Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 48 J'aime
  • 3 Commentaires

Peut être eût-il mieux valu ne pas provoquer Saphô ?

Chapitre 1

Provocation saphique

Lesbienne
« A une aimée :
Il goute le bonheur que connaissent les DieuxCelui qui peut auprès de toiSe tenir et te regarderCelui qui peut gouter la douceur de ta voix… »
Saphô, première strophe, 630 avant JC, Ile de Lesbos...

« Putain elle me fait chier cette conne de Noémie, elle est toujours sur mon dos ! (Cécile jette son sac de sport par terre avec violence)
— Mais que t’arrive-t-il encore mon amour ?
— Noémie ! Elle est d’une effronterie, elle ne peut s’empêcher de m’humilier devant les autres… et surtout les parents des élèves de mon groupe.Je suis encore passée pour une conne incapable !
— Mais non voyons…
— Écoute Fabrice, si le prochain cours elle me refait ça, je lui rentre dans le lard et je l’explose, public ou pas !
— Bon ma chérie, on va essayer de ne pas arriver à de telles extrémités, veux-tu ? D’ailleurs je crois que j’ai une idée pas piquée des vers qui devrait te plaire …
— Bon alors quoi, arrête avec ton sourire vicieux…qu’est-ce qui t’es encore passé par la tête ?  »

Cécile ma femme était assise devant moi sur le canapé, elle ne s’était pas encore changée, en rentrant de son cours de volley ball.
Je pouvais admirer ses cuisses fines et musclées seulement couvertes d’un short assez informe.En haut sa poitrine ferme mais petite était cachée par une brassière et un teeshirt blanc.Ses cheveux étaient liés sur le haut de la tête par un élastique de couleur, lui faisant une jolie queue de cheval. Même ainsi, en vêtements quelconques et sans apprêtement aucun, ma femme était superbe, désirable après l’effort dispensé au sport.Une fois par semaine elle avait accepté de donner des cours aux petits pour leur apprendre les rudiments du volley.
Depuis le mois de Septembre dernier, la nouvelle prof était Noémie, une montpelliéraine de 24 ans fraichement sortie du CREPS.Elle n’avait que peu de charme, jeune femme châtain aux cheveux longs, assez costaud de 1,80 mètre environ… enfin pour être franc, elle ne faisait pas d’efforts pour se mettre en valeur et affirmer sa féminité.Elle semblait se complaire dans un look plutôt androgyne, voire masculin.

Le moins que l’on puisse dire c’est que le courant passait peu entre ma femme, très féminine, enjouée, ouverte aux autres et Noémie, autoritaire, envieuse, introvertie… malheureusement pour Cécile, c’est elle qui dirigeait le cours.Les enfants se battaient presque pour éviter les groupes de Noémie et rejoindre ceux gérés par mon épouse ; aussi cet état de fait ne faisait que renforcer la haine de celle-ci à l’encontre de mon épouse.
Mais ainsi que me l’avait révélé Cécile, le problème de mésentente entre les deux femmes était beaucoup plus profond …Noémie avait, dans un moment de camaraderie assez rare entre les deux femmes, avoué à Cécile son homosexualité, révélant que la jeune femme blonde coupé court qui venait souvent la rejoindre, pour la soutenir, n’était autre que son amante, Manon.
Cécile était restée de marbre à cette annonce qui au fond ne la concernait pas vraiment, mais ce qui la gênait quelque peu, c’est que Noémie fut beaucoup plus prévenante à son égard, lui proposant même un soir de l’aider à enlever son teeshirt poissant de sueur qui s’était quelque peu resserré sur son buste.Puis lui proposant même de l’aider à prendre sa douche, en lui passant du savon sur le dos !Cécile avait décliné l’offre poliment déclarant qu’elle préférait que ce soit son mari qui le lui fasse.Devant le regard de haine de Noémie, Cécile avait préféré s’esquiver poliment et rentrer chez elle. A partir de ce moment, la vie de Cécile, sur les stades devint un enfer, constamment sollicitée ou brimée par la jeune éducatrice sportive…
Il faut dire que se faire brimer à 47 ans par une jeune femme, ayant à peu prés l’âge de notre fils était quelque chose de dur avaler !

La semaine suivante, Cécile mit en application mon plan de revanche…malheureusement ce dernier allait avoir des conséquences dépassant tous mes plus grands cauchemars.

