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Philippe

Chapitre 7

Hétéro
TORRIDE INVITATION
Samedi soir. Annie et Philippe sont invités chez Joseph et Sylviane. — Tu crois que Michel et Isabelle seront là? — J’en sais rien, répond Annie en fermant la porte à clé. Pourquoi tu me le demandes? — S’ils sont invités eux aussi, nous pouvons nous attendre à une soirée chaude. — Oh! T’y penses pas! Ils n’oseront pas! Pas devant toi. Ils entrent dans l’ascenseur. — Permets moi d’en douter. Tu m’as bien raconté qu’ils te caressaient après avoir fait l’amour entre eux. — Oui, mais t’étais pas là toi! — Je suis sûr que les deux hommes aimeraient t’en faire plus. Ils sortent de l’immeuble et se dirigent vers la bouche de métro. — Pour sûr que tu as raison! poursuit Annie, mais Isabelle et Sylviane le leur interdisent. — Sauf si elles s’occupent de moi. — Oh! Je t’interdis de t’attaquer à elles! — D’accord, je serai un modèle de sagesse. — Ne te moque pas de moi. Tu promets? Tu auras droit à un gros câlin quand nous reviendront. — Tu es un amour. Ils descendent sur le quai. — Et si c’est ta sœur et Isabelle qui me provoquent? Qu’est ce que je fais? Je fuis? — Ne dis pas de bêtises! — Je me laisse faire alors? — Tais toi, ça n’arrivera pas. Il est persuadé du contraire. — Mais si ça arrivait quand même?
La rame qui entre dans la station évite à la jeune fille de répondre. Le couple grimpe dans le wagon, trouve un coin pour s’enlacer. Annie réfléchit. Dans ce cas rien n’empêcherait les hommes de s’attaquer à elle. S’attaquer? Le terme la fait sourire, il est mal choisi! Elle embrasse son copain sur le coin de l’oreille. — Alors je me vengerai avec Michel et Joseph! Il la serre contre lui. Les usagers du métro les regardent amusés.
Effectivement Isabelle et Michel accueillent le couple avec Sylviane et Joseph. Les embrassades de bienvenues sont d’agréable prétexte à un pelotage en règle. Annie jette un coup d’œil à Philippe. Aurait il raison? Vont ils participer à une baise commune à six? Va-t-elle connaître enfin les deux hommes? Tout à coup elle en a envie et serait déçue si cela ne se produisait pas. Elle devine à leurs regards empruntés qu’ils ne prendront pas l’initiative malgré leur désir. Devra-t-elle faire le premier pas? Non, elle aurait trop honte, surtout après avoir interdit à Philippe de séduire Isabelle ou Sylviane. Il ne lui reste qu’à espérer que l’une d’entre elles, ou les deux pourquoi pas, se lancent à la tête de son copain.
Passablement excitée Annie prend place sur le canapé, vite rejointe par Isabelle. — Alors ma chérie, comment se passe la vie en couple? Raconte moi. La jeune fille baisse la tête. Elle ne tient pas à dévoiler combien le sexe est devenu important dans son existence. — Je vois que t’oses pas devant tout le monde. Viens avec moi, cela ne sortira pas de mon oreille. Elle se lève et tend la main pour entraîner Annie. — Ah non! s’écrit Michel. Ça suffit vos apartés! Annie n’est plus la pure jeune fille que nous devons protéger. Elle est devenue notre égale. — Oh! Elle est encore si jeune, se plaint Sylviane. — Peut être mais regardez la! Voyez comme elle resplendit. — En effet, admet Isabelle. Tu rayonnes de bonheur! Il fait si bien l’amour ton Philippe? La jeune fille confuse baisse les yeux. — Voyez ça, la timide! Elle nous donnerait envie de tester. — Je t’en prie, sourit Michel en caressant un sein d’Annie, te retiens pas, j’ai ici de quoi me consoler. — Veuillez bien vous taire espèces de débauchés! les gronde Sylviane. Isabelle ne l’écoute pas et s’agenouille devant Philippe, ouvre la braguette et sort le sexe du garçon. — Oh! Qu’il est mignon! On en mangerait! — Qu’est ce que t’attends! dit Joseph qui s’amuse comme un fou. — Chiche! la défie Michel. Ni une ni deux, Isabelle enfourne le gland pendant que Sylviane, contaminée par l’ambiance, descend pantalon et slip sur les genoux puis sur les talons. Philippe soulève un pied après l’autre pour les dégager. La jeune femme lui ôte le t-shirt et s’amuse à titiller les tétons pendant qu’Isabelle suce consciencieusement. Sans lâcher la verge, elle soulève la tête. — Excuse moi Annie, je t’ai pas demandé la permission, tu m’en veux? La jeune fille ne peut répondre occupée qu’elle est à embrasser Michel pendant que celui ci lui ôte le corsage et que Joseph tire sur la jupe.
