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Petite bite

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Emma épouse de Thierry, assistance de direction chez Moumoute SAThierry asset manager dans la banque machinTom, directeur de Moumoute SaMira sa femme
Emma.
Dans mon ménage avec Thierry, c’est un peu moi qui porte la culotte comme on dit. mon chéri, m’adore et je l’aime aussi beaucoup, il est plein d’attention pour moi, cela fait 5 ans que nous nous sommes mariés et avec le temps, la frénésie des jeunes couples s’est calmée pour prendre une relation calme. Du point de vue sexuel, ce que j’aime chez mon mari, c’est son sexe d’enfant, qui tient bien dans ma main et il remplit en permanence de mon fantasme de relation avec de jeunes gens. Par comparaison, je suppose que cela correspond à l’exigence des sexes glabres féminins qui se rapproche à ceux des filles pas encore nubiles ou juste nubile avant que les poils poussent. Il faut dire qu’il n’a que peu de poils. J’aime son odeur fraiche et le goût de son sperme me fait toujours fondre. Mais mon mari, a toujours souci que je ne sois pas satisfaite de ses performances, un peu comme tous les hommes et il tremble toujours que j’ai des aventures avec d’autres hommes plus membrés que lui et que je le délaisse. J’ai beau lui expliqué que c’est justement ce que j’aime en lui, surtout il est très efficace dans les préliminaires et n’oublie rien pour que je soie très excitée. Rien ne le rebute dans mon corps, il lui arrive même de me nettoyer la chatte après que j’aie pissé, ce que je ne fais pas en retour, je lui demande toujours que son rigatoni soit toujours propre si il veut que je le suce. Le fromage de bite, peu pour moi. Â mon travail, mon chef a toujours des yeux sur moi, je sens qu’il aimerait bien que je lui cède, mais je résiste, enfin jusqu’à la dernière fête de l’entreprise. Mais je n’ai jamais trompé mon mari, trouvant mon bonheur avec lui. A la fête de l’entreprise, nous étions assis tous dans une grande salle où les couples officiels ont été systématiquement séparés pour créer un climat d’échange et éviter des clans de gens mariés et chacun a été laissé à lui-même. Mon mari s’est trouvé justement à coté de la femme de mon chef qui lui faisait un gringue pas possible, à croire que mon chef avait donné des instructions à sa femme pour lui laisser le champ libre. A la fin du repas principal, il y a eu une partie dansante où à nouveau, les couples officiels ont été exprès séparés. C’est ainsi que mon mari s’est trouvé harponné par la femme de mon chef alors que celui-ci m’a invité sur la piste.
— Tu as vu ton mari avec ma femme, ils ont l’air de bien s’amuser !— Vous n’êtes pas jaloux. — Non, j’aime bien qu’elle s’amuse un peu, mais moi aussi. Pas toi ?
J’étais bien empruntée de lui répondre, c’est mon chef direct, je ne voulais pas le braquer.
— Oui évidement, s’amuser il le faut parfois.— Est-ce que tu as déjà trompé ton mari ?— Non, il me convient bien, il est charmant. — Tu n’as pas envie d’essayer ? — Mais on a des relations de travail directes, c’est pas très correcte.
— Je sais, mais oublie ce soir que je suis ton chef, cela ne te dirait pas de flirter un peu— Flirter, pourquoi pas, cela me rappellera de bons souvenirs.
Sur ce la danse de relativement vive commence une série de slows et je vois que mon chéri se laisse un peu aller avec la femme de mon chef. Je ne l’ai pas autorisé à se laisser draguer. Mon chef, constatant que l’autre couple se donne un peu de bon temps, me ressert dans ses bras, C’est pas désagréable, je sens ses lèvres dans mon cou, j’en frisonne.
