Je me laisse guider par le fil. Il s’enfonce dans la forêt, je marche durant 500m puis au milieu des arbres il y a une clairière. Au milieu de celle-ci, une couverture rose sur laquelle est étendue ma joggeuse, ses seins dressés vers le ciel, ses jambes ouvertes elle fait presque un grand écart… Elle est belle, musclée, souple, elle a une bouche et une langue experte et je n’attends plus qu’une chose lui faire l’amour. Je m’approche, elle me dit de me mettre à l’aise et de commencer à m’occuper d’elle. Je quitte mes habits de sportif à la hâte et je viens me placer juste devant son minou. J’hallucine devant tant de souplesse, son intimité est totalement dévoilée dans cette position, je vois son bouton rose, ses lèvres sont écartées, je vois son orifice et son anus rose. J’approche ma langue de son bouton et je commence à l’aspirer doucement. Avec mes doigts je lui caresse chaque lèvre avec douceur de haut en bas et de bas en haut. Ariane me glisse les mains dans les cheveux. Petit à petit je descends la langue à l’entrée de sa fleur. Mes mains remontent le long de ses reins et viennent les titiller les tétons, je la pénètre avec ma langue. Je sens monter en elle le désir. Je remonte lui lécher le clitoris pendant que mes doigts viennent s’enfoncer dans son sexe et je commence des va-et-vient. Et la elle prononce les quelques mots que j’attendais : « viens et prends-moi !!! ». Je me redresse et je l’embrasse sur le pubis puis je remonte en répétant ses délicats baisers puis je sens mon sexe pointé à l’entrée de sa grotte. Je suis en elle, sa chatte est chaude et humide, je glisse. Je tends mes bras pour pouvoir admirer son corps. Quand j’arrive au bout de son entre, ses seins ondulent. Je la regarde, elle ferme les yeux, se mordille sensuellement les lèvres. Je saisis ses jambes et viens les placer autour de mon cou, elle est é-las-ti-que. Ma pénétration est plus profonde et je sens le plaisir monter en moi, elle commence à gémir. « Va plus vite va au fond je veux sentir tes boules tapées contre moi ». Elle crie et nous jouissons l’un dans l’autre. Je sens ma semence remplir son bas ventre elle sert ses jambes autour de moi à chaque giclée un peu plus. Puis tout à coup elle les laisse tomber sur la couverture. Nous sommes comblés tous les deux. Je m’allonge à côté d’elle, lui caressant la poitrine pendant que nous retrouvons nos esprits. Puis elle ouvre les yeux et me dit « C’était bon j’en veux encore ». Elle se redresse et prend mon sexe gluant et le gobe comme on gobe un escargot tout chaud… Je sens mon gland gonfler dans sa bouche et son aspiration est telle que bientôt il est raide comme la justice… Elle se lève et s’empale sur mon sexe. Je lui saisis les seins et les malaxe. Ils sont exceptionnels. Pendant ce temps Ariane est accroupie et fait des va-et-vient rapides. Je vois les muscles de ses mollets et de ses cuisses se contracter les après les autres. Je suis ébahi pas son endurance et sa musculature. Je lui lâche les seins pour venir lui attraper les fesses. Elles sont rebondies et fermes elles aussi. Maintenant ses seins balancent devant moi, elle vient m’embrasser goulument, nos langues se mélangent et ses tétons viennent frotter contre mon torse ils sont durs longs et épais avec la fraicheur du matin. Elle me mord les lèvres et je sens mon sexe glisser, elle mouille comme jamais. Tu me fais jouir avec ta bite. C’est bon !!! Je veux sentir ton foutre en moi vient, jouit avec moi !!! REMPLIS MOINS !!! MAINTENANT !!! Autant dire que ses paroles eurent l’effet instantanément. Je monte mon bassin pour la pénétrer au plus profond. Nous sommes en opposition de phase et je me vide comme si je n’avais pas fait l’amour depuis des mois. Puis elle s’écroule sur moi et m’embrasse. Nos corps sont vidés mais sa chatte est pleine. Nous nous rhabillons. — « À toi de me préparer une surprise dimanche prochain » me dit ma biche des bois en s’éloignant. La semaine me sembla interminable. Le dimanche matin la météo est incertaine, je pars plus tôt, pour une fois, pour mettre en place ma petite surprise. Lorsqu’Ariane arrive, elle trouve une pancarte « Retrouve ton grand méchant loup ». Le fil n’ayant pas disparu elle le suit et à dix mètres de notre clairière une autre pancarte lui indique de placer ses vêtements dans un sac zip et de ne garder que ses chaussures. Elle se retrouve nue au milieu de la forêt. Quand elle arrive vers la clairière je me suis caché pour admirer le spectacle et je ne suis pas déçu. Elle semble flotter au-dessus de la végétation, son corps musclé, ses formes généreuses et ses seins qui pointent vers le ciel sont magnifiques, Je suis en extase devant tant de grâce… Quand elle voit la couverture rouge et le panier, mon petit chaperon fait un tour sur elle-même et je peux admirer ses fesses qui semblent sortir d’une page de magazine. Elle s’approche s’assoit sur la couverture et s’approche du panier ; soulève le torchon et lit : « Fais ton choix parmi les produits suivants petit chaperon et enduis-toi les endroits du corps que tu veux que le grand méchant loup te dévore… ».
