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Petite timide, grands malheurs

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Ce qui attire les hommes chez moi, je l’ai découvert grâce à Ludwig. Ça a pris un certain temps, mais cette découverte à bouleversé ma vie.
Aussi loin que je me souvienne, je me suis souvent demandée ce qui clochait chez moi. Pourquoi étais-je aussi méfiante envers les autres? Le baiser inattendu de Ludwig à décelé ce mystère.
La fin de cette première journée de nouvelle année scolaire, je me rendais à mon arrêt de bus. Il était 18 heures, et comme tout le monde avait exceptionnellement fini assez tôt, l’établissement était très silencieux. Étant restée pour visiter et emprunter des livres, je me dirigeais vers la sortie. Ludwig, adossé à un poteau à l’entrée, m’était dévoilé peu à peu en montant les escaliers. Mes joues se sont empourprées malgré moi. Il se redresse en me voyant arriver et esquisse un large sourire communicatif. Je trace tout droit en essayant de ne pas croiser son regard mais il m’aborde en me saluant.Je poursuis mon chemin, empressée, mais il me hurle de m’arrêter. Terrorisée, je m’immobilise brusquement, les yeux fixés sur le bout me mes chaussures et bégaye un "oui" à peine audible.
<< _ Pourquoi t’es comme ça putain?!... Bon, tout à l’heure tu as oublié ça... >> Il sort de sa sacoche un petit cahier qui me sert pour écrire mes poésies ou dessiner. Il me le tend je le saisis lentement en haussant à peine le regard. Sur le point de partir, il m’attrape par les bras, me plaque violemment contre la barrière et m’embrasse sur les lèvres, je le repousse dans un embarras total, et nous restâmes un très bref instant silencieux, avant que je ne le gifle violemment.
<< _ Non, mais ça va pas d’embrasser les gents comme ça?!? Il me rend une gifle encore plus forte qui me fait vaciller et je me cogne violemment contre la barrière.
_ Fais gaffe à ce que tu fais, connasse! >> Encore sous le choc du coup, je ne peux pas répondre. Ma tête me fait horriblement mal et ma vision est troublée. Il semble inquiété et me demande si ça va. Je sens un liquide chaud sur mes mains qui tenaient alors ma tempe blessée, et lorsque je vois le sang, je perds connaissance.
A mon réveil, je suis chez lui, allongé sur son lit, et il est assit au bout, dos à moi, en train de jouer à la console. Je sens que ma tête est lourde et j’ai la vision qui se trouble chaque fois que je la bouge. Surprise: je suis en pyjama. Il m’a sentie bouger et se retourne:
<< _ Bienvenue à la maison! Chocolat chaud? me dit-il en désignant du menton, sans lâcher sa manette, la tasse et les pains au chocolat sur la table de nuit. Je me redresse péniblement et saisi le plateau._C’est... ta chambre?_Ouaip! _Oh... bah, merci..._Je te remercierais si tu portes pas plainte. >> Je ne dis rien et alors qu’il est toujours concentré sur son écran, je touche ma tempe pansée. Il m’a soignée. C’est... trop aimable. Quand je pense à la quantité de neurones que j’ai dû perdre en me cognant...Je bois, je mange. Puis je scrute la pièce à la recherche de mes vêtements. Pas de vêtements.
<< _ Qu’as-tu fais de mes vêtements?_ Mmh? T’appelles ça des vêtements, toi? Je les ai mis au sale. Il rit. Beaux nichons, mademoiselle!>> Mon sang ne fait qu’un tour. Je ne porte pas de soutien-gorge.

<< _ Qu... p-pourquoi tu ne m’as pas laissée habillée?!_ Bah parce que tes fringues étaient pleins de sang._ Ça... ça suffit! Je veux rentrer chez moi!!! >>
Je tente de me lever mais sans succès.
<< _ Tu peux pas te lever, t’as pas assez de forces. Et puis tu comptes rentrer chez toi comment? Tu crois que tu peux dans ton état? De toute façon y’a pas de bus à cette heure-ci. Et je te prêterais pas ma voiture. >>
Paniquée, je saisis mon téléphone: 9 appels manqués, une vingtaine de messages, tous de ma mère. Il est Minuit dix.Je tremble et les larmes me montent aux yeux.
<< _ Bon, moi, je suis crevé. >>
Il éteint sa console ainsi que la lumière. Plongée dans un noir total, je le sens se glisser dans le lit. Il ne me touche pas, il est juste allongé à côté de moi. Je sanglote. Après un long moment, je me calme enfin et tente de m’endormir. Sans réel succès.Un nouveau problème survient: j’ai envie d’uriner. Là, tout de suite, et ça peut pas attendre. Il fait noir et on ne distingue rien. Je ne connais pas cet endroit. Il me vient l’idée de le réveiller. Non, non... Mais, j’ai trop envie! Non, définitivement non. J’essaye de poser le pied au sol et de longer les murs, mais incapable de me déplacer, je tombe. Mes cuisses deviennent subitement humides. Puis très mouillées... Oh non, non... pas ça...La lumière s’allume soudainement. Ludwig se penche de mon côté et me retrouve assise par terre trempée dans mon urine.
<<_ Tu trembles. Tu as fais pipi? Incontinente, à ton âge... Le salaud se marre.Allons, allons! Ne pleure pas. >>
Il me porte et me conduit dans la salle de bain, me dépose délicatement dans la baignoire. et me déshabille complètement. Frigorifiée, je n’ose émettre bruit ni geste. Il ouvre le robinet et me coule un bain d’eau chaude. Il pose les gels douches, shampoings et serviettes de bain en évidence, puis il sort. Ma tête se vide complètement. Deux heures après, j’avais fini, et j’étais fatiguée comme pas possible. Je pousse la porte à la découverte de ce nouveau monde. une lumière m’attire. C’est le salon, et Ludwig est assoupi sur un canapé devant la télé. Je le réveille et il réagit très gentillement.
<< _ Putain, enculé de sa race, me réveille pas! Il s’étire en grinçant et fait la grimace._ Je sais pas où sont tes pyjamas, je dis d’une toute petite voix,_ Ah ouai, merde. Bon viens. >>
Il me tire par le bras jusqu’à sa chambre et ouvre un placard en désordre. Il plonge sa main dans une pile de vêtements mal pliés et en ressort comme par magie un pantalon fluide, puis un T-shirt noir. Il me les tends et je les saisis en le regardant avec embarra.
<< _ Quoi? Je t’ai mise à poil, tu vas pas chipoter pour ça. Habilles-toi! >>
Bien vu... J’enfile ces vêtements sous ma serviette. Il m’ouvre la couverture et je m’allonge à ses côtés. Il éteint la lumière et nous nous retrouvons à nouveau dans le noir. Un sentiment étrange m’envahis. C’est la première fois que je me retrouve dans un lit de garçon. Avec un garçon dedans. Je ferme les yeux et je m’endors.
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