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Petite timide, grands malheurs

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Quand je repense à ce soir, ce premier soir où il m’a soumise, je me rend compte que c’est lui qui a façonné ma nouvelle vie. Mais étais-je vraiment en adéquation avec lui? Je veux dire... Notre relation est faussée, elle n’est tellement pas réaliste, et est basée sur la contrainte.
Il me pousse dans la cuisine, déguisée en soubrette, un collier de chien un peu trop serré au cou. "Maintenant, on va s’amuser un peu..." Ses mots crus résonnent dans ma tête. J’ai peur. Sommes nous hors de la réalité? Je veux sortir. Je veux retourner chez ma mère...
<< _ Ranges-moi ce bordel._ ... P-Pardon?! _ Tu as mal entendu? Tu veux que je répète plus fort peut-être?_ N-Nonn ! Non ! J-Je range !_ Biiieeeen... >>
Je crus rêver. Il est vicieux, ce type. Il est bizarre. Il me fait flipper. C’est quoi ces manières?Désemparée et perdue, je ne sais par où commencer. Je jette un coup d’œil rapide: un lave-vaisselle! Je le vide, et le remplit de vaisselle sale. Ainsi s’enclenche le mécanisme. Les minutes passent, il est maintenant 18 heures. Ludwig est assis depuis un long moment à me regarder dans le silence le plus total. Mais je l’oublie facilement, concentrée dans ma tache. Cependant, contre toute attente, il élève la voix :
<< _ Enlève ce caleçon. >>
Quoi?!?
<< _ Qu’est-ce que j’ai dis?_ Mais je n’ai r-rien en dess..._ Enlève-le j’te dis! Obéis-moi ! >>
Chevrotante, je baisse timidement le caleçon, lentement... Lorsqu’il arrive à mes pieds, j’entends un clic étrange, et relève vivement la tête... Il m’a prise en photo... Un sourire au coin de la bouche, il me retourne avec hâte, soulève ma jupe et photographie mon arrière-train ; je pousse un cri effrayé et affreusement gêné. Il soutient mon regard, saisi mon menton... Il me chuchote cruellement "Et maintenant, tu es enchainée à moi..." et son rire obscène eu raison de mon humanité. Je tente de m’enfuir, mais il me saisit de nouveau les poignets.
<< _ Tu ne comprends pas? Tu es à moi. Tu ne peux plus partir. Tu ne veux pas que cette photo soit diffusée sur internet, ou pire, affichée sur les murs du lycée, si?_ T-Tu ne peux pas !
_ Ah oui? Essaies un peu de me tenter pour voir ! Il pianote sur son téléphone. Les photos, je les ai envoyées à un ami. Si ce n’est pas moi, ce sera lui, je n’ai qu’un mot à dire. >>
Mes oreilles bourdonnent, les pensées fusent à toute allure dans ma tête, et un énorme mal-être s’empare de moi.
<< _ Tu me plais Nya. Dès le premier regard, j’ai su que tu étais la partenaire idéale. Quand tu rougis comme ça, c’est charmant, et quand je te touche, tu te paralyse dans mes bras et tu n’oses rien faire, rien dire...>>
Les larmes me montent aux yeux.
<< _ Tu es fou! Tu es fou! >>
Il saisit mon coup scellé du collier, et resserre son étreinte, me fait basculer sur le sol et s’assoit à califourchon sur mon ventre.
<< _ J’adore te voir avoir peur. Tu frissonnes, tu pleures, on dirait un petit animal pris au piège. Tu as l’air toute douce, ainsi, mais je ferais ressortir ce qui est vilain au fond de toi, Nya. Tu es ma poupée de porcelaine, à présent. Tellement fragile... Je pourrais te briser le cou, si j’ai envie! Tu es à moi, et j’adore casser mes jouets. Ce collier, chaque fois que tu viendras ici, tu le mettras, et je te le promet, Nya, tu reviendras, encore et encore..._ Pourquoi moi?_ Chut! C’est nul comme question. En plus, je viens de tout expliquer. Tu as le collier, et c’est moi qui te l’ai mit, donc je suis ton Maitre, maintenant. Comme c’est vulgaire d’être une chienne, tu es une poupée. Tu m’appelleras Maître, et tu ne parles que si je te le dis. Tu acquiesce avec la tête, sans faire de bruit._ J’ai... J’ai mal... >>
Mon ventre me tiraillait de douleur sous le poids de Ludwig. Heureusement pour moi, il se lève, me porte jusqu’à son lit, me retire le collier.
<< _ Maintenant, il faut changer ce pansement... >>
Quoi? Il est méconnaissable! Il y a deux seconde, il était à deux doigts de me tuer...Il me retire le pansement, désinfecte la plaie, jette celui-ci par terre ( pas très hygiénique ) et sors un autre de sa commode pour me panser avec.Je reste muette. Il part. Je ne comprends pas bien... ce gars est bizarre... Pourquoi moi? Et... Sa copine? Est-ce qu’elle fait ça aussi...? Toutes ces émotions d’un coup m’ont achevée. Je me lève pour éteindre la lumière, mais le voici qui arrive avec un grand plateau, et sur lequel, des pâtisseries, de la confiture, du thé.
<< _ Tu as faim, non? Ca te dérange pas si on mange ensemble? Y’avait des crêpes et de la brioche au chocolat dans le frigo, je les ai faits réchauffer. Tiens, et désolé pour tout. >>
Il s’installe dans le lit à mes côtés. On mange et on s’endort vite, moi en soubrette, lui en jean et chemise.
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