— Tu as froid ?— Non, mais je suis sensible du cou et les poils de ta moustache m’ont chatouillée. — Qu’est-ce que cela serait si j’avais posé un baiser ? — Je ne sais, tu peux toujours essayer si je supporte, je réponds en voyant l’autre couple qui est en train de se rouler des pelles.
Mira :
Avec mon mari, nous avons un rapport amoureux assez pour ne pas dire totalement libre. Mais étant le moteur de la famille, souvent il me donne des missions pour l’arranger. J’ai des ordres de mon mari, il m’a dit qu’il aimerait bien séduire son assistante et qu’il faut que je m’occupe de son mari pour qu’il réussisse dans son entreprise, enfin pas l’entreprise travail, mais l’entreprise de draguer.Je me suis arrangé pour être placé juste à coté. C’est un homme assez timide et courtois. Il travaille dans un banque, mais très rapidement on a abandonné les discussions de travail pour se trouver un point commun, il adore les vêtements féminins, il aime bien habillé sa femme. Je craque un peu pour lui, il me semble l’opposé du macho classique, je sens que je vais prendre du plaisir dans cette mission. Voila, il y a une proposition de danse après le repas. Il me prend dans ses bras et je me laisse aller et je le drague franchement je me sens rajeunir. Mon mari veut que je le drague, je vais vraiment le draguer avec plaisir. J’ouvre un peu ma veste ce qui met en évidence ma poitrine et je me frotte un peu contre lui. ça y est j’ai réussi à le harponner, je rapproche ma bouche de la sienne et d’un coup je sens sa bouche se poser sur la mienne. Pas aussi timide qu’on pouvait le penser. Il faut dire que voyant mon mari entreprenant sa femme, le pousse un peu à attaquer. Je sens ses mains qui me pelotent mes fesses. Je vais glisser subrepticement ma main entre nous, il n’a pas l’air d’avoir une grosse queue, peut-être qu’il lèche ce que j’apprécie le plus. Je lui demande :
— En amour qu’est ce que tu aimes le mieux ?— Tu sais, j’aime c’est les préliminaires, J’aime l’odeur de ma femme et le goût de sa peau. Mais j’aime aussi bien ton odeur. — Cela te plairait de coucher avec moi. — Je n’ai jamais trompé ma femme, j’ai un peu peur, elle est ici. — N’ai donc pas trop peur, j’ai l’impression que mon mari est très intéressé de la séduire et moi c’est toi qui me séduit. J’adore les préliminaires et mon mari n’en fait jamais, on est fait pour s’entendre. — Si c’est sans trop de risque, je veux bien. — Tiens, mon mari me fait un signe.
Je me dirige vers les toilettes et je vois mon mari qui s’approche pour savoir où j’en suis dans mon entreprise de séduction. Je le rassure que la chose est en bonne voie. Il me dit que je peux rentrer quand je veux avec la voiture du mari, lui se chargera d’Emma, de la raccompagner dans la chambre à coté de la notre pour voir comment on le fera. Je sais que ce cochon, il aime me voir baiser avec des autres, il parait que cela l’excite. Je retourne à notre place et je demande à Thierry :
— Je suis un peu fatiguée de cette fête, peux-tu me raccompagner avec ta voiture, Mon mari m’a dit qu’il se chargeait de ramener ta femme, je suppose qu’il va essayer de la séduire, c’est un coureur terrible, mais je le tiens par les couilles. On essayera de se prendre un peu de bon temps.
— On prend encore le dessert et on part. Le reste risque de ne pas être intéressant.— Je me réjouis d’avoir une aventure avec toi, j’ai l’impression que ce sera très bien.
C’est ainsi que on s’est retrouvé dans ma chambre nuptiale et je savais que mon mari va venir derrière le miroir pour assister comment on baise. Cela m’excitera horriblement. Il ne m’a pas menti, il déguste ma moule, après la soirée alors que j’ai quand même un peu transpiré, il a l’air d’être aux anges de me savourer. Le cochon, il m’a lécher les aisselles, inutile de dire que cela m’a excitée un max. Rien ne le rebut, il me suce comme un fou, son petit sexe est tendu comme pas possible. Comme dit la réclame une queue en bronze pour une fente en or.