Isabelle sourit et reprend la queue en bouche. Elle s’active comme si elle était pressée d’en finir. Philippe mord ses lèvres sur le gémissement qui lui échappe. Il veut retirer son sexe, Isabelle résiste et reçoit sur la langue l’offrande du sperme du jeune homme. — Mmmmh! Elle se redresse se frottant contre son corps et l’embrasse lui faisant goûter son sperme. Souriante, elle veut se dégager, mais il la rattrape dans son dos et soulève la jupe sur les fesses. — Oh! Il pousse un cri de surprise en découvrant que la jeune femme a omis de porter une culotte. Il se reprend vite. Il caresse les fesses, la raie, insinue les doigts entre les cuisses, sur le sexe. Isabelle est trempée. Elle gémit sous les attouchements. Elle regarde autour d’elle. Sur le canapé, son mari et Joseph s’empressent auprès d’Annie. Michel est le mieux placé juge-t-elle, c’est lui qui va se la payer en premier. Tout à coup, elle sent une grosseur tendre remplacer les doigts. Ce n’est pas la queue de Philippe, non, pas si vite après une éjaculation! Si! Avant qu’elle ait esquissé un geste de défense, le garçon s’est introduit. — Oh Michel… gémit elle d’une petite voix. — Oui ma chérie? — Il… il m’a eue! — C’est pas ce tu voulais, persifle Sylviane un peu jalouse que son amie monopolise le garçon. Michel se retourne pour sourire. Son épouse a été prise à son propre jeu. Il sait qu’elle avait prévu de chauffer le garçon avant de l’abandonner au dernier moment et de placer Sylviane entre ses bras! Cela n’a pas marché comme prévu. Son épouse, vu sa figure, ne le regrette pas, tant mieux. Il lui adresse un baiser du bout des doigts. Joseph en profite pour le supplanter. Il a dégainé son sceptre et l’enfonce dans le sexe d’Annie, qui écartelée, attendait avec impatience une queue, n’importe laquelle. Philippe pousse Isabelle qui prend appui contre le fauteuil. Elle supporte l’assaut avec détermination. Elle ne voulait pas en arriver là mais, puisque le vin est tiré, il faut le boire. Elle s’applique à goûter les ondes de jouissance qui irradient de son ventre, fourmillent jusqu’à la pointe des pieds pour revenir amplifiées vers son sexe. — Aaammmh! Son gémissement est étouffé par la bouche de Sylviane dont la langue danse entre ses lèvres.
Michel, un peu vexé que Joseph l’ait supplanté, suce pour se consoler les seins d’Annie en attendant mieux. La jeune fille est aux anges. Il y avait longtemps qu’elle avait envie de Joseph. Ce n’est que la crainte de froisser sa sœur qui la retenait. Sa sœur? Où est Sylviane? Ah! Elle caresse Isabelle que Philippe baise. Tout est pour le mieux! Elle se laisse entraîner par la jouissance. L’orgasme se prépare, monte, éclate enfin. — Aaaah! Son cri déconcentre Joseph qui ne peut se retenir. — Aaaah! Encore trois allers et retours et il s’effondre sur la jeune femme. Michel le pousse sur le coté et prend immédiatement sa place. — Aaaah! Annie se rend à peine compte de l’échange. Elle flotte sur un nuage rose, un nouvel orgasme la secoue. Elle sourit à Michel. De lui aussi elle rêvait. Cette soirée voit la réalisation de deux de ses plus anciens phantasmes.