C’est de mon cabriolet et en tailleur noir (comme la voiture) que Cécile descendit du véhicule, son sac de sport à la main.Je l’avais aidé à se maquiller, je lui avais conseillé de se faire teindre les cheveux en roux acajou.
C’est donc une magnifique «  businesswoman » rousse, maquillée et apprêtée comme pour un cocktail mondain, des bas-couture aux jambes, que virent passer les membres de l’équipe de foot locale.Devant l’apparition divine et sexy, les footeux virent leur processus mental, passer de la sphère intellectuelle cognitive au cerveau reptilien du Cro-Magnon :
«  Femme/sexy …femme/cherche sexe…homme/désir femme…désir femme/copulation…copulation/éjaculation, plaisir !  »
Voici, réduits à quelques mots, 100 000 ans de progression et d’évolution de l’Espèce Humaine !Le pauvre arbitre en perdit son sifflet et tous restaient la bouche ouverte, les yeux exorbités, suivant du regard la divine apparition.Bon après, un petit village de l’Aveyron ne voit pas beaucoup passer de « bombasses style Quartier Latin… »

Cécile mal à l’aise se dépêcha de rentrer dans le gymnase où l’attendait les groupes d’enfants et leur professeure Noémie.Ici aussi le silence se fit instantanément. Noémie resta elle aussi « en arrêt ».
Sans piper mots, Cécile se dirigea immédiatement dans le vestiaire des filles.Elle attendit quelques minutes,faisant semblant de farfouiller dans son grand sac de sport…ainsi qu’elle l’avait escompté, Noémie la rejoignit, mais resta discrètement à l’abri de la porte légèrement ouverte, espionnant par l’entrebâillement.Cécile commença alors un strip-tease digne d’une professionnelle.Elle retira doucement la veste du tailleur noir, qu’elle posa sur le dossier de la chaise à coté d’elle, puis suivit le chemisier…la jupe glissa sur ses jambes gainées de soie.Elle était en guêpière rouge et noire, et bas-couture.C’est le moment que choisît Noémie pour rentrer dans le vestiaire.
«  Oh pardon, je ne savais pas que tu te déshabillais…
— Il n’y a pas de mal, on est entre filles, ça va Noémie ? (à ce moment Cécile quitta son tanga, apparaissant le sexe glabre devant la jeune femme.)
— (Celle-ci piquant un fard) heu ! Il faut que je dresse le filet…a toute… »

Seulement ce que n’avait pas prévu Cécile, c’est que Noémie comprit très vite le jeu vicieux et pervers que jouait Cécile.Elle saisit son Smartphone et prit plusieurs clichés de Cécile qu’elle envoya à sa copine Manon avec le petit commentaire suivant :
 SMS de Noémie/Manon : « Regarde cette salope de Cécile comme elle est trop bien foutue…elle m’allume à mort pour se venger des mesquineries que je lui fais ! Qu’en penses-tu ? »
SMS de Manon/Noémie : «  Aucune meuf ne peut se balader la chatte à l’air, pour essayer de me piquer ma femme…elle veut de la chatte ta pétasse ?? On va lui en donner…J’ARRIVE ! »

Cécile se changea complètement, remit ses habits de sport et c’est une animatrice à peu prés correcte, à part le maquillage un peu lourd qui prit en charge les enfants.Noémie gardant un calme olympien s’occupait de son groupe.Elle libéra les enfants sans leur faire ranger le matériel et se retrouvant seule avec Cécile qui allait partir, elle lui demanda de tout ranger ; elle-même devant s’absenter plus tôt que prévu.Cécile reconnut aussitôt «  un joli coup de pute » et se dit que la blague avait peut être été trop loin…elle ne pensait pas si bien dire.

Alors qu’elle avait fini de descendre les filets, rangé les quilles de sécurité routière, et les ballons, elle se rendit dans le vestiaire et en entrant remarqua une silhouette.
Passé la surprise, elle reconnut Manon la copine de Noémie…celle–ci était habillée gothique, blouson de cuir, bottes de combat en cuir, pantalon élastiss très moulant, une ceinture à clous sur le haut des cuisses, et peut être plus inquiétant un teeshirt orné d’une magnifique tête de mort assez lugubre.Son maquillage gothique, fond de teint blanc, lèvres violettes, mascara, et eyelineur très noirs ; cela la mettait en valeur tout en lui donnant un air inquiétant :
«  Si tu cherches Noémie, elle est partie plus tôt que prévu…
— Non ma chérie, c’est toi que je suis venue voir…alors il parait que tu te ballades la chatte à l’air devant ma femme ?? Tu joues à quoi là ?C’est pas bien d’essayer de piquer les meufs des copines, cela se paye … très cher !!  »

