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La petite route

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
LA PETITE ROUTE
Ma chérie et moi formons un couple depuis bientôt 18 ans. Bien sur nous avons vécus chacun de notre coté, nous avons eu des enfants puis la vie a fait qu’un jour nous nous sommes rencontrés et depuis nous sommes ensemble.
Bien sur il y a des hauts et des bas mais nous essayons de garder la flamme intacte.
Moi, notamment je continuais d’acheter des dessous affriolants et des tenues sexy que portait dans l’intimité ma petite chérie, et comme elle est toujours aussi bien « foutue » je m’excites à chaque fois qu’elle revêt ces tenues !!
Etant toujours à la recherche de nouveautés pour pimenter notre sexualité, j’ai lu un jour sur un site de récits érotiques une histoire qui m’a énormément plu, je vais vous la résumer brièvement :
- Un couple, un peu dans notre situation, mais plus jeune, décide un jour de confier les enfants à leur mamie pour la journée.Pendant ce temps, madame, sur la demande de son mari, se déguise en prostituée et va se poster dans un endroit désert comme si elle attendait le client. Monsieur devant arriver quelques instants plus tard, et jouer le client. La coquine est émoustillée et accepte avec plaisir ce jeu de rôles.
La jeune maman, après un maquillage marqué, a enfilée une tenue limite indécente puis, suivant le scénario convenu est partie se poster au lieu fixé.
Monsieur s’apprête à partir quand le téléphone sonne, il est prêt à l’ignorer et là il s’aperçoit que c’est mamie qui appelle, il ne peut l’ignorer !!
Le temps de discuter sans passer pour un butor et enfin il peut partir.
Forcement il a accumulé beaucoup de retard et quand enfin il arrive au lieu de rdv, il aperçoit la voiture de sa femme mais aussi un autre véhicule.
Intrigué il ralentit mais ne s’arrête pas, en passant doucement, il voit sa femme en grande discussion avec un homme.
éberlué, il ouvre de grands yeux en voyant la tenue de sa femme, elle s’est vraiment déguisée en pute, mini jupe en cuir hyper moulante, superbe haut avec un décolleté profond qui offre ses seins. Des cuissardes en cuir avec de hauts talons moulent ses jambes gainées de bas résille.
Le temps de se garer hors de vue et de revenir par les bosquets et quand il arrive : plus personne !!Un petit bois à 100 m de là, en regardant attentivement, il aperçoit les 2 véhicules, il fonce.
Là, il manque tomber, sa femme est allongée à plat ventre sur le capot et se fait prendre sauvagement …..

Ce scénario me plait !!
En plus nous ne risquons pas d’être dérangés par un coup de fil de mamie, les grands parents, c’est nous !!!
Je raconte aussitôt l’histoire à ma douce (bien sur, j’omets de lui parler du coup de fil et du client), ma chérie se moque gentiment :
— Sois sérieux mon chérie, qui voudrait de moi à mon âge !!!
— Oh ma chérie, je t’assure que si tu te mettais sur le coté de la route, il y aurait beaucoup de clients ! Tiens après tout tu devrais le faire, ça remonterait nos finances !!!
— Salaud, tu serais prêt à me vendre !!
— Oui, oui, et je pense que je tirerais une bonne somme d’un jolie petit lot comme toi !
Là dessus elle me saute au coup et m’embrasse goulument. Tiens, tiens, on dirait que ma petite idée chemine doucement dans sa jolie tête !!
Le soir quand nous sommes couchés, je lui reparle de ma petite histoire et après un gros câlin (vu l’intensité du câlin, je la soupçonne d’être émoustillée par mon idée), elle finit par accepter.
Son souci maintenant c’est de choisir la tenue adéquate, je la laisse pour avoir la surprise le jour J.
Jour qui est fixé au surlendemain.

C’est le grand jour !!! Ma chérie est allé s’habiller et reviens vêtue d’un jogging !! Aurait-elle changée d’avis ?
— Mais non mon chéri, mais tu me vois sortir chercher la voiture dans une tenue de prostituée ? déjà que les voisins nous regardent comme des extra terrestres !!!
— Oui, tu as raison.