— Aaaah! Isabelle reçoit les jets de sperme. Ses jambes flageolent. Elle s’affaisse sur le fauteuil. Sylviane tire Philippe en arrière. Elle est déçue. La queue du garçon pend entre ses jambes. C’est raté pour cette fois. Un gros soupir soulève ses épaules pendant qu’elle joue avec le sexe. — Oh! C’est pas possible! Le morceau de chair grossit et durcit entre ses doigts. Philippe qui récupère avec une facilité déconcertante, enlace la jeune femme. Il fait glisser la culotte sur les cuisses. Elle s’en débarrasse rapidement, pousse le garçon sur le canapé et s’empale sur la tige prête de nouveau à remplir son office. — Aaaah! Sylviane se presse, elle a du retard sur les autres. Elle se démène comme une diablesse sous le regard amusé de Joseph et Isabelle qui se sont rapprochés l’un de l’autre. — Il baise si bien que ça ce Philippe? se moque-t-il. — Tu peux pas comprendre, réplique son amie.
A coté, Michel fait jouir Annie. Il la pilonne à grands coups de rein. Le plaisir augmente, la jouissance envahit sa queue, le sperme monte dans la tige. L’orgasme secoue les deux protagonistes et les laisse pantelants, essoufflés. Philippe a retourné Sylviane comme une crêpe. C’est lui qui domine la jeune femme. Il est fier de la faire jouir, de les avoir fait jouir. La possession de personnes expérimentée est une chose admirable. Sous ses coups de rein, Sylviane se tord, mord dans un coussin, frappe le garçon de ses poings serrés. Ses jambes se raidissent dans un spasme de jouissance. — Aaaah! Philippe continue. — Aaaah! Leurs amis font le cercle. Joseph passe un mouchoir sur le front de sa compagne. Annie, entre Isabelle et Michel qui lui caressent chacun un sein est fière de la performance de son Philippe. Il avait raison de prédire une soirée chaude. Et cela ne fait que commencer! — Aaaaah!... Mmmmh! Sylviane pousse un long gémissement. Les orgasmes successifs l’ont brisée! Philippe sentant que la jeune femme se détend ouvre les vannes de son plaisir et lâche sa semence un peu moins abondante que les premières fois. Il se retire. La verge laisse une trace humide sur les cuisses. Il se penche et applique un baiser sur la main de Sylviane. Ce geste émeut la jeune femme jusqu’aux larmes. Elle s’y prend à deux fois pour se relever. — Allons nous débarbouiller, propose Joseph, nous en avons besoin. On vous prête des déshabillés et des robes de chambre, puis nous mangerons.
Ils reviennent au salon après le repas. Sylviane a du mal à accepter ce qu’ils ont fait. Sa petite sœur! Les hommes l’ont baisée et elle les a laissé faire! Comment cela a-t-il commencé? La faute à Isabelle. — Quand je pense que j’avais fait la leçon à Joseph! Il m’avait promis de laisser Annie tranquille. Faites confiance aux hommes après ça! — Je suis comme toi, réplique-t-il. J’ai fait qu’imiter Michel qui le premier s’est jeté sur Annie. — Vous n’avez pas honte de rejeter la faute sur les autres! s’indigne faussement Isabelle. On dirait que vous regrettez. Moi pas du tout! — Moi non plus, affirme Michel. — Et toi Annie? Qu’en penses tu? La jeune fille se colle contre Philippe. — C’était… je vous remercie… tous…— Ah! Tu vois Sylviane, continue Isabelle, tout le monde est content, qu’est ce que tu veux de plus! Elle s’étire sur sa chaise. Son déshabillé s’ouvre sur la toison brune de son sexe. Joseph se précipite à genoux devant elle. — Permet moi de m’abreuver à ta source. — Seulement si Sylviane est d’accord. Tu permets ma chérie? En guise de réponse celle ci prend la figure de Michel et applique sa bouche pour un long baiser. Joseph penche la figure. Ses doigts extraient le petit clitoris que ses lèvres happent. Isabelle joue avec la chevelure et appuie la tête contre son sexe. — Aaah! Michel allonge Sylviane sur l’autre canapé.
