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Piégé dans ma boïte

Chapitre 1

L'appât

Hétéro
Voilà plusieurs mois que j’avais compris que la petite Sandra me tournait autour, et ce n’était pas pour me déplaire.
Je m’appelle Félix et je suis jeune cadre informatique, je travaille au quartier de la Défense  Paris, au siège social d’une grosse boîte spécialisée dans l’import et la distribution de composants électriques. Je travaille souvent tard le soir à corriger d’énormes fichiers de données venant du monde entier. Je suis encore assez jeune, j’ai 26 ans. Je suis célibataire, plutôt mignon bien que pas très athlétique. Avec un teint de peau blanc cachet d’aspirine, Je ne vois pas souvent la lumière du jour. Je suis surtout très réservé, je parle plus facilement aux ordinateurs qu’aux hommes, et davantage encore qu’avec les femmes.

Sandra, c’est la femme de ménage, elle a une vingtaine d’années. Elle parle encore assez mal le français, tout juste deux ans qu’elle est débarquée de son Portugal natal. C’est une petite brune potelée aux longs cheveux noirs lisses, une belle peau ambrée, de grands yeux verts et surtout un beau sourire lumineux.

C’est toujours le même rituel en fin d’après-midi. Je suis est concentré sur mon écran à remplir des données, tandis que Sandra, entre dans son bureau pour vider ma poubelle, nettoyer mon bureau. A chaque fois, petits échanges de regards furtifs, Sandra se cambre bien quand elle frotte le bureau, et avec mes yeux, je remonte discrètement ses courbes onctueuses. Puis je balance une ou deux blagues foireuses. Sandra ne comprend absolument pas mais, bien entendu, elle se force à en rire à gorge déployée avant de repartir, sa mission accomplie, non sans me laisser un dernier petit regard coquin.

Cela aurait pu durer ainsi des années sans que grand-chose n’évolue, sauf qu’un jour, vers 16h00 …

… Je suis sous pression, dans moins de dix minutes je dois rendre un dossier à ma direction. Celle-ci se réunit en conférence au 20e étage. Je suis à la bourre, ni un bonjour, ni un regard à la petite Sandra quand elle rentre dans le bureau. Déçue mais silencieuse, elle passe son chiffon sur le petit bout de