Elle choisit le Nutella qu’elle fait couler sur ses seins, puis saisit la chantilly, elle commence par s’en mettre au-dessus du nombril et descend jusqu’à sa chatte. Elle s’allonge et dit : « J’attends que le loup vienne me dévorer, je suis à sa merci. Ouhhhhh !!! »Je bondis et me précipite sur sa poitrine. Je commence par lécher ses seins et je finis par ses tétons en les mordillant et en les aspirants dans ma langue recourbée. Le gout du Nut sur sa peau douce et son odeur si agréable c’était enivrant. Ma joggeuse semblait apprécier mes léchouilles. Je me mets au-dessus d’elle, je pars du nombril et je descends doucement sans laisser la moindre trace de chantilly. Mes mains lui effleurent les cuisses et remontent jusqu’à ses fesses. J’entends Ariane trifouiller dans le panier. Je continue de descendre et au moment où j’arrive au niveau de sa fine toison, je sens mon sexe rentrer dans quelque chose de liquide. À la consistance, je reconnais le miel. Dès que ma bite sort du pot, elle l’avale et aspire. Je me sens comme fou devant une telle douceur et une telle maitrise de la fellation. Je recommence à lui brouter le minou en y mettant tout mon cœur. Ariane frétille sous mes coups de langue et de mon côté je ma sève monter quand ma divine suceuse me dit qu’elle jouit je lâche tout dans sa bouche. Je bois presque sa mouille tant c’est liquide. Nous nous retournons et nous nous roulons un patin magistral où nous continuons nos mélanges de mouille et de sperme. Je me mets sur elle et j’enfonce délicatement mon sexe, de nouveau au garde à vous, et je fais des mouvements amples. À chaque fois ma bite ressort de sa chatte pour mieux y rentrer. J’aime cette douceur puis je lui demande de se mettre à quatre pattes pour pouvoir profiter de la vue de ses fesses pendant que je lui fais l’amour. Je la pénètre profondément et toujours doucement pour faire durer le plaisir. Je n’ai pas envie que cette matinée se finisse… Mais quelques gouttes commencent à tomber puis ce sont des trompes d’eau. Tout en continuant nous nous abritons sous la couverture. Nous nous apercevons que notre clairière est en fait une cuvette et rapidement une flaque se forme et nous avons les genoux qui s’enfoncent dans la terre. L’herbe a laissé la place à un mélange d’eau et de terre, de la boue... Soudain, la pluie cesse quasi instantanément. À chaque pénétration j’entends le clapotis de ses seins sur l’eau. Je me penche et je peux admirer le spectacle. J’accélère le mouvement pour voir ses seins se percuter. Une idée saugrenue me vient alors à l’idée ; je commence à ramasser de la boue et j’en enduis les seins de ma belle, puis ses hanches, son dos, son ventre. Cette sensation décuple notre excitation puis Ariane se laisse complètement aller dans la boue. Je la retourne et je la pénètre de plus belle mais ce coup-ci mes mouvements sont plus courts mais plus rapides et plus durs. Ariane crie, elle met ses deux jambes autour de moi pour que nos corps fusionnent et que la boue recouvre nos deux corps. Et nous jouissons une nouvelle fois. Je commence à m’affaler sur elle mais avec ses et son corps elle donne un coup de reins et je me retrouve sur le dos toujours dans la boue. — « Mange-moi la chatte encore une fois et occupe-toi aussi de mes seins ». À peine a-t-elle fini de prononcer ses paroles que je me retrouve les nez dans sa chatte. J’ouvre la bouche et lui lèche avec attention la chatte, j’enfonce ma langue et je sens mon sperme encore chaud couler mais je l’avale et je continue ma besogne avec tout mon cœur pendant mes mains la pelotent. Je fais rouler mes doigts autour de ses tétons. Puis dans l’excitation je commence à descendre un peu plus bas vers sa petite rondelle.« C’est la première fois qu’on me titille l’anus, je n’étais pas pour… Mais là je dois bien reconnaître que je veux que tu continues de t’y arrêter de temps en temps » me soupire mon « chaperon nu ».Ces paroles d’encouragement me font tellement raidir le bout qu’il en est douloureux. Je continue mes va-et-vient entre ses deux orifices. Ariane gémit, crie m’enfonce la tête dans son antre. Tout à coup, mon sexe est avalé, pas par une bouche mais…. À suivre…