Récit Emma
Je trouve que si mon mari n’est pas connu des autres membres de notre entreprise, la femme du directeur semble sans complexe. Elle est assez agressive sexuellement parlé. Peu de retenue et mon dadais de mari est en train de se faire draguer dans tout les sens du terme. Je vois que les lèvres de mon chef se rapprochent dangereusement de mes lèvres, à nouveau, je ne suis pas trop à mon aise. Je sens ses mains qui me massent les fesses essayant de deviner si j’ai un dessous, culotte ou string. Non mais ce cochon, il me masse carrément la raye du cul, je ne peux quand même pas lui coller une avoine. Je suis paralysée, enfin, il quitte le sillon de mes fesses. Oh le salaud, c’est pour me tâter les nichons. Il est assez brutal, vraiment rien à voir avec la délicatesse de mon chéri. Mais malgré tout c’est pas désagréable. Surtout que j’ai l’impression que mon chéri qui a mis sa main sur la motte de la femme de mon partenaire. On se croirait dans un club d’échangistes.
Le slow se finit sans autre chose et on regagne la table pour finir le repas, mon chef fait signe à mon voisin de lui laisser la place à mes cotés.
— Comment trouves tu le vin, je vois que tu n’y a pas trop touché, il est mauvais.— Je ne bois pas beaucoup, mais il est très bon. — Trinquons à nous dit-il en levant son verre et en me regardant profondément dans les yeux. — Santé et prospérité. — Justement parlant de prospérité, je vois que cela fait 5 ans que vous êtes mariés, mais vous n’avez pas de famille, c’est volontaire ? — Non, mais la cigogne ne doit pas passer sur notre maison.
Je réponds, sans vouloir donner des détails précisant que mon mari n’a pas un sperme suffisamment fort pour assurer une descendance.
— Hum. Alors buvons un autre verre en espérant que la cigogne passe chez vous. Mais il faut boire cul sec pour que cela ait de l’effet.
Je pense qu’il veut me saouler pour pouvoir profiter, mais d’un autre coté, je vois de l’autre coté de la salle que mon homme prend des libertés un peu trop grandes. Zut, on ne vit qu’une fois.
— Tchin !
Et je bois d’un trait ce verre d’excellent bourgogne, Baune village. C’est à ce moment qu’on apporte le dessert, 3 magnifiques tourtes Forêt noire, ma préférée. Elle est encore meilleure que ce que je connaissais, très légère. Tiens que fait donc la main de mon chef sur ma cuisse. Il prend un peu des libertés, mais c’est vrai que c’est un peu le thème de la fête, resserrer les liens entre les employés, mais là, il pousse un peu loin le bouchon, surtout que sa main, à l’intérieur de ma cuisse remonte bien assez haut. Je me retourne vers lui, avec un visage interrogatif et surpris quand je vois que ce cochon a l’air bien excité vu la déformation de son pantalon.
— Tu veux quoi ?— J’aimerai bien coucher avec toi !— Mais je suis mariée !— Je le sais, moi aussi, mais avec ma femme on est assez libre, cela ne m’étonnerait pas qu’elle embarque ton mari. — Quand même, ils vont consommer où ? — J’ai une grande maison qui se prête bien à cela. — Ah ! Finalement cela pourrait être une expérience intéressante, pensant que peut-être cela aidera ma promotion. — Tu es partante ? — À voir mon coquin de mari qui profite de la situation, pourquoi pas. J’espère juste que je ne vais pas le regretter— Pas de raison.
