ANNIE REND VISITE A SON PÈRE Annie rend visite à son père. Philippe voulait l’accompagner. — Tu sais, ce n’est pas ma présence qui l’empêchera de te baiser, lui a-t-il déclaré, et j’aime te voir jouir même si ce n’est pas avec moi. Tu es si belle! Elle a refusé. Il a insisté, elle lui a tenu tête. Non, elle ne veut mêler l’amour qu’elle a pour son ami à l’étreinte incestueuse. Lucien l’attend sur le palier en robe de chambre. — Entre ma chérie. Il referme la porte et attire Annie contre lui. Il tente de l’embrasser, elle tourne la tête refusant le baiser. La bouffée de désir qui l’enveloppe au contact de la queue de son père sur sa cuisse, la fâche. N’est elle qu’une nymphomane? Que Philippe lui fasse l’amour plusieurs fois par jour ne lui suffit plus? — Alors ma chérie, comment ça se passe? — Bien Papa. — Tu as assez de place? Vous ne vous gênez pas dans ce petit appartement? — Tu voudrais qu’on fasse l’échange? — Non, vous pourriez venir vivre ici, il y a assez de place pour nous trois et vous seriez plus à l’aise. — Non, non, c’est très bien comme ça! Pas question maintenant, qu’elle connaît Philippe, de vivre en permanence avec son père. Il prendrait trop de place et elle ne saurait lui résister malgré la présence de son bien aimé. Elle préfère séparer les deux hommes qui comptent dans sa vie, rester maîtresse des moments qu’elle leur accorde. Lucien la fait asseoir sur le canapé et commence à déboutonner le corsage. — Il est gentil avec toi, ton Philippe? — Oh oui! Annie ôte le vêtement qu’elle dépose sur le dossier d’une chaise. Lucien dégrafe le soutien gorge. — Il fait bien l’amour? Il libère les seins qu’il soupèse avec les paumes. — Papa! Comment tu oses me demander ça? Ça ne te regarde pas. — Tout me regarde quand il s’agit du bonheur de ma fille. Il fait bien l’amour? Répond moi.
Il ouvre la braguette et tire sur le jeans. — Oui, soupire Annie qui soulève les fesses le temps que le pantalon descende sur les genoux. Lucien ouvre sa robe de chambre et pose la main de sa fille sur son sexe. Elle le manchonne machinalement, la force de l’habitude. Il embrasse les seins dont les tétons se fripent sous les lèvres. Il s’agenouille et la débarrasse du jeans et de sa petite culotte. La jeune fille caresse les cheveux de son père qui embrasse son sexe. — Aah! Lucien se relève présente sa queue entre les cuisses écartées. — Aaaah! Annie projette le bassin en avant et s’empale sur la verge. — Aah! T’en avais envie n’est ce pas? triomphe Lucien. — C’est pas vrai! proteste-t-elle regrettant son réflexe. — Ose dire le contraire! Ose prétendre que tu n’aimes pas que je te fasse l’amour ma petite chienne, ma petite fille lubrique adorée! Non, elle n’aime pas! Non! Ce n’est pas elle qui gémit sous les coups de queue, c’est son double, une autre Annie qui éprouve une jouissance malsaine aux pénétrations de la verge de son père. — Aaargh! Malgré elle, l’orgasme la rattrape au moment où Lucien déverse sa semence. Annie est furieuse. Furieuse de constater que son père la fait jouir, furieuse de s’avouer qu’elle n’a pas le courage de cesser de le voir, furieuse à l’avance du plaisir qu’elle éprouvera lors de sa prochaine visite, mais avec Philippe cette fois. C’est une erreur de l’avoir éloigné. Puisqu’elle ne peut s’empêcher de jouir avec son père, que ce soit en sa compagnie! — Tu me quittes déjà? se plaint Lucien, pendant que sa fille s’habille. — Oui, j’ai du travail qui m’attend. L’excuse est faible mais elle ne peut rester une minute de plus, tant elle a hâte de retrouver son amant, chez eux. — Tu reviendras bientôt j’espère. — Je ne sais pas, je verrai. Bien sûr qu’elle reviendra! Mais ne pas lui dire, le laisser dans l’incertitude. Elle court dans les couloirs du métro, sur le trottoir jusqu’à son immeuble. L’ascenseur est trop lent à venir, elle grimpe quatre à quatre les marches et se jette dans les bras de Philippe ravi de la recevoir. — Aime moi, mon chéri, aime moi! Il ne se fait pas prier. En un clin d’œil ils se déshabillent et roulent enlacés sur leur lit. Elle jouit comme jamais, heureuse de ressentir plusieurs orgasmes comme si cela effaçait l’étreinte incestueuse. — Qu’est ce que t’as ma chérie? Ton père n’a pas été gentil avec toi? — Si, mais promet moi de m’accompagner la prochaine fois. Il veut répliquer que c’est sa faute si elle y est allée seule, mais s’abstient devant son désarroi. — Je promets, dit il en l’embrassant.
