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Philippe

Chapitre 4

Hétéro
EMMÉNAGEMENT
Le déménagement est prévu pour le week-end suivant. Lucien accapare sa fille les soirs précédents. Il sait qu’elle lui échappe comme Sylviane auparavant mais veut bénéficier jusqu’au bout du corps de sa cadette. Annie n’ose pas se rebeller. Elle a un peu honte de tolérer cette débauche sexuelle, qui l’émeut plus qu’elle ne le voudrait, mais justifie sa passivité consentante en se disant que cela va bientôt finir et qu’il est normal que son père en profite. Il l’aide à transporter ses affaires dans le petit logement. Annie se souvient en souriant de sa réflexion lors de la première visite à son père dans ces lieux. « Que c’est petit! » pensait elle en se demandant comment elle pourrait vivre dans un endroit aussi exigu. Aujourd’hui cela ne lui paraît pas si petit que ça, peut être admet elle parce qu’elle aura à le tenir propre! Lucien la quitte avant l’arrivée de Philippe. Il ne tient pas à rencontrer le garçon. Il embrasse sa fille longuement et lui fait promettre à nouveau sa visite.
En attendant celui qu’elle considère comme son fiancé, elle fait le tour du salon. Voilà le canapé où ils se sont si souvent caressés son père et elle. C’est décidé, ils feront l’amour dessus avant même de ranger! Manière d’exorciser les fantômes! Un coup de sonnette, c’est Philippe. Elle se précipite, débloque le portail sans même demander qui sonne et attend le cœur battant. Le bruit de l’ascenseur qui monte, la porte qui coulisse, des pas, elle ouvre. — Ah! Te voilà! Elle le tire dans l’appartement. Il lui échappe le temps de rentrer ses cartons entassés sur le palier. La porte refermée, elle lui saute dessus, l’embrasse, le déshabille. Amusé par cette exubérance, il la dévêt à son tour. Ils s’enlacent, elle le fait tomber sur le canapé prend son sexe et s’empale dessus. — Aaah! Elle est déchaînée. Ses seins voltigent devant la figure de Philippe qui les soutient de peur qu’ils s’envolent! Il la laisse se fatiguer. Au bout de plusieurs minutes l’essoufflement vient à bout de l’endurance de la jeune fille. Il en profite pour la prendre à bras le corps et sans désunir leurs sexes, la retourne sur le canapé. Il la pénètre. Grands mouvements calmes. Annie tremble. C’est encore plus excitant que la folie précédente! Elle projette le bassin au devant de la queue, s’ouvrant au maximum pour sentir le gland buter contre l’utérus. — Aaah! — On croyait avoir raison de moi hein? — Ouiii! — Qui c’est qui jouit comme une chatte en chaleur? — Ouiii! — Qui c’est qui aime que je la baise? — Ouiii!… Aaaah!… Mmmh! Elle serre les lèvres comme si la jouissance qu’elle éprouve allait s’échapper par la bouche. — Mmmh! — Aaaaah! Philippe accélère au rythme des contractions de sa queue. Annie ressent le sperme gonfler le vagin, entourer la verge de sa douceur. Un dernier orgasme la terrasse. — Aaaah! Ils ne bougent plus. Le calme est bienfaisant après l’effort. — S’il te plaît. Elle repousse doucement le corps qui l’écrase et s’isole aux toilettes.

