre aussi ravissante que sa mère. Pour le moment, ses petits seins tendaient son corsage. Sa taille s’était affinée, ses hanches se faisaient prometteuses.Un chasseur s’était installé dans le voisinage, il y a quelques années. Oh qu’il était disgracieux ! Son regard vous glaçait le sang ! Sa longue barbe, sa musculature imposante, lui concédait une allure sauvage. Ses chemisettes entre-ouvertes dévoilaient sa peau velue. Sa prestance effrayante lui valut le sobriquet de Loup.Un jour, la mère du Petit Chaperon Rouge ayant cuit des galettes, lui dit :– Va visiter Mère-grand ! On dit qu’elle est souffrante, rapporte-moi des nouvelles ! Tu lui porteras une galette et un petit pot de beurre.
Mère-grand habitait le village voisin. Il y avait bien deux kilomètres jusqu’à sa maison. Pour s’y rendre il fallait traverser un bois, dans lequel travaillaient des bûcherons, ce qui assurait la sécurité de l’enfant.Le Petit Chaperon Rouge se mit donc en route, toute guillerette de pouvoir se promener seule par les sentiers. Arrivée dans le bois, elle rencontra Loup qui s’était posté sur sa route.– Bonjour, Petit Chaperon Rouge ! Où vous rendez-vous ainsi ? Demanda-t-il d’une voix doucereuse.– Bonjour, Loup. Je m’en vais voir Mère-grand qui est malade. Je lui porte une galette et un petit pot de beurre. C’est Mère qui m’envoie.– Où vit ta Mère-grand ? Est-ce bien loin ?– Oh oui, c’est loin ! C’est à l’orée du bois, la première maison à l’entrée du village.– Je pourrais peut-être aller lui dire bonjour, moi aussi.– Oh ! Oui, si tel est votre souhait. Vous ne pourrez manquer sa maison, les volets sont de la même couleur que mon chaperon. Nous pourrions cheminer ensemble.– Non ! Je dois auparavant m’acquitter d’une tâche ingrate. Prenez donc ce raccourci, vous arriverez plus rapidement ; moi, je vais par l’autre chemin ! Nous nous retrouverons certainement là-bas.
Le Petit Chaperon Rouge fit confiance à Loup. Comment aurait-elle pu imaginer qu’il lui faisait faire un long détour qui retarderait sa course. Sa mère ne lui avait jamais dit de se méfier des mauvaises rencontres que l’on pouvait faire en chemin ; pourquoi n’aurait-elle pas fait confiance à un homme aussi gentil qui allait, lui aussi, dire bonjour à Mère-grand.
La demoiselle continua sa route et, puisqu’il s’agissait d’un raccourci, elle prit son temps : elle écoutait les chants des oiseaux, admirait les papillons qui volaient de fleur en fleur, observait même des petits lapins qui jouaient près des fourrés. Elle cueillit de belles fleurs des champs et des bois pour en porter un bouquet à Mère-grand, se promettant de faire de même au retour pour sa mère.
Loup n’avait pas perdu son temps ! Il était arrivé rapidement à la maison de Mère-grand. Il toqua à la porte : toc, toc.– Qui est-ce ?– C’est votre petite fille qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie, dit Loup, sa voix déguisée en celle du Petit Chaperon Rouge.
L’aïeule, qui était dans son lit malade, cria :– Tire la chevillette, la bobinette cherra !Loup tira la chevillette et quand la porte s’ouvrit, Mère-grand lui dit :– Déshabille-toi et viens me retrouver dans mon lit !
Elle n’avait pas regardé qui était entré. Loup se lécha discrètement les lèvres. Il allait de toute façon se déshabiller. Près du lit, il envisageait de mettre Mère-grand hors d’état de nuire à son projet. Loup souleva les draps, une grand-mère aux courbes sensuelles s’offrit à son regard. Son corps a été préservé des marques du temps ! La virilité de Loup réagit aussitôt, une érection impressionnante tendit son pantalon ! Le pauvre, ça faisait plus d’un mois qu’il n’avait pas courtisé une femme !
Mère-grand, surprise d’être ainsi exhibée, découvris les promesses que lui suggéraient l’érection de Loup, s’exclama :– Ah ! C’est vous, Loup ! Vous êtes en pleine forme ! Le manque d’amour me fait souffrir ! Rappelez-moi ma torride jeunesse !Les yeux de Mère-grand brillaient d’un désir insatiable. Sa salive perlait aux coins de ses lèvres.– Si tel est votre désir, dit Loup, présentez-moi votre belle croupe !
