Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 128 J'aime
  • 5 Commentaires

petite chaudasse aime les vieux

Chapitre 1

Trash
Je me nomme Anne, et à tout juste 19 ans je suis en première année d’université. Grande, svelte, une belle poitrine remplissant un 95C et une peau bronzée, sans oublier un derrière ferme et rond, autant d’attributs qui font se retourner les hommes sur mon passage dans la rue, hommes de tout âge. Malgré ces qualités, je dois avouer que je n’ai pas une grande expérience sexuelle, juste un petit ami pendant quelques mois avec qui j’ai perdu ma virginité dans une partie de jambes en l’air tout à fait médiocre à 18 ans, histoire aujourd’hui terminée. Je m’explique ce manque d’expérience par une timidité naturelle, qui souvent me bloque, de fait je ne suis pas très entreprenante, mais je ne peux pas dire que ça ne me plairait pas d’avoir un peu plus d’activité sexuelle...
En effet depuis quelques mois je me découvre un appétit nouveau : une envie irrépressible de sexe, de chaleur... Ces derniers temps ma main passe de plus en plus de temps dans ma culotte, à caresser mon clitoris et ma chatte constamment gonflée et trempée, entreprise qui malheureusement ne suffit pas à assouvir mes besoins grandissants. En effet il s’avère que ce dont j’ai besoin c’est tout simplement d’un homme, prêt à remplir mes trous en chaleur. Cette révélation m’est apparue il y a seulement quelques jours, et depuis je m’intéresse beaucoup plus à la gent masculine de mon entourage.

Cette dernière n’est malheureusement pas très diversifiée : faisant des études de langues, les filles sont sur représentées dans ma classe, je cotoie donc peu de mecs, et de surcroît je sors très peu donc difficile de faire des rencontres.

Aujourd’hui, longue journée de cours. Je rentre exténuée à mon appartement en centre ville, petit studio exigu pas cher, mais quand même assez pour des revenus étudiants. Ayant loupé l’inscription en cité universitaire, il ne me restait plus qu’à faire appel à Roger Delcourt, vieil ami de la famille propriétaire de ce studio, et également de l’autre appartement du même palier. Il est donc aujourd’hui à la fois mon voisin et mon propriétaire, mais je dois avouer qu’en ce début d’année scolaire je ne l’ai que peu rencontré. Justement, en cette fin de journée je trouve sa porte grande ouverte et en passant devant il m’interpelle :

"Anne ! passe donc me dire bonjour !-Oui, bien sur Monsieur Delcourt"

C’est un homme bedonnant, la soixantaine passée, front dégarni et cheveux blancs. Il portait une tenue très décontractée : short très court, presque un caleçon à vrai dire, et marcel usé voire taché par endroit qui ne réussissait pas à couvrir l’intégralité de son bide imposant. Une apparence peu avenante, donc. Pour compléter le tableau, il était affalé sur son canapé, entouré de divers déchets dans toute la pièce tels que des canettes de bière, des boules de papier et même quelques tas de poussière.Malgré tout, j’entre et le rejoins sur son canapé, mal à l’aise dans cet environnement repoussant. Il fait la conversation pendant quelques instants, mais n’est pas très aimable ce qui m’amène à me demander pourquoi il m’a fait venir s’il n’a pas l’intention de discuter vraiment. Je surprends parfois un regard un peu insistant, mais ne portant pas du tout une tenue aguicheuse j’essaie de ne pas l’interpréter comme un geste pervers.

Ceci dit, je ne peux nier que plus ou moins subtilement il se rapproche de moi jusqu’à me coller complètement. Certes le canapé est petit donc je ne m’affole pas. Nous continuons à échanger des banalités quand sa main se pose sur mon genou. Silence. Je ne dis rien mais ma respiration se bloque un instant. Puis, sans savoir pourquoi, je fais comme si de rien n’était et reprends la conversation. Quelques instants plus tard le vieux commence à déplacer sa main et me caresser fermement l’intérieur de la cuisse, ce qui me fait inexplicablement frémir. Je sais que je devrais protester mais malgré son aspect repoussant j’apprécie le contact. Il se fait plus ferme et remonte vers mon entrejambe. Je me raidis.

"Ne t’avise pas de faire ta sainte nitouche, je vois bien que tu es une belle chienne en chaleur, alors tu vas gentiment m’obéir ok petite pute ?"

Je ne réponds rien, à la fois effrayée et ... excitée.

"Allez maintenant enlève ton t-shirt je veux voir tes seins de salope"

Je m’exécute. Pourquoi est-ce que je lui obéis ? Il avale sa salive bruyamment et se penche sur moi, je suis alors complètement bloquée sous son énorme masse, je peux à peine respirer tandis qu’il me lèche copieusement la poitrine, laissant des traînées de bave sur mon ventre et ma poitrine.

"Ma parole salope tu pointes il t’excite le vieux Roger pas vrai ? Allez réponds !-...ouii Monsieur oui vous m’excitez-hmm je le savais que tu n’étais qu’une chienne continue de m’appeler Monsieur et tu auras une récompense va !"

Il s’attaque à mes tétons, les mordant copieusement puis me débarrasse en un geste de mon jean et ma culotte. Je suis trempée et il ne manque pas de le remarquer, mais crache sur ma chatte avant d’étaler sa bave avec ses gros doigts.

"Je vois que je te fais du bien sac à foutre ! Allez sois une bonne petite pute et suce ma bite."

La bite de Roger n’est pas très longue, mais particulièrement épaisse. Il se positionne de façon à ce qu’il me domine de sa hauteur tout en enfonçant son membre dans ma bouche. L’odeur me donne des hauts le coeur mais je résiste et le prends le plus loin possible au rythme de ses coups de rein. La violence de ses gestes macule le contour de ma bouche de bave.

"Raaah salope t’es vraiment qu’un sale trou à bite j’ai hâte de me vider dans ta petite bouche chaude"

Il accélère le rythme, à présent mon cou aussi est couvert de bave, sans oublier que ma chatte dégouline de mouille. Après encore quelques minutes, Monsieur Delcourt jouit, remplissant ma bouche d’un épais foutre qu’il me force à avaler en me donnant des petites claques humiliantes mais qui le font m’insulter de plus belle.

"Allez salope, je crois que tu ne vas plus pouvoir te passer de ma belle bite, alors repasse demain après les cours, je m’occuperai de ta petite chatte en chaleur... Ne t’avise pas d’oublier, souviens toi que j’ai le double de tes clés..."
Diffuse en direct !
Regarder son live