Cécile, très mal à l’aise, cherchait un quelconque moyen de se tirer d’affaire, car elle sentait que Manon ne rigolait pas ,et qu’elle allait passer un sale quart d’heure.
«  Ben alors tu ne te changes pas ? Ma copine m’a dit que tu portais de charmants sous-vêtements très sexy et que tu avais une jolie petite chatte toute lisse…j’aimerais bien la voir moi aussi, à moins que tu ne m’en considères pas digne ?On est entre filles n’est ce pas, quand on a un beau corps, on se doit de le montrer sans honte… À moins qu’à 47 ans tu aies quelques vices cachés ?Vergetures, culotte de cheval, cellulite ?? »

Cécile qui prenait bien soin de son corps et de son apparence en général et qui se targuait, grâce à un régime draconien et au sport, de posséder le corps d’une jeune femme de 20 ans, prit la mouche devant l’affront et commença à se déshabiller.Elle se mit rapidement nue devant Manon, qui appuyée le dos contre le mur, n’en perdait pas une miette.Puis elle retira lentement ses sous-vêtements de son sac, et langoureusement revêtit la guêpière, et posant un pied après l’autre sur une chaise, telle une danseuse de cabaret, enfila ses bas, qu’elle remonta le long de ses jambes avec lenteur et délectation, puis accrocha les clips. Mais elle ne mit pas le string.
Les mains sur les hanches, avec un air de défi, elle toisa Manon :
«  Alors ça te plait…
— Ouais t’es pas mal, dommage que tu n’aimes pas les femmes.
— Peut-être qu’on pourrait l’initier à deux ? »

C’était Noémie qui venait de rentrer dans le vestiaire, un gode à la main.Elle se dirigea vers Cécile, le sextoy à la main tel un poignard, s’arrêta devant elle, lui fit un grand sourire et se retourna pour aller enlacer Manon, qu’elle embrassa langoureusement.Cécile qui avait pensé se faire violer par la jeune fille, poussa un soupir de soulagement.

Manon, enleva le teeshirt de Noémie, laissant ses seins apparaitre, les pointes turgescentes.Puis toujours embrassant son amante à pleine bouche, elle fit glisser jogging et petite culotte, Noémie se retrouva nue entre les bras de sa copine.Elle commença elle aussi à déshabiller complètement Manon.Nues et toujours s’embrassant férocement, les deux jeunes femmes se couchèrent sur le gros tas de tapis de sport.Et là, elles commencèrent à faire l’amour, se caressant, se frottant l’une contre l’autre, s’embrassant toujours.

Manon les cuisses généreusement écartées commençait à gémir sous les douces caresses de son amie. Celle-ci approcha son visage de l’entrejambe de Manon et doucement embrassa son sexe au petit triangle de poils blonds.Elle commença à masturber doucement son amie de sa main gauche, puis lécha délicatement ses nymphes. Manon subissait ces délicieux outrages en gémissant doucement.Puis Noémie estimant son amie bien préparée, commença à introduire doucement le gode dans sa vulve par petites mouvement tournants.Manon n’en pouvant plus, commençait à jouir et à exprimer son plaisir par des ahanement et des petits cris.

Cécile, abasourdie par la scène d’amour saphique ne pouvait en détacher les yeux…elle sentait son ventre se tordre de désir, sa propre vulve exprimer une envie sexuelle intense ; ses lèvres s’entrouvraient et une délicieuse chaleur humide se répandait entres ses cuisses.

Mais elle n’osait pas approcher la main de son intimité, ne sachant quelle réaction les deux filles pourraient avoir si elles la voyaient se donner du plaisir…Piquant un fard elle décida de fuir. Ramassa ses vêtements,revêtit à la hâte jogging et veste, prit son sac et quitta le vestiaire. Noémie goguenarde lui cria :
«  Cécile, si ça t’a plu, vient demain fringuée comme ça, on fait une partie entre filles…22h00 chez moi ! »

Cécile le feu au visage et ailleurs, se précipita dans la voiture et démarra sur les chapeaux de roues.Arrivant chez elle, un peu calmée, elle demanda un double whisky à son mari, celui-ci demanda des détails sur l’accomplissement de son plan génial :
«  Oh oui, ça a marché au delà de tes espérances ! »
Mais dans son égoïsme et sa forfanterie, il ne pensa même pas à demander si, elle, en avait retiré quelque chose de positif ou de négatif…

Cette nuit là, Cécile dormit très mal, se voyant ou rêvant de faire l’amour avec des femmes, leur caresser les seins, se faisant gamahucher et jouir, jouir, comme jamais avec son mari.

Toute la nuit sa main ne quitta pas son entrejambe, mais jamais elle ne réveilla son conjoint pour satisfaire son plaisir…Elle lui en voulait terriblement : à cause de lui elle avait encore été une fois humiliée et effrayée à cause de son plan débile.Elle allait le lui faire payer…elle savait comment !
Diffuse en direct !
Regarder son live