À ces mots, il se lève et fait signe à sa femme pour aller vers les toilettes. Discrètement, je les suis curieuse et j’assiste à ce dialogue :
— Tu en es où avec son mari ?— Il est bien chaud, il a l’air très mignon, mais il semble un peu timide. Je ne sais si je vais pouvoir le décider. — Débrouille toi, je pense que sa femme est partante si son mari est occupé. — Bon on se revois après les cafés, si tu me vois partir avec lui, c’est que c’est dans la poche. — Merci, je te revaudrais ça. — Bonne chance.
Je fais semblant à ce moment là d’arriver pour me rafraîchir et je les laisse sortir alors que mon chef me regarde à nouveau intensément. Stop pas ici je me dis, il ne faut quand même pas exagérer et je lui rends pas son regard. Laissant passer un peu de temps, le temps de vider ma vessie, je retourne à ma place. Je me rends compte que c’est un coup monté, mais je suis curieuse et j’aimerai bien voir comment cela va évoluer, surtout mon chéri qui me surprend.
— Si tu veux après les cafés, comme pousse-café, je te recommande l’armagnac à l’orange, c’est une pure merveille. Ensuite pourra poursuivre la soirée chez moi, cela commence à ne plus être intéressant. — Ce que je ne veux pas, c’est que mon mari l’apprenne, par contre, j’aimerai bien avoir la preuve de son infidélité. — Cela peut s’arranger, mais il y a la question des voitures. — Tu pourrais suggérer à ta femme de rentrer plus tôt et il pourrait la raccompagner avec notre voiture et moi je dirais que je veux encore rester et que tu me raccompagneras . — Bonne idée.
Je le vois refaire un signe à sa femme pour mettre au point la stratégie et peu après, il revient.
— C’est arrangé, je crois que ton mari a l’air très intéressé.— Mais je ne veux pas qu’il puisse se douter entre nous. — Promis. Et sur cela il me réinvite à venir danser.
Nous tournons sur la piste sur une valse quand on remarque que mon mari, sans rien me dire sort avec la femme du chef très galant, pour ne pas dire trop galant. Voyant cela, mon chef me dit :
— On va leurs laisser un peu d’avance, Je lui ai dit qu’ils s’installent dans notre chambre, à coté il y a une autre chambre où on peut voir ce qui se passe.— Tu fais souvent ce genre de chose ?— Cela m’excite au plus haut point et ma femme ne s’en plaint jamais. Elle sait que je serai là !— Je ne sais pas si cela m’excitera, enfin je verrai.
On se met encore un petit verre d’armagnac, que j’aime beaucoup et on se lève pour partir en espérant que la volante est ailleurs, parce que s’ils nous font souffler dans le ballon, il va probablement viré au rouge vif. En chemin, il s’arrête et me propose :
— J’aimerai te rouler une pelle.— Pourquoi pas dis-je en tendant mes lèvres.
Le salaud, il profite pour tout de suite me mettre la main au panier. Il n’a vraiment pas de patience. Droit au but doit être sa devise avec les femmes. Pas moyen de louvoyer, une galanterie de corps de garde.
— Tu m’as l’air peu excitée par l’idée qu’on va avoir une aventure, ta culotte est encore toute sèche.— On verra ça quand on sera arrivé.
On arrive à la maison et il rentre doucement la voiture dans le garage, de manière que mon mari ne voit pas que nous sommes aussi arrivés. Là il met en route un petit écran pour voir comme sont les pièces. On voit sa chambre et je vois mon chéri en caleçon assis sur le lit avec Mira qui est en sous vêtement.
— C’est bien, ils sont bien partis, ce qui nous laisse le temps et la possibilité d’aller dans la chambre d’à coté.— Bon on y va !
On se dirige vers cette chambre où est installé un grand écran qui est en réalité une glace sans tain permettant de voir à travers d’un coté mais pas de l’autre, un peu comme chez les flics,
Récit de Mira.
On est arrivé dans ma chambre et je veux me diriger vers la douche pour me rafraichir avant de passer à la suite des opérations.
