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Petite branleuse

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Quand j’étais jeune, je fréquentais un groupe d’amis, dans lequel il y avait Véronique.
Véronique était jolie, une des plus belles filles du groupe.
Elle était grande, presque autant que moi qui fait 1,80, brune, mince, un super cul rebondit que ses jeans, toujours serrés, moulaient à merveilles, des seins ni trop petits, ni trop gros, de longs cheveux ondulés, des yeux noisettes, et un petit nez retroussé, En clair, une plastique parfaite, du moins, je le pensais (et je le pense toujours), car jamais je ne l’ai vu nue, ni même en maillot, car j’avais avec Véro une relation particulière.
En effet, je ne sortais pas avec elle, on se "rencontrait" de temps en temps, et à chaque fois, on faisait toujours la même chose, on se roulait des pelles, et elle, elle me branlait. Et c’est tout ! Jamais je n’ai couché avec elle, jamais elle ne m’a sucé, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Mais quelle branleuse, elle était vraiment experte en la matière.
Je me souviens d’une fois, on était dans la maison des parents d’un copain qui fêtait son anniversaire.
Tout le monde était là (un groupe d’une bonne vingtaine de personnes) et j’étais avec ma régulière de l’époque.
Véro était là, bien sur, et comme d’habitude, seule. Véro était comme ça, je ne l’ai jamais vu sortir avec un copain du groupe, pourtant, vu sa beauté, elle se faisait draguer en permanence. Mais si elle se laissait faire, et laissait croire au prétendant qu’il avait ses chances, ça n’allait jamais plus loin. On peut dire que Véro était une belle allumeuse.
Il y avait de la musique, de l’alcool, on dansait, on buvait, bref, on s’amusait. Ma copine, pour une raison que je ne connaissait pas, faisait la gueule. A un moment de la soirée, je vais faire un petit tour aux toilettes, histoire de vidanger (la bière....), et voilà que je rencontre Véro qui sortait de la salle de bain où il y avait les WC.
En rentrant dans la salle de bain, je lance à Véronique qui s’éloignait comme ça, direct : "tu viendrais pas me la tenir par hasard ?".
Elle se retourne, me regarde, et sans rien dire, revient vers moi. Elle rentre dans la sdb avec moi, et ferme la porte derrière elle. On s’embrasse, puis elle défait ma braguette, et aussi enfourne sa main dans mon slip.
Elle sort ma bite, et pour être plus à l’aise, je baisse mon pantalon. Et c’est debout, le futal au genoux devant les toilettes que je me retrouve, avec une superbe fille à mes côtés en train de me branler.
On continu à s’embrasser, je lui tripote les seins pendant qu’elle me masturbe avec ferveur. J’essaie de glisser une main dans son jean, et comme d’habitude, elle repousse ma main (je ne suis jamais arrivé à la doigter). Je fais pression sur sa tête pour lui faire comprendre que j’aimerais qu’elle me suce. Et comme d’habitude, elle fait non du regard. Je n’insiste pas, et je me laisse branler de ses doigts experts.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, ma sève est prête à gicler. Véro le sent, se saisi de quelques feuilles de PQ, et enferme mon gland dans ce réceptacle improvisé.
Je m’épanche dedans en longues giclées. Elle jette la boule de papier dans les toilettes, puis me dit "ça va, t’es content ?" Ben oui, tu penses. Elle sort de la salle de bain, moi j’y reste pour essayer de pisser (pas simple après une éjac). Une fois fait, je rejoins ma copine qui me dit "tu as était bien long ?" Évidement, je ne lui ai pas donné la vraie raison, pas sur qu’elle aurait apprécié...
Une autre fois, nous étions chez un autre copain, qui fêtait lui aussi son annif. Mais cette fois, c’était l’été et nous faisions la fête dans le grand jardin parental. Là aussi, Véro m’a branlé, à ma demande, comme toujours, mais discrètement, derrière un buisson, en retrait du groupe.Et pendant qu’elle me masturbait, je voyais au loin ma copine qui dansait avec les copains. Ça ne m’a pas gêné plus que ça, je n’étais pas vraiment fidèle à cette époque, et je pense même que la situation m’excitait au plus haut point.
Je n’ai jamais su si elle faisait avec d’autre copain ce qu’elle faisait avec moi, nous n’en avons jamais parlé.
A la fin de cet été là, Véro n’est plus venu dans le groupe. Nous n’avons jamais su pourquoi, ni ce qu’elle était devenue. Elle était très discrète, elle ne parlais jamais d’elle ni de sa famille, et jamais personne du groupe n’était allé chez elle, pas même les filles. Nous n’avions pas son téléphone (le portable à l’époque n’existait pas encore). En tout cas, moi, plus de 40 ans plus tard, je n’ai pas oublié Véronique et ses douces mains... Si ça se trouve, elle va lire cette histoire, réelle, comme toujours.
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