— Ne t’inquiètes pas, je ne vais pas y aller avec des baskets
Quelques minutes plus tard, la voilà partie après un long baiser.
Aussitôt je rejoins ma voiture et je démarre. Pas question d’arriver en retard, elle ne me pardonnerait pas, et là, fini notre scénario coquin et surtout la suite qui devrait être torride !!
Ma puce est partie quelques minutes avant moi, mais comme je roule plus vite, je devrais arriver une poignée de minutes après elle.
Soudain, c’est la catastrophe !! Une voiture vient de griller un stop et je n’ai pas réussi à l’éviter complètement. Pas de gros dommages mais le temps de constater les dégâts, échanger nos cartes et rédiger le constat, j’ai perdu presque une 1 heure.Maintenant c’est mon amour qui va vous raconter la suite de l’histoire, je reprendrais la plume à la fin de notre histoire
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Dans quelle aventure me suis-je mis ? Mon chéri me fait faire n’importe quoi !!!
Ah voilà la petite route, heureusement que nous sommes en fin de matinée, je ne serais jamais venue seule ici la nuit.
Tiens ce doit être ici, voilà la borne N° 10 dont il m’a parlé. Effectivement, il y a un grand espace herbeux, et comme le sol est très sec je peux me garer sans problème.
Effectivement, il ne passe pas grand monde par ici, depuis le dernier croisement je n’ai vu personne.
Avant de me changer je jette un dernier coup d’œil alentour, personne à l’horizon.
Je descends de la voiture, j’enlève mon jogging, d’abord le haut puis le bas. J’apparais alors vêtue d’une petite robe rose, courte (mi cuisse) mais surtout en résille, donc pratiquement transparente. un tanga blanc essaie de dissimuler mon minou et mes fesses. J’ai complété ma tenue avec des escarpins à talons de 12cms.
Je m’admire dans les vitres de la voiture, l’image me plait bien, je suis satisfaite du résultat (sans fausse modestie, je sens souvent le regard des hommes sur moi et je me fais régulièrement draguer par des hommes souvent bien plus jeunes. Mais je ne suis pas une couguar, j’aime mon chéri)
En tout cas la robe est appropriée pour mon rôle d’aujourd’hui, l’excitation me gagne, mon chéri va être fou !!
Je suis tellement excitée que mes tétons se dressent et passent à travers les mailles de ma robe en résille, l’effet est top !J’entends un bruit de voiture, ce doit être lui !
Oooohh non, une voiture de gendarmerie !!
Vite je me précipite dans ma voiture, j’espère qu’ils n’ont pas vu ma tenue !!
— Bonjour madame, gendarmerie nationale, avez-vous un problème ?
Je vois son regard posé sur mon corps puis remonter et me fixer dans les yeux.
— Euh, non monsieur, tout va bien.
— Pourriez-vous descendre du véhicule et me présenter vos papiers s’il vous plait.
— Mais pourquoi ? je ne fais rien de mal.
— Veuillez descendre s’il vous plait.
Morte de honte je sors de ma voiture et j’essaie de dissimuler mon corps en mettant un bras devant ma poitrine et une main devant mon ventre tout en baissant la tête. Pourvu que mon homme arrive.
Le gendarme a été rejoint par son collègue et les deux hommes ne se privent pas de me mater.
Mon dieu, c’est un vrai cauchemar !!
— Vos papiers, c’est la dernière fois que je vous le demande !
Je suis obligée de me pencher dans la voiture pour prendre mes papiers et je sens leur regard sur mon petit cul qui est mis en valeur par la robe résille et le tanga blanc. De plus mes hauts talents accentuent la cambrure naturelle de mon corps.Je me redresse et lui tend mes papiers.
Sans les ouvrir il me dit :— Que faites- vous ici ? ne me dites pas que vous partiez faire une balade dans la nature
Et d’ajouter :— Surtout dans cette tenue !!
Alors, j’essaie de leur expliquer le scénario que nous avons élaboré avec mon chéri.
Ils se regardent en souriant, — Tu as vu son conjoint, toi ?— Non, comme toi j’ai rien vu
Celui qui m’a interpellé en premier reprend la parole— Moi, ce que je vois, c’est une pute prise en flagrant délit et que l’on va emmener à la brigade
— Oh non, je vous en prie, je dis la vérité mon homme va arriver et tout vous expliquer.