— Tu veux prendre une douche avec moi-Viens directement dans la chambre, par la douche, tu vas perdre tout ton parfum— Mais j’ai beaucoup transpiré !— Cela n’en sera que meilleur.— Si c’est ton désir.
Nous nous déshabillons mutuellement avec une certaine fébrilité, il a toujours son nez fourré partout, sortant sans arrêt sa langue pour me lécher, le pire, c’est quand j’enlève ma veste, dès que j’ai écarté les bras, il a mis sa tête en plein dans mon aisselle. C’est fou, je suis si sensible à cet endroit, ce fut toujours ma faiblesse quand on se bataillait avec mon frère, il suffisait qu’il me chatouille sous les bras que j’étais paralysée. C’est épouvantable quand il me lèche comme cela, je fonds littéralement je mouille comme une folle. Quand il me retire mon slip qui ressemble à une éponge dégoulinante, je le vois avec des yeux presque hors de ses orbites, excité de façon incroyable. Il ne peut se retenir de plonger sa tête entre mes cuisses et commence à me brouter la motte. Parcourant mes lèvres de haut en bas de droite à gauche et on recommence puis le voila qui m’aspire mon bouton d’or.. Je vois à la force de ces coups de langue qu’il prend un plaisir extrême à me sucer la moule. J’en profite pour lui prendre son sexe qui est mignon pas très grand, je dirais, même petit, on dirait un petit garçon, c’est doux, Je le prends en bouche MMM il a bon gout alors qu’il n’a pas passé sous la douche non plus Une bonne odeur de sexe, le sentant palpiter, je lui propose :
— Viens, j’ai envie que tu me le mette dans ma tire-lire.— Je peux, ton mari ne va rien dire ?— Je pense qu’il est bien occupé maintenant pour dire quoique ce soit. — Tu veux dire que tu penses qu’il baise avec ma femme, Le salaud, d’y penser, cela me fait bander comme un fou, Je rêve toujours que ma femme prenne du plaisir aussi avec un autre homme, tu vois j’ai un zizi modeste et je conçois qu’avec une grosse tige, cela doit être bien de meilleure— Détrompe-toi, pour moi, ce que j’aime, c’est ce que tu m’as fait, j’aime quand on s’occupe de moi, quand on tête ma poitrine, suce le sexe ou sous les bras. Après quand c’est bien chaud, le diamètre n’est pas important. Pendant le rapport, c’est le mouvement de ton pubis sur le mien qui fait le plus, quand tes poils frottent sur mon clito et l’excite ce que ne me procure pas un sexe épilé, à moins que soit rasé de quelques jours, alors là, c’est un peu de douleur, mais là c’est délicieux.- tu es clitoridienne ?— On ne peux rien te cacher.— Viens cacher ton sexe chez moi.
Suite du récit d’Emma
Les choses ont bien évolué dans la chambre d’à coté, Mira la bouche occupée par le rigatoni de mon mari semblait aussi apprécier cette petite nouille qui ne lui déforme pas la mâchoire. On entend :— J’aimerai aussi pouvoir te déguster Mira.— Ah ! Oui, je n’y suis pas habitué, mon mari ne me le fait jamais. À ce moment, les deux se mettent en 69, la tête en face du sexe du partenaire, on voit que Mira apprécie vraiment bien le traitement de mon chéri, j’en suis malgré tout fier qu’il réussisse à si bien s’en tirer. À ce moment là, Tom commence à descendre son pantalon, enlève sa culotte genre britannique, présente une belle érection. — Tu veux bien te déshabiller ?— Oui chef. — Maintenant si tu me suçais le jonc, tu vas apprécier quand je compare mon outil à celui de ton mari. J’approche mes lèvres (et mon nez) de son sexe. — Pouah ! L’odeur, cela sent les bas fonds.