Loup retira son accoutrement de chasseur pour révéler sa nature abominable : un loup menaçant pourvu d’une mâchoire acérée et d’un membre rouge érigé.
Mère-grand n’hésita pas et lui présenta sa belle croupe pour qu’il la saillisse. Le loup eut tôt fait de la couvrir de son corps immense et velu. Il s’enfonça bestialement en elle. Ses mains griffues empoignaient ses flans et de temps en temps soupesaient ses seins opulents. Ce fut le plus rude des accouplements que Mère-grand n’ait jamais vécus ! Loup lui offrit un plaisir immense, avant de se déverser en elle !
Loup se retira de cette belle croupe. Elle n’eut pas le temps de lui exprimer sa gratitude. Il l’attrapa, la bâillonna, la ficela et la flanqua nonchalamment dans la pièce à côté.
Puis, Loup couvrit sa tête avec la coiffe en dentelle que Mère-grand porte la nuit. Il se cacha ainsi le visage et se coucha dans le lit. Il patienta jusqu’à l’arrivée du Petit Chaperon Rouge et elle ne tarda pas ! Toc, toc !– Qui est-ce ?Le Petit Chaperon Rouge hésita, la voix de Mère-grand lui semblait plus grave qu’à l’habitude, mais elle pensa que c’était la maladie.– C’est votre petite-fille, le Petit Chaperon Rouge. Je vous apporte une galette et un petit pot de beurre que Mère vous envoie.
Loup lui répondit :– Tire la chevillette, la bobinette cherra !Le Petit Chaperon Rouge tira la chevillette et la porte s’ouvrit. Loup, la voyant entrer, se cacha sous la couverture et lui dit :– Pose la galette et le petit pot de beurre sur la table et viens te coucher près de moi.
Le Petit Chaperon Rouge se déshabilla bien vite. Elle ne garda pour tout vêtement qu’une petite culotte blanche qui moulait délicieusement ses petites fesses. La jeune demoiselle vint se coucher près de celui qu’elle croyait être Mère-grand, cachée sous la couverture. Elle se blottit contre lui et celui-ci l’enlaça et la serra très fort. L’enfant fut bien étonnée :– Oh Mère-grand, comme vous avez des poils doux et soyeux sur tout le corps !– C’est pour que tu sois mieux contre moi, mon enfant !– Oh Mère-grand, que vous avez de grands bras !– C’est pour te serrer plus près de moi, mon enfant !
Et c’est vrai que le Loup la blottissait contre sa poitrine musclée et que ses mains caressaient son dos et ses fesses encore couvertes de sa petite culotte. Même sous le tissu, elles semblaient si mignonnes. Il humait la délicieuse odeur proprette de ses cheveux et de sa peau.
Le Petit Chaperon Rouge savait bien que ce n’était pas Mère-grand. La situation inattendue aurait dû la faire fuir. Les deux femmes s’adonnaient régulièrement à des plaisirs mutuels, dans le secret de la mère. Vivre ces sensations qu’elle chérissait tant avec un inconnu, l’étourdissait. Une protubérance vigoureuse pressait la tendre paroi de son ventre. Son jeune corps innocent était saisi de frissons, de faiblesse et de tremblements... Elle se blottit plus fort contre la fourrure soyeuse du loup, sa peau frémissait au doux contact sensuel. Son regard éperdu de désir croisa les yeux jaunes du prédateur. La demoiselle aurait dû être effrayée, mais la curiosité et la tentation de lui céder l’emportaient sur sa raison. Ce jeu de séduction, l’excitait.
– Oh Mère-grand, que vous avez de grandes mains !– C’est pour mieux te caresser, mon enfant !
Son ventre se contracta délicieusement. Un courant électrique aussi léger qu’une envolée de papillons caressa son intimité. Elle désirait sentir ses grandes mains griffues sur tout son corps et découvrir les nombreux plaisirs qu’un mâle pourrait lui offrir.
Et les mains parcoururent tout son corps, caressant ses jeunes seins sensibles, son ventre au bas duquel poussait un joli petit duvet, elles descendirent même entre ses cuisses, passant sous la petite culotte qu’elle avait gardée et écartant les lèvres mignonnes. Ses doigts experts caressaient délicatement son bouton d’amour, parfois ils glissaient sur l’entrée soyeuse.
