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  • Concours Au service d'Erika

Phildomi au service d'Erika

Chapitre 1

Divers
Erika sort de son travail. Il n’est pas très tard, il fait encore jour. Aujourd’hui, elle a travaillé au milieu de l’open-space, pas de fenêtre que de la lumière artificielle. Cela ne lui permet pas de savoir quel temps il fait dehors et elle n’aime pas cela. En ce soir de début d’été, il fait bon et elle est contente d’avoir mis sa petite robe, pourtant, elle a longuement hésité ce matin et elle a fini par se décider pour cette robe légère qui lui arrive à mi-cuisse. Elle a un beau décolleté qui laisse bien voir ses seins. Dessous, elle a mis un soutien-gorge pigeonnant et un string, le tout de couleur chair pour que les sous-vêtement ne se voient pas à travers la robe. Elle a mis un collier discret qui habille son cou. Elle a bien vu que sa tenue plaisait à ses collègues. Les regards, aussi bien masculins que féminins, ne trompent pas. Cela la fait sourire, elle aime plaire. Souvent, elle s’amuse à circuler dans l’open-space pour des prétextes divers et variés. Elle passe entre les bureaux, elle s’arrête, pose des questions en se baissant un peu, pas trop pour que cela ne soit pas vulgaire. Cela fait toujours sont petit effet. Avant d’être des geeks, ce sont des êtres humains.
Depuis qu’elle a repris le site X-tory, elle se sent bien. Elle aime s’occuper du site, surtout du forum de des histoires. Bien sur, elle a quelques chouchous mais elle essaye d’être impartial . Ce qui l’ennui le plus, c’est de faire des bannissements et d’être obligée d’intervenir sur le forum quand les discussions s’enveniment. On se croirait dans une cour de récréation en primaire mais autrement, c’est plaisant. Elle lit les récits qui sont envoyés, elle est bien obligée d’avouer que certains ne la laissent pas insensible. Des fois, elle aimerait pouvoir se caresser en lisant mais dans un open-space cela se verrait tout de suite et pourrait rapidement tourner à l’orgie.
Elle regarde le ciel, il fait vraiment trop beau pour rentrer s’enfermer dans un appartement. Elle décide d’aller faire un tour dans Paris. Tout en déambulant, elle pense à ce qu’elle a à faire ce soir. Préparer le dîner et ne pas oublier de donner à manger à sa chatte, prendre un bon bain où elle pourra rêvasser. Erika adore ça, un bain chaud et rêvasser, un vrai bonheur. Elle se retrouve à la pyramide du Louvre, traverse les jardins, elle passe à côté de l’Orangerie, s’installe sur un banc. Elle aperçoit un jeune couple un peu à l’écart, pas très loin d’elle. Ils s’embrassent et se caressent. La main du garçon remonte le long de la cuisse de la fille, passe sous sa jupe. La fille répond avec fougue à son baiser et caresse la bosse de son pantalon. Erika les regarde franchement. La main de la fille ouvre la braguette et rentre sa main à l’intérieur du pantalon. Le garçon s’assoit sur le banc, la fille se met à califourchon. Erika a entendu le gémissement de la fille quand elle s’est empalée sur le sexe du garçon. Il a suffi de quelques va-et-vient pour qu’ils jouissent tous les deux. Au bout de quelques minutes, la fille se relève, le garçon se reboutonne. Au moment de partir main dans la main, la fille se retourne vers Erika et lui fait un grand sourire. Erika répond à son sourire. Erika pense qu’ils ont de la chance, ils sont jeunes et assez inconscients. Elle se lève à son tour et s’en va. Elle traverse la seine, se retrouve devant le musée d’Orsay. Sur une impulsion, Erika décide de rentrer dans le musée. Une fois le billet pris, elle regarde les tableaux du musée. Elle passe de galerie en galerie et s’arrête devant l’origine du Monde de Gustave Courbet. Elle s’assoit et contemple l’œuvre. Décidément c’est vraiment le plus beau tableau qu’elle connaisse.
Elle se lève pour mieux l’admirer. Elle sent une présence derrière elle— Joli tableau. La voix est douce mélodieuse. Je me demande si tous les sexes des filles sont comme cela, continue la voix. D’après vous, c’est avant ou après qu’elle est fait l’amour?— Je ne sais pas, répond Erika. Je ne connais pas tous les sexes féminins et pour l’amour, je dirais avant. Là, elle attend— Alors, votre sexe, est-il comme celui-là, aussi poilu et aussi ouvert?— Vous êtes bien trop curieux— Vous savez que Courbet a peint beaucoup de nue— Oui, répond Erika dans un soupir— J’aime bien la femme au perroquet— Dommage qu’elle ne soit pas à Orsay, répond Erika, mais vous avez raison, elle est très sensuelle