Du coup, je m’éloigne de ce mât de belle taille, mais d’odeur douteuse :
— Tu ne veux pas plutôt me lécher, je vois que tu es déjà bien excité et je n’aime pas l’odeur de ton sexe.— Cela ne va pas, je ne lèche jamais, mon diamètre suffit pour donner tous les orgasmes possibles. — Mets quand même un chapeau, je ne prends pas la pilule. À coté je vois que mon mari, ayant bien léché la fente de sa partenaire est entrain d’introduire son rigatoni dans la belle Mira qui ne faisait pas de problème. — Tu vois avec ma femme, on ne fait pas ce genre de chose.— Alors, va au moins nettoyer ton outil qui m’a l’air bien important, mais pas appétissant.— Ok attends moi un peu. Sur ce, il sort et va à la salle de bain, se nettoie la bite soigneusement et oh ! Surprise, sur l’écran que je n’avais pas vu au début, je vois que sa femme vient le rejoindre. C’est super la technique, il y a son et vue. Elle : — Alors cela va ? — Elle trouve que ma queue n’a pas bon goût. — Je t’avais prévenu que tout le monde n’est pas amateur de fromage de bite. Nettoie toi bien et peut-être qu’elle te fera une petite câlinerie. Et toi ? — Je me régale avec lui, il est comme le fils que l’on a jamais eu. Très fin et très amoureux. C’est un régal. Il lèche comme un dieu. — Bon je vois que ton coté maman amoureuse de son fils ressort. Heureusement que je n’ai qu’une fille. Il faut que je retourne,— Bonne chance— Elle a intérêt de bien se donner, il ne faut pas qu’elle oublie que c’est mon employée. — Tu es dég !, c’est presque du harcèlement sexuel !— Tu crois, elle est bien partante. — Partante ou obligée ? — Bon la position aide un peu, mais, j’ai bien envie de me la faire, ne serait-ce que pour remettre les pendules à l’heure. Sur ce, il quitte la salle de bain, la bitte propre, là, je vais bien devoir le sucer, même si je n’aime pas m’y voir forcée. Je lui prends sa bite dans ma bouche et je sens que la tension monte. Je le ressorts. — Dis j’aimerai plutôt que tu la mettes au bon endroit, la crème de gonades, c’est pas mon fort et c’est réservé à mon mari de m’en offrir.— Si tu veux, mets toi sur le dos que je te satisfasse. Je mets sur le dos et lui à quatre pattes approche sa grosse queue de mon petit abricot. Le salaud, il ne va quand même pas me prendre à sec. — Attends un peu, il faut que je mouille un peu dis-je en me mettant un doigts dans la bouche et en profitant pour mouiller un peu mon abricot et en caressant mon bouton pour mieux préparer mon minou. Tu ne veux pas me lécher un peu la moule. — Pas tant de chichi. Dit-il en avançant son chibre.et sans autre soin, le plante dans mon abricot. — Aïe, tu es une brute. — Penses-tu, tu verras au bout d’un moment, ce sera bon. Il commence un va et vient un peu mécanique qui finit par me faire un peu mouiller et m’exciter, il accélère, ses coups de queue sont de plus en plus marqués. Je sens que les muscles de ses cuisses sont bien crispés, j’ai l’impression qu’il est en train d’arriver à l’orgasme. Cela ne manque pas, il envoie sa purée bien profond dans mes ovaires, je sens ses spermatozoïdes faire la course dans mon utérus, mes trompes de salope s’excite devant cet obole de sperme qui les submerge, mais d’orgasme point. D’un coup, il ressort de mon con qui pourtant aimerait bien encore quelques bonnes secouées. — C’était bon, Je t’ai bien remplie. Voila.— Oui, mais moi, tu me laisses en panne au milieu, tu pourrais t’occuper un peu de mon abricot— Ça va pas la tête, je ne vais pas déguster ton abricot, je n’aime déjà pas ça et en plus il déborde de mon sperme, c’est dégueulasse. — Merci, tu peux me ramener à la maison ? — Débrouille toi. En sortant de la chambre, on se heurte à sa femme, mon mari étant parti entre temps. — Tu la ramènes à la maison ?