— écoute ma belle, il n’y a que toi et nous, alors avant que je me fâche tu vas nous suivre et on prendra tes coordonnées pour te rentrer dans le fichier, si tu n’y ai pas déjà !
— Quel fichier ?
— Celui des prostituées de la région
— Nooooon !!! c’est pas possible, je vous jure que je vous dis la vérité et je me mets à pleurer
— Maintenant les larmes, ça suffit, on connait.
Du coup, voyant la tournure des évènements je pique une crise de nerf, les gendarmes sont obligés de me maintenir. Le plus virulent fini par me passer les menottes après m’avoir tiré les bras dans le dos.
Mes bras tirés en arrière font ressortir ma poitrine et mes tétons pointent de nouveau entre les mailles de ma robe. Les deux gendarmes ont le regard rivé sur mes seins, et j’entrevois une porte de sortie.
— S’il vous plait, je vous en prie, laisser moi partir et rentrer chez moi
— Pas question d’autant qu’il me semble y avoir un problème
— Quel problème ?
— Sur vos papiers, votre date de naissance n’a pas l’air correct

— Quoi ? faites moi voirPendant que son collègue me maintient en laissant trainer ses mains sur mes hanches et mes fesses, il me tend ma carte d’identité en me montrant ma date de naissance
— Et ça ?
— Quoi ça ? c’est ma date de naissance pourquoi ?
— Vous voulez dire que vous avez …. 63 ans !! vous vous moquez de moi
— Mais non, je me tues à vous dire la vérité et vous ne me croyez pas
— Là c’est bon, allez on file à la gendarmerie et s’adressant à son collègue, arrête de lui caresser les fesses, je te dis que c’est une pute, si ta femme te voyait !!!
Voyant qu’ils étaient décidés à m’emmener à la brigade et ne voyant pas d’autres portes de sortie je me suis lancée
— Si vous me laissez partir et rentrer chez moi, je vous dédommagerais
— En plus, elle veut nous corrompre !! pas de ça ma belle, ça va te couter cher, tu t’enfonces
— Mais non je ne veux pas vous corrompre, je n’ai pas d’argent, je pensais à autre…humm .. chose !!
— Ah oui, et qu’entends tu par « autre chose » ?
— Je…. Je pourrais être gentille avec vous
J’ai lancé ça car j’espère que mon amour va arriver, hélas toujours rien.
Les 2 gendarmes me fixent en souriant
— Tiens c’est une bonne idée ça
S’adressant à son collègue :— On va planquer les voitures derrière les bosquets
Aussitôt dit, aussitôt fait, les véhicules sont cachés et les gendarmes me font monter dans leur fourgonnette, toujours menottées.
C’est vraiment un cauchemar, en plus c’est moi qui leur ait la proposé d’être gentille pensant être sauvée par le gong, je vais devoir assumer.
Non que les deux hommes soient des monstres, ils sont plutôt beaux, maintenant que je les vois bien, ils ont dans les 30 – 35 ans, des corps de sportifs, en temps normal, je serais même fière de voir le désir dans leur regard mais là, je vais y passer !!!
Celui qui semble le chef me fait signe d’avancer, le véhicule n’étant pas très haut, je suis obligée de me courber et avec mes hauts talons cela fait ressortir ma croupe callipyge.
Les deux hommes n’en perdent pas une miette et caressent mes fesses au passage.
Soudain, leur radio grésille, on leur demande de rentrer le plus rapidement possible.
Le 2° gendarme répond et assure qu’ils seront de retour d’ici ¾ d’heure.
— Bon, on n’a pas le temps, alors tu vas nous sucer et on s’occupera de toi une autre fois me dit le chef
Il se positionne alors sur la banquette, ouvre sa braguette et sort un sexe de belle facture, ensuite il me fait mettre à genoux sur la banquette les poignets toujours menottés dans le dos et appuie sur ma nuque.
Voyant que je n’ouvre pas la bouche il menace :— Suce, autrement on t’emmène à la brigade et là je rigole plus !!
Paniquée, car je le vois inflexible, j’écarte les mâchoires et engloutit la bite tendue.