— C’est comme ça qu’ils se comportaient quand tu étais là? demande Philippe à l’oreille d’Annie. — Oui. — Et toi qu’est ce que tu faisais pendant ce temps? — Je m’amusais à passer d’un couple à l’autre, ajouter mes câlins à leur plaisir. Après, seulement après, ils me caressaient tous les quatre, les hommes en haut, jusqu’à me faire jouir. — Dis, si on faisait pareil? Tu t’occupes d’Isabelle et Joseph et moi de Sylviane et Michel. — Qu’est ce que tu veux leur faire? — Tu verras. Annie grimpe à genoux sur le canapé à coté d’Isabelle. Elle embrasse la jeune femme et caresse un sein sous le déshabillé. Philippe promène son sexe sur la joue de Sylviane qui sourit. Elle prend la queue et la porte en bouche pendant que Michel ouvre le déshabillé et s’avance entre les cuisses qui s’écartent. -Mmmaaah! gémit elle lorsque la verge de son ami la pénètre. Les coups de rein de Michel la secouent trop. Elle ne peut garder le gland en bouche. Philippe récupère son bien et soulève la robe de chambre de l’homme. Les fesses nerveuses sont serrées. Il caresse la raie du bout du sexe. Michel gémit et pourfend Sylviane de plus belle. Encouragé, Philippe explore du doigt et caresse le tour de l’anus. Les cuisses s’écartent comme par enchantement. Le garçon crache sur sa paume et enduit son sexe de salive avant de le présenter sur la rondelle brune. — Mmmh! sursaute Michel lorsque le gland franchit le barrage des muscles. — Aaaah! répond Sylviane en écho.
Isabelle découvre le sort réservé à son mari. — Oh! Il… il ne lui fait pas ma ? — En donne-t-il l’impression? lui murmure à l’oreille Annie que la situation divertit. Laisse les faire et amusons nous. Joseph après l’avoir fait jouir par ses caresses se relève d’entre les genoux d’Isabelle. Il remonte en léchant le ventre, les seins, le cou et s’arrête sur la bouche. Sa main guide son sexe. Il tâtonne pour trouver la bonne ouverture et s’enfonce d’un coup de rein. Des gémissements plus forts sur le canapé voisin lui font tourner la tête. — Oh! On dirait que Michel est dans une drôle de posture! — Ça te fait rire? interroge Isabelle vexée qu’on se moque de son mari. — Je vais pas pleurer!
A coté, la double sollicitation dans le cul et sur la verge a raison de la résistance de Michel. Il s’effondre sur Sylviane à qui les frémissements de son partenaire ont procuré plusieurs orgasmes. Philippe un peu désappointé de la rapidité de l’échange, sourit à la vue des fesses de Joseph. A l’autre, décide-t-il en s’avançant flamberge au vent! Il croise le regard d’Isabelle. Elle comprend que Joseph va faire les frais de la vigueur du garçon. Cela la venge de la réflexion précédente. Elle l’encourage d’un sourire. Annie prévenante, tire sur les lobes du cul. — Oh! Que faites vous? s’écrie Joseph surpris. — C’est à ton tour, déclare Isabelle. Il y a une justice ici bas! La verge luisante s’enfonce sans difficultés. — Aaaah! Joseph ne sait plus où il en est entre les deux corps. Lui et Philippe coordonnent leurs mouvements. Michel caresse la joue d’Isabelle pendant que Sylviane dépose un baiser sur le front de son compagnon. Puis elle enlace Annie. — Espèce de cachottière! Tu ne nous avais pas dévoilé tous les talents de ton copain. Viens ici que je te punisse comme tu le mérites. En riant Annie se laisse transporter sur l’autre canapé. Les deux sœurs se placent tête bêche, Sylviane au dessus et se donne mutuellement du plaisir pendant que Joseph jouit doublement.
Isabelle s’extrait de l’entassement des corps. Philippe souffle un peu. Il s’assied à coté de la jeune femme que Michel a rejoint. — Elles sont belles n’est ce pas? demande-t-elle. Philippe ne répond pas. Une idée lui vient. Saura-t-il la concrétiser? Aura-t-il assez de forces? Si! Déjà il ressent le fourmillement précurseur au gonflement du sexe. Il hésite, les deux sœurs seront elles d’accord? Surtout Sylviane. Il ne peut leur demander! Tout juste obtenir l’approbation d’Annie. Il se lève et s’approche du couple à l’étonnement de Michel. Ce n’est pas fini, devine celui ci devant la lueur qui anime le regard du garçon qui s’avance vers les deux femmes. Il serre Isabelle contre lui.