— Qu’elle se débrouille !— Je le ferai, mais ne m’attends pas trop tôt, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, tu deviens insupportable. — Va et reviens quand tu veux— Merci Mira, tu es un amour dis-je. Là dessus on va vers la voiture et on part à notre maison. Dans la voiture la conversation s’engage entre les deux femmes. — Je suis malheureuse avec mon mari, c’est un tyran qui ne pense qu’à lui et finalement, j’ai rarement du plaisir avec lui, ton mari m’a vraiment comblé, même si il n’a qu’une petite queue comparé à celle de mon mari qui ne sait pas s’en servir.— J’ai remarqué, je suis loin d’avoir pris mon pied. C’était la première fois que je laissais entrainer dans les voies de l’adultère. Vraiment pas une expérience intéressante.— J’ose affirmer que tous les hommes ne sont pas comme Tom. Mais j’ai remarqué que moins ils étaient arrogants de leurs attributs, meilleurs ils sont. Ton mari est le meilleur que j’ai eu toutes fois.
À ce moment là, ils arrivent à la maison.
— Tu m’invites à boire un verre ?— Je n’osais pas te le proposer.
Les deux femmes rentrent dans la maison et Thierry, très content, s’empresse auprès de ces deux tigresses.
— Alors mon chéri, tu as passé une bonne soirée ? Tu as été bien sage ?— Bonne soirée, oui, mais pour la sagesse, je ne suis pas très sûr. Dit-il en lançant un regard torve en direction de Mira. — Donne moi plus de détails !- Je n’ose dit-il en balbutiant. — Mais encore ?— Je t’ai trompé, avoue-t-il avec l’air d’un chien battu. — Comment cela ? — J’ai été subjugué par Mira, je n’ai pas pu lui résisté. — Cela va te coûter cher mon amour. Tu permets Mira, mais il faut que je me fasse nettoyer la minette. On va dans notre chambre. — Tu y vas fort, mais pourquoi pas. Cela me plait bien. — Thierry viens, j’ai besoin de me faire nettoyer — Oui mon amour.
Les trois se retrouvent dans la chambre et se déshabillent.
— Dis moi Mira, tu as déjà eu des expériences lesbiennes.— Oui, chaque fois que Tom me tape sur les nerfs. C’est ma façon de me venger. — Moi, c’est la première fois, mais à priori, je pense que ce ne sera pas la dernière, Thierry alors qu’est-ce que tu attends pour me ripoliner la tire-lire.
Se mettant entre les cuisses de son épouse, il commence à lui faire une minette quand tout à coup, il s’arrête :
— Ma chérie, elle a un drôle de goût et elle est pleine de glaire, on dirait du sperme. C’est quoi ?— C’est ma vengeance, pendant que tu forniquais avec Mira, Tom me bourrait. — Ah je comprends, mais sa crème de couilles n’a pas bon goût, tu ne veux pas nettoyer avant que je puisse te lécher, Pendant ce temps, je ferai une petite minette à Mira pour te la préparer. — Ok je reviens rapide, dépêche-toi.
Mira se met sur le dos et enchanté de s’en être si bien sorti, Thierry plonge entre les cuisses de Mira qui aussi débordant de semence, mais c’est la sienne qu’il connait bien.
— Je regrette, mais je trouve que le goût de ta mouille avec ma semence est nettement meilleure que celle de Tom sans la mouille d’Emma. Elle a du souffrir la pauvre, elle était pratiquement sèche et son abricot avait l’air tour flétri.— C’est le problème avec Tom. Je me plante et soyez contente femmes que j’ai daigné vous arroser. Pas de préparation, rien. Les rares fois où on baise, je ne le laisse venir qu’après une longue séance de gode. C’est dommage, mais j’ai rarement un bon orgasme avec lui alors qu’avec toi j’étais bouillante quand tu as mis ton outil dans ma tire-lire. L’orgasme est parti de suite. Du reste maintenant, je ne suis pas loin d’arriver. Donne moi aussi ton sexe que je le prenne dans ma bouche, contrairement à celui de Tom, j’aime bien son goût, on sent une verge bien propre.