Il saisit mes cheveux et fait monter et descendre ma tête. C’est lui qui impose le rythme, étant menottée je ne peux rien faire— C’est bien, t’es une bonne suceuse !!
Je n’avais plus qu’une idée en tête, en finir le plus vite possible, aussi je redoublais d’ardeur.
Le salaud avait l’air d’apprécier, il a relevé ma tête et m’a ordonné de lui lécher les boules, j’ai obéi, c’était lui qui menait le jeu.Soudain j’ai senti des mains qui se posaient sur mes fesses, son acolyte a entrepris de relever ma robe jusqu’à la taille. Puis j’ai entendu un sifflement.
— La vache !! quel cul !!! c’est pas possible, t’as pas 60 balais. Nos femmes qui en ont 20 à 30 de moins, sont bien moins foutues que toi.
— Hhhoooomppffff, je ne pouvais parler, ma bouche étant remplie par la bite de son partenaire
— Ouais t’as raison, elle est chouette la petite mamie suceuse, et douée avec ça !! tu vas voir.
Pendant que je continue ma fellation en alternant les mouvements de succion et le léchage des couilles velues, descendant même jusqu’à l’anus que j’agace de petits coups de langue pour la plus grande joie de son propriétaire.
— La salope, c’est trop bon, elle me lèche le cul
— Purée, j’ai hâte que ce soit à mon tour, elle est super bonne, je vais regarder les mamies d’un autre œil ah, ah, ah !
Et il donne quelques claques sonores sur mes fesses, ensuite il écarte mon tanga qui ne cache pourtant pas grand-chose et je sens sa main s’insinuer vers ma féminité.
Là du coup je vais y passer me dis je, car bien malgré moi, je dois avouer que la situation ne me laisse pas insensible et qu’il va s’en rendre compte.
Pas manqué :
— Woooohhh ! la petite salope, elle est trempée, on dirait qu’elle aime se faire malmener
— Alors ma belle, t’aimes sucer, tu vas être servie, et tu avales tout sinon je te fais lécher ce qui tombe par terre, et pas question de tacher mon pantalon.
Il accélère la cadence, je fais de mon mieux pour suivre le rythme tout en sentant les doigts de son collègue sur ou plutôt dans ma chatte puis un autre doigt qui pénètre mon petit trou.
Dans ma bouche je sens la verge gonfler et bientôt plusieurs jets inondent ma bouche, coulant dans ma gorge.
Me rappelant ses ordres, j’arrive à presque tout avaler, un peu de sperme s’échappe quand même par la commissure de mes lèvres, j’avale le plus rapidement possible puis je lèche le sperme qui a fini par couler de mes lèvres sur son pantalon.
— Tu es vraiment une bonne petite pute, allez mec, à toi de te faire sucer, et tu vas voir que c’est une vraie pro !!
Le collègue a pris la place laissée vacante et maintenant c’est son sexe qui rempli ma bouche.
Ils m’ont laissée dans la même position, les poignets toujours menottés dans mon dos. Il fait comme son collègue, saisit mes cheveux et impose le rythme de la fellation.
Son collègue, quand à lui, a littéralement arraché mon tanga et ses doigts me pénètrent sans ménagement.
— On a tes coordonnées, la prochaine fois on aura plus de temps, et là j’exploserais ce superbe cul !!!
Je ne peux répondre, le bâillon de chair rempli toujours ma bouche, les deux hommes ne se retiennent plus et bientôt la bite lâche ses jets de sperme au fond de ma gorge. Comme avec son collègue je m’applique à tout avaler.
Ils me font nettoyer leurs sexes avec la langue puis jugeant le résultat satisfaisant, ils me libèrent enfin des menottes, le chef m’aide même à remettre mon tanga.
Presque des gentlemen.
Ils discutent entre eux un moment, puis reviennent vers moi et me tendent une enveloppe, intriguée, je regarde le contenu, il y a deux billets de 50 € !!
— Mais….. je vous ai dit que je n’étais pas une pute !!
— On le sait bien dit le chef en riant
— Quoi, vous le saviez depuis le début et vous, vous… salauds !!