Annie ouvre les yeux, une verge, la queue de son Philippe reconnaît elle, se présente entre les fesses de Sylviane. Elle lève les yeux et croise le regard de son copain. Qu’est ce qu’il va faire? Il ne va pas enculer Sylviane comme François le fait à Martine quand elles se caressent, quand même? Mais si! Il approche le gland du petit trou! Vite, enduire l’anus de cyprine puisée à la source et tirer sur les lobes du cul. Sylviane ne réalise ce qui lui arrive que lorsque le gland a franchi le sphincter. — Oooooh! Joseph se précipite et embrasse les yeux remplis de larmes. — Tu as mal? — Nooon!… Ooooh!… Aaaah! Annie cherche dans le vagin à toucher la queue qu’une fine membrane sépare de ses doigts. — N’oubliez pas de me caresser! crie-t-elle. Sylviane en est incapable. Joseph la supplée. Il est un peu vexé que Philippe soit le premier à sodomiser sa « femme ». Il n’avait jamais osé le réclamer. Il se rattrapera dorénavant. Michel et Isabelle assistent muets à l’étreinte. Elle ne jalouse pas Sylviane ni son plaisir manifeste. De trop mauvais souvenirs dans sa jeunesse se rattachent à cette possession. Très peu pour elle. — Ça te fait pas envie? lui souffle Michel. — Non, pas du tout, j’aime pas la sodomie. Ce n’est pas le cas de Sylviane qui bêle sa jouissance. Ses mains se crispent sur les bras du canapé, griffant le cuir. Philippe donne ses coups de rein à une cadence régulière. Le plaisir est long à venir cette fois. Il ressent la fatigue accumulée depuis le début de la soirée. Ah! Enfin! Le sperme jaillit arrachant un dernier cri à la pauvre Sylviane complètement hors d’elle. Le garçon se retire. La verge quitte le cul déposant une goutte sur le nez d’Annie. Isabelle se précipite pour relever son amie et la conduire hébétée vers la salle de bain. Annie l’aide à monter dans la baignoire. Elles douchent Sylviane, la nettoient, puis voyant les couleurs revenir sur les joues de la jeune femme, se disputent la douchette. — Attention, vous allez tout mouiller.
Les trois hommes boivent en silence. Ils sont un peu gênés. — Je crois que nous allons partir, déclare Philippe. Je voudrais pas manquer le dernier métro. — Tu sais, vous pouvez rester dormir, il y a de la place. Nous vous donnerons des brosses à dents et des serviettes. — Non, merci, Annie et moi préférons rentrer. — Moi j’accepte ton invitation, déclare Michel. Je me sens pas de force de conduire jusqu’à mon appartement. Les femmes font leur apparition. — Ça va mieux? S’inquiète Joseph… Oui je vois, ajoute-t-il devant le sourire de Sylviane. Michel et Isabelle restent pour la nuit, mais Philippe refuse. — Je préfère rentrer avec Annie. T’es d’accord chérie? Oui, elle est d’accord et se pend au bras de son homme. — Habillons nous alors. Ils récupèrent leurs affaires.
Sylviane referme la porte. Elle est crevée, vivement le lit! — Eh ben! Quel phénomène ce Philippe! déclare Michel. — Tu l’as dit! renchérit Isabelle. Je comprends pourquoi Annie est si radieuse, disposer d’une telle bête de sexe! — Si vous voulez discuter, ce sera sans moi, annonce Sylviane, je vais me coucher. — Nous te suivons…
Dans le métro, Annie se colle contre Philippe. — T’avais raison, tu sais. — En quoi? — Ben en prédisant une soirée chaude! Un petit rire secoue leurs épaules. — Ça t’a plu? — Oui, murmure-t-elle à son oreille… Dis, ajoute-t-elle, pourquoi t’as pas voulu rester? — Parce que je veux te faire jouir. Toute la soirée nous avons été séparés. Je te veux toute à moi, chez nous. — Embrasse moi !…
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