Elle sent le corps qui s’appuie dans son dos, Erika ne dit rien, laisse faire. Elle aime cette ambiance feutrée, cette voix sensuelle. Toute à sa rêverie, elle n’a pas senti la personne partir. Elle sort de sa torpeur, regrette qu’il n’ait pas été plus loin, part du Musée. Arrivée dans la rue, alors qu’elle marche d’un pas rapide, elle pense qu’il faut qu’elle donne à manger à sa chatte, cela va devenir urgent. Elle ralentit le pas pour regarder les vitrines de vêtements,. Elle voit une ombre derrière elle. La voix dit:— Vous avez déjà quitté Orsay? J’ai l’impression que ce tableau vous a mis en émoi— Ho, monsieur, je ne vous permets pas
Les corps sont l’un contre l’autre. Erika sent le corps qui se frotte sur son dos. Des mains passent devant et caressent ses seins à travers sa robe. Les tétons d’Erika durcissent rapidement. Les mains frôlent les tétons, passent sous ses seins, descendent le long de son ventre. Erika ferme les yeux et se laisse aller. La voix lui parle à l’oreille. Elle a l’impression d’une berceuse. Elle ne sait pas ce que la voix dit, ce qu’ elle aime c’est le phrasé, la douceur, la mélodie de cette voix. La voix ne dit plus rien, Erika ouvre les yeux. Il n’y a plus personne. Erika a un soupir de déception. Elle reprend sa marche et se dépêche pour rentrer chez elle. Il faut vraiment qu’elle donne à manger à sa chatte, depuis le temps qu’elle attend, il faut qu’elle s’en occupe. Erika presse le pas.
Alors qu’elle est à cinq cents mètres de chez elle, elle entend de nouveau la voix derrière elle. Elle lui parle de tous les nues de femmes qu’elle connaît en, disant pourquoi elle les apprécie. La voix lui dit qu’elle a raison, que ces femmes lascives attendent leurs amoureux. La voix lui parle du tableau de la jeune fille et le chien de Fragonard. Erika a ralenti, marche très doucement. La voix continue et parle maintenant des sculptures de Khajuraho. Ces sculptures qui sont très suggestives, ses entrelacements de corps, ses positions qui ne laissent aucun doute aux visiteurs. La voix lui susurre que lorsqu’on est dans cet endroit et qu’on regarde les sculptures, on ne peut qu’essayer immédiatement les positions représentées et elles sont tellement nombreuses que cela prend beaucoup de temps et que pour certaines positions, il faut plusieurs mâles virils pour une femme
Erika s’est arrêtée. Elle se retourne brusquement, prend le bras de la personne et l’emmène dans un bosquet. Là, elle le pousse pour qu’il s’allonge. La voix s’est tue. Erika arrache la chemise, s’acharne sur le pantalon et enfin trouve ce qu’elle cherche. Un superbe sexe, bien raide, bien droit. Elle fait une fellation, commençant par le gland, passant sa langue, le léchant sur toute sa longueur, caressant les bourses et puis ouvrant la bouche pour prendre entièrement le sexe.Elle recommence plusieurs fois. Elle s’arrête toujours avant que le sexe éjacule. Enfin, elle arrête de lécher, enlève son string et s’empale sur le sexe turgescent. C’est une chevauchée fantastique, une ondulation des deux corps, des perles de sueur apparaissent sur la peau des deux amants. On peut voir les feuilles du bosquet bouger. Après avoir joui une première fois, Erika recommence sans attendre, elle n’en a pas assez., elle a trop faim, trop envie, elle en veut encore. Ils revisitent entièrement le Kamasutra en ajoutant quelques variantes même si cela paraît impossible. Erika jouit plusieurs fois. Son sexe est rempli de sperme. Voilà, sa chatte a eu à manger.
Après un peu de repos, elle regarde l’homme amoureusement— Je vais être bonne pour te racheter une chemise. Viens, mon chéri, rentrons, c’était vraiment très bien et j’ai encore envie mais je pense que chez nous ce sera plus confortable.
Ils se lèvent, il est tard, la nuit est tombée. Les lumières de l’appartement ne sont éteintes que très longtemps après. Erika aura besoin d’un joli maquillage demain matin pour que personne ne puisse deviner la nuit qu’elle a passée.
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