— Bien sur qu’on savait, il n’y a pas une pute qui viendrait dans ce coin, il n’y passe jamais personne, mais quand on a vu que tu marchais, on en a un peu profité et comme on n’est pas des salauds, on a tenu à te donner une rétribution. Comme ça tu sauras ce que c’est.
— Ben dis donc, pour des flics, chapeau, vous êtes aussi salauds que les autres
— Eh, ne dis pas que tu n’y as pas pris du plaisir ! on a pu constater que tu étais très, très, réceptive
Un peu honteuse, j’avoue au fond de moi, qu’il est vrai que j’ai aimé le traitement infligé et que si je n’aime pas particulièrement avaler le sperme, je dois reconnaitre que dans l’action je me suis délectée de leurs liqueurs. Et s’ils avaient essayés d’aller plus loin, je me serais laissée faire, après tout je ne pouvais que subir, étant menottée !!!!
Oh, les menottes, parlons en des menottes, le chef se retourne vers moi en me les tendant
— Tiens, c’est cadeau !
— Comment ça ? cadeau ! — Ce sont des fausses bien sur, ton homme pourra s’en servir avec toi, on a vu que t’aimais ça
Là-dessus ils me laissent en plan et repartent avec leur fourgonnette, non sans m’avoir peloté consciencieusement les fesses et les seins au passage.
Quelques minutes après leur départ, j’entends un bruit de moteur et je vois arriver mon chéri tout sourire dehors.
— Alors toi, je te retiens avec tes scénarios de fous, j’aurais pu me faire violer !!
Devant son désarroi, je lui raconte que ça fait plus d’une heure que je l’attends et que je sursautais à chaque fois qu’une voiture passait. Notamment une voiture de gendarmes qui vient de passer.
Bien entendu, j’omets de lui préciser qu’à part les gendarmes, personne n’est passé. Et surtout j’omets de dire qu’ils se sont arrêtés un long moment !!!
— Tu sais que tu es splendide quand tu es en colère, jamais je n’aurais pensé que tu mettrais cette robe. Ca me donne des idées, viens par là !
Il cherche dans son sac et en sort des menottes, en moins de temps qu’il ne faut, je me retrouve de nouveau menottée dans le dos. Quelques secondes plus tard ma bouche est de nouveau remplie, cette fois-ci, c’est la bite de mon homme.
Un instant, je suis ébahie, on dirait qu’il a deviné ce qui vient de se passer.
Comme avec les pandores, je m’applique de mon mieux et je sens de nouveau une boule de feu envahir mon bas ventre.
C’est le silence, juste troublé par des bruits de succion.
Mon homme baise littéralement ma bouche, puis il s’écarte, me fait tourner, remonte ma robe comme l’avait fait précédemment le gendarme, arrache mon tanga, mais au lieu de me doigter, il me prend d’une seule et violente poussée.
Je pousse un long cri qui se termine en gémissement, il m’envahit jusqu’au fond de ma matrice— Dis donc ma chérie, tu es trempée, on dirait que jouer la pute te fais mouiller— Oh oui chéri !! c’est bon, vas y baise moi bien, baise ta petite pute !!— Oui, ma chérie, je te baise à fond, ensuite je prendrais ton petit cul et tu me finiras avec ta bouche.— Je suis ta pute ? alors, combien tu me donnes pour ce délicieux programme et ne me parle pas de me payer en « liquide », je veux des espèces sonnantes et trébuchantes,
(En aparté : les flics m’ont donné 100€ pour une pipe, alors je veux plus, beaucoup plus.)
— Ok, 100 € !— Non, 350 €, à prendre ou à laisser !!— Huum, d’accord, mais alors là j’en veux pour mon argent !!
Sur ce, il recommence à me pilonner tout en introduisant son pouce dans mon petit cul et il triture mes tétons qui de nouveau s’échappent par les mailles de ma robe.
De nouveau, je sens un orgasme m’envahir, la bite de mon chéri qui me laboure le ventre, son doigt maintenant bien enfoncé dans mon rectum et les sensations ressenties par le triturage de mes tétons me rendent folle. Je vais de nouveau jouir, cette fois, grâce à mon amour.
Un bruit me ramène à la réalité, les gendarmes sont revenus et nous observent.
FIN DE LA 1° PARTIE
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