Là dessus Emma rentre dans la chambre et voit ces deux en 69 : — Et moi ! Je fais quoi ?— Viens, donne moi ta moule, maintenant qu’elle est bien propre, je sens que je vais me régaler dit Mira. Quand tu seras bien préparée, Thierry te complétera avec sa jolie petite bite et pendant ce temps là je sens qu’il prend un grand plaisir à me faire reluire la crapette. Thierry : — Décidément, je n’arrive pas à me décider qui a la meilleure moule de vous deux, elles sont les deux différentes avec un parfum délicieux pour les deux. Mais je vais continuer pour le moment celle de Mira car son huitre, je l’ai moins dégustée que ta moule.
Là dessus, Mira se met sur le dos et écarte les cuisses, présentant son abricot reluisant, dégagé de tout poil à la langue diabolique de Thierry et simultanément, Emma enjambe la tête de Mira en lui présentant son puits d’amour impatient d’avoir un peu de plaisir.
— J’aime bien le goût de ta moule Emma, tu as un bon jus et ton bouton est délicieux à sucer. Penche-toi un peu en arrière que je puisse aussi te lécher la rosette.— Tu lèches aussi le trou du cul ? — Quand il sort de la douche, il a aussi bon goût, du reste cela ce confirme, juste que l’abondance de tes poils me pose problème car ils ont tendance à s’intercaler dans mes dents. Il fait comment Thierry pour ne pas avoir de problème avec ta touffe. — Attends qu’il ait fini, il t’expliquera la technique, il adore ma petite forêt. Je voulais me la raser, mais il m’a dit qu’il était écologique et qu’il ne souhaite pas la disparition de la forêt amazonienne. Alors c’est son problème de ne pas arracher mes séquoias. Il dit qu’après une journée de bureau, avec les poils, le goût est mieux conservé. Il a des fois des drôles de réaction, quand on fait un footing, il m’interdit d’aller sous la douche après, il veut me lécher partout partout et dans ces cas, il s’en suit des baises mémorables. — Bien je t’envie ton petit mari, le mien n’aime pas me brouter le minou. J’en suis frustrée. — Je sais, j’ai vu sa façon de faire. Seule chose peut-être il m’a mise enceinte, Thierry n’a pas un assez bon sperme pour me faire un bébé — Alors Thierry, cela ne te fais rien que ta femme ait baisé avec mon mari ? Que tu risques d’être le père de son enfant ?— Oui un peu, mais du moment que cela fait plaisir à mon amour, c’est ce qui compte, surtout si en retour elle est d’autant plus amoureuse. Pour moi, l’important, ce n’est pas qu’elle ait une relation hors mariage, mais que finalement qu’elle me préfère à l’autre, c’est très vivifiant. Mais je tremble toujours qu’elle rencontre un mec avec une grosse bite qui sache s’en servir. — Mais non mon biquet, j’aime ta petit bite, les grosses ne m’intéressent pas, ce que j’aime avec toi, c’est ce qui est avec, ton empressement et ton amour et tu satisfaits mes fantasmes, au contraire des grosses bites. Leurs propriétaires pensent que cela suffit. — Et avec les femmes ? — Là je ne dis pas, J’aime bien par exemple la moule de Mira. Il faudra voir comment elle va me lécher. C’est ainsi que toute la nuit, ils ont inversé les positions et essayé toutes les possibilités pour finalement épuisés, ils tombent de sommeil. Heureusement que c’est samedi car ils ont vraiment donné pendant la nuit.
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