A son retour, Philippe cherche encore son souffle. — Eh ben! Regardez-moi cette mauviette qu’un petit coup met sur les genoux! — Attends! Tu vas voir si je suis hors course! Il l’empoigne par le bras et l’aplati sur le canapé, jambes écartées. Il caresse les fesses faisant naître les grumeaux de chair de poule sous ses doigts. Il caresse le pourtour de l’anus. Annie se met à trembler. Elle devine ce que Philippe veut. Elle est à la fois heureuse de lui offrir son cul et inquiète, partagée entre un sentiment de honte et la crainte de la douleur. — Ma chérie, ma chérie, murmure-t-il, tu veux bien? Devant la passivité apparente, il enfonce le bout du doigt. — Aaah!… Tu me feras pas mal? — Ma chérie, non, je ne te ferai jamais mal. Il assouplit l’anus, puis le frotte avec le bout de son sexe qui a repris sa taille. — Tu… tu mets pas de beurre? Il sourit. — Tient! Tu connais? Qui te l’a appris? Ton père? — Ou… oui. — Avec toi? — Oh non! Pas moi! J’ai pas voulu… pas lui pour la première fois. — Avec qui alors ? Martine? — Euh…— Ah! François aussi! Cela ouvre des horizons nouveaux au garçon. Bon à savoir! — J’ai pas besoin de beurre, tes sécrétions sont un meilleur lubrifiant, reprend il en imprégnant son doigt dans le vagin et en tartinant l’anus… Là, je crois que ça suffit… Maintenant je présente ma queue… Tu la sens?— Mmmh! — Avec tes mains, écarte les fesses… Oui. A présent pousse!… Ouiii!… lâche les fesses! Le gland avalé par les muscles franchit l’anneau du sphincter. — Tu as mal? s’inquiète-t-il. — No… non. Elle est surprise. La première fois avec les copains de Luc, cela lui avait fait un mal horrible. Là rien de tel. Une sensation de gonflement agréable. — Aaaah! Philippe rassuré s’enfonce peu à peu jusqu’à buter contre les fesses. Il se retire de quelques centimètres. — Ooooh! — Qui a-t-il? s’alarme-t-il. Tu veux arrêter? — No… Non! C’est comme si on me vidait… Aaaah! — Soulève le cul… oui. Il passe la main sous le ventre et explore la fente humide. — Aaaah! Elle se penche un peu sur le coté pour faciliter la caresse des doigts. Philippe lime avec sa queue dans le sphincter et avec l’index dans le vagin. Annie tremble de tous ses membres. Elle ne sait comment se placer pour jouir au mieux des deux pénétrations. Ses phalanges blanchissent sur le coussin qu’elle martyrise. Cette étreinte la rend folle. Oh! Pas comme une possession classique. C’est différent, plus violent, mais elle a le sentiment que cette brutalité qu’elle n’accepterait pas lors d’une pénétration vaginale est normale ici. Philippe semble infatigable. A la longue le frottement dans l’anus devient douloureux. Elle va se plaindre lorsque les jets de sperme déforment son intestin, ce qu’elle ressent comme une délivrance. — Aaaah! Elle repousse le garçon. Le vide occasionné par la sortie du gland la fait frémir des pieds à la tête. — Ma chérie, ma chérie, balbutie-t-il… Je t’aime. Il voudrait la remercier la cajoler, l’embrasser mais il n’en a pas la force. Annie rougit de sentir des gouttes de sperme glisser contre ses cuisses. — Viens prendre une douche, ça te réveillera. Il la suit docilement.
— On rentre à deux là dedans? s’étonne-t-il. — On peut essayer! T’es pas d’accord? — Oh si! Ils se serrent l’un contre l’autre. Annie referme la porte coulissante. — Tourne toi! commande-t-elle. Elle le frotte dans le dos, sur les fesses, insiste sur la raie sur l’anus. — Hein que tu aimes ça! Il grogne de plaisir. — L’autre coté! Délaissant l’éponge, elle enduit les mains de crème à laver et passe sur la poitrine, les tétons, le ventre, le sexe. Sous la douce caresse la verge se développe. — Eh le petit coquin! On dirait qu’il apprécie. Elle décalotte le gland. — Aaaah ! Au bout quelques manipulations, la queue a retrouvé son arrogance. — Ben dis donc ! On dirait qu’elle en veut encore. — Pardi ! Il fait tourner Annie et se présente dans son dos. La verge s’incruste dans la raie. Avec les paumes, il enveloppe les seins, caresse le ventre, les doigts séparent les lèvres du sexe. — Aaaah! Ils ouvrent l’orifice du vagin et laissent la place au gland. — Aaaah! Ouiii! Annie s’agrippe aux robinets. Sans le faire exprès elle les ouvre en grand. — Ouch! C’est chaud! s’écrie Philippe. Elle ferme l’arrivée d’eau. Les coups de rein du garçon la soulèvent sur la pointe des pieds. - Attends! Elle se dégage, tourne face à Philippe, reprend la queue en main, soulève une cuisse et introduit le sexe. — Aaaah! Elle s’appuie sur ses épaules pour jouer du bassin pendant qu’il la soulève par les hanches. Ils soufflent et gémissent. La jouissance est longue à venir. Leurs mouvements mécaniques échappent à leur contrôle. — Aah!… Aah!… Aah!… Aah!… Aah!… Aah! Malgré la fatigue, ils ne peuvent arrêter. Enfin le frottement dégage les ondes espérées dans le ventre de la fille et sur la queue du garçon. Ils aimeraient accélérer mais n’en ont plus la force tout juste peuvent ils maintenir le rythme jusqu’à l’éclatement final.— Aaaah!
Enveloppés d’une serviette, ils retournent au salon. — Ben dis donc! s’exclame Annie, quelle inauguration! — Tu regrettes? Elle hausse les épaules, à question idiote, pas de réponse! — Bon, je vais mettre quelque chose et on va ranger. — Euh… tu peux rester nue, ça ne me gênera pas. — Moi si! Elle fouille dans sa valise et extrait son déshabillé transparent. — Ah! Comme ça je veux bien, sourit il. — Allez ! Remue toi et met une robe de chambre, il faut ranger nos affaires! — Une petite minute s’il te plaît. — Qu’est ce qu’il y a encore? — Viens ici. Il lui fait toucher sa verge qui raidit à nouveau. — Oh! — J’ai envie de t’embrasser. Fière des capacités de son « homme » elle se laisse disposer tête bêche sur le canapé et commence à sucer la queue qui lui a donné tant de joie pendant que Philippe excite son clitoris avec les lèvres et les dents... — Bon c’est fini? — Pour le moment, admet il en se dégageant. Ils font encore deux fois l’amour, après la vaisselle et plus tard dans le lit.
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