Le bassin juvénile se berçait instinctivement au rythme des caresses envoûtantes. Les timides soupirs de la demoiselle muèrent en doux gémissements effrontés. Sa liqueur se répandait en longs filets continus.
Le loup lécha ses babines avec gourmandise. Le Petit Chaperon Rouge découvrit ses crocs aiguisés. Elle se demanda s’il serait capable de la blesser, alors qu’elle ne rêvait que de douceur et de sensualité.
– Oh Mère-grand, que vous avez de grandes dents !– C’est pour mieux te manger mon enfant !
Le Loup commença à l’embrasser d’abord sur les joues, puis sur la bouche. Que c’était agréable, surtout cette langue qui occupait toute sa bouche !
– Oh Mère-grand, que vous avez une grande langue!– C’est pour mieux te lécher mon enfant !
Et la langue parcourut les moindres parcelles de ce corps qui se livrait et qui s’éveillait à des sensations inouïes. Le Petit Chaperon Rouge se tortillait de plaisir sous ses caresses brûlantes. Son esprit n’était plus qu’une coupe de champagne translucide, ses muscles ne répondaient plus, son pouls cognait à ses oreilles, son ventre se serrait, sa culotte se mouillait. Ses yeux aveugles ignoraient le prédateur qui jaillit des vêtements désuets de la douce mamie – le loup !
Ses crocs arrachèrent la petite culotte. Le Petit Chaperon Rouge poussa un petit cri surpris. L’excitation d’offrir son corps encore innocent l’envahit. L’animal pressa son museau affamé et curieux entre ses jambes ouvertes, humant, goûtant pressant de délicates insistances... et à chacune d’elle le beau corps s’engourdit, comme parcouru d’un bourdonnement électrique basse fréquence.
– Ooooh ! Gémit la délicieuse demoiselle dans sa fièvre.
Cette langue vint s’enfoncer profondément dans son sexe, lui apportant en cet endroit un plaisir qu’elle n’imaginait pas être possible. Les contractions régulières de son intimité la berçaient, l’apaisaient et la transportaient, irradiant de merveilleux chatouillements ses plantes de pied...L’intensité de ces sensations s’amplifiaient par vagues déferlantes jusqu’à un paroxysme qui laissait la demoiselle en pleurs, gémissante, haletante, sa peau ne supportant qu’avec peine un souffle d’air ou la caresse du drap.
Autour d’elle, la modeste demeure de Mère-grand est devenue le château de la Belle au Bois Dormant, le temps s’est suspendu... une éternité... un instant...
Le loup était ému par tant de générosité. Son regard parcourait sa proie, ses griffes aussi. Elles frôlaient ses longues jambes délicates, remontaient sur le pubis, la paroi tendre de son ventre, les dunes de ses seins doux et fermes, dessinaient un cercle autour des tétons dressés... Les griffes revenaient tranquillement jusqu’aux chevilles délicates...
Le Petit Chaperon Rouge, tout d’abord apaisée par ce délicat ballet, sentit pourtant sa respiration se bloquer à chaque passage, des frissons courir le long de son épine dorsale. Son souffle se fit rauque et profond, elle soupirait et ondulait, comme rampant sur les draps froissés... Ses cuisses s’écartèrent, son bassin se tendit, la demoiselle était prête à lui offrir le meilleur d’elle... Le frottement du tissu sur ses reins et son dos ne fit qu’accentuer son trouble, la chaleur qui inondait son corps... L’appétit du terrible prédateur s’aiguisait à la vue du sexe ouvert, gonflé de désir, trempé de nectar.
Le Petit Chaperon Rouge, intimidée par sa dangerosité dissimulée derrière sa patience, parcourut le corps du mâle du regard.
– Oh Mère-grand, que vous est-il donc poussé au bas du ventre ? S’écria la tendre demoiselle en découvrant le sexe tendu du loup. Mon Dieu, que c’est grand !– C’est pour te donner plus de plaisir mon enfant !
Le Petit Chaperon Rouge approcha timidement sa main de cette verge offerte. Ses doigts l’effleurèrent.– Quelle douceur… soupira-t-elle.– Oh Petit Chaperon Rouge… Gémit Loup qui ne s’attendait pas à se revirement de situation.– Apprends-moi à faire l’amour, l’implora-t-elle.
Son regard tendre troubla le loup. Il s’allongea à ses côtés, la blottissant contre sa poitrine musclée. Le Petit Chaperon Rouge se pressa contre la fourrure soyeuse en ronronnant. Sa main caressa le poitrail brûlant, un gros cœur battait rapidement sous sa paume. Les poils s’affinaient sur son ventre plat et musclé. Ses doigts effleurèrent la proéminence rougie, elle frétilla nerveusement. Le regard troublé du loup bouleverse la curieuse demoiselle. Ses doigts suivaient le motif veiné en relief, puis s’enroulèrent autour de la verge épaisse, sans pouvoir en faire le tour.
Le loup les enveloppa de sa grosse main griffue. Il les entraîna dans un mouvement ample et caressant sur toute la longueur. Le Petit Chaperon Rouge regardait leurs mains liées aller sur ce sexe intimidant, faire un mouvement circulaire de la paume sur le gland et revenir à la base. Ses doigts pressés moulaient les veines épaisses. Le souffle du loup se fit rauque et profond, ses soupirs semblables à des grognements bestiaux excitaient la demoiselle. Ses yeux aveuglés de désir l’observaient.
Le Loup voyait dans son regard tant d’amour et de tendresse qu’il accusa le coup. Il n’avait eu à répondre qu’à des regards de haine et de méchanceté. Et le sien n’avait eu à réfléchir que ces sentiments. Mais là ? Il était désemparé.
Le Petit Chaperon Rouge reconnu le regard du voisin. Il n’avait plus rien de disgracieux à ses yeux.
La main de Loup lâcha celle du Petit Chaperon Rouge. Il s’abandonnait à sa sensualité, tandis qu’il caressait son dos et ses fesses. La demoiselle porta le gland à ses lèvres, décidée à lui offrir autant de plaisir qu’elle en avait eu. Elle le huma et l’embrassa tendrement, puis la pointe de sa langue le caressait, le titillait comme s’il s’agissait du bouton d’amour de Mère-grand.
Loup lui apprit à le goûter profondément, à lui donner les merveilleuses caresses qui le faisaient frissonner de plaisir et l’enivraient. Le doux regard du Petit Chaperon Rouge le troublait. Il pouvait y lire sa joie de découvrir les plaisirs qu’elle lui procurait.
Il l’attira doucement à lui et l’allongea sur le dos en l’embrassant langoureusement. Loup se cala entre ses cuisses et présenta son gland à cette petite fente virginale. Il pressa délicatement l’entrée soyeuse. La longue verge épaisse de l’animal glissa dans le fourreau brûlant et humide.
Le Petit Chaperon Rouge hoqueta de douleur. Son corps se crispa sous celui de Loup. Il s’immobilisa, embrassant sa bouche, ses joues, son cou.
– Ça fait toujours un peu mal la première fois, la rassura-t-il. Mais n’aie pas peur ! Je vais attendre un peu et quand tu auras moins mal, tu prendras beaucoup de plaisir.– Tu es sûr Loup ?
Le loup vit tant d’espoir et de confiance dans son regard, qu’une fois encore elle le surprit. L’innocence du Petit Chaperon Rouge faisait fondre la glace de son cœur, le bouleversait jusqu’au plus profond de son âme meurtrie.
Aussi, quand il la sentit un peu apaisée, son corps se remit à se mouvoir. Loup ne quitta à aucun moment les yeux si clairs de la jeune fille et il les vit se remplir de douceur. Il mettait une infinie tendresse dans ses mouvements. Loup ne s’était jamais cru capable de tant de retenue et de délicatesse.
Puis, les yeux de la demoiselle se remplirent du désir qui montait en elle ; de tendresse envers lui qui était en train de la faire femme ; de joie de ne pas avoir été trompée ; du plaisir qu’elle pouvait éprouver à mesure que les coups devenaient plus rapides et enfin de la jouissance qu’elle ressentit pour la première fois.
Oh ses yeux ! Comme ils se remplirent de bonheur et alors, pour la première fois lui aussi, il éprouva le bonheur d’aimer une femme et il se sentit beau dans le regard d’un autre, d’une autre ! Alors Loup prit son temps pour l’amener une deuxième fois à cette jouissance.
Serrés l’un contre l’autre, ils se dirent qu’ils s’aimaient et qu’ils ne se quitteraient jamais plus. Dès le lendemain, avant que le soleil ait blanchi l’horizon, ils quittèrent le village et personne ne les vit partir.Alors s’installa dans la région cette légende d’un Petit Chaperon Rouge qui aurait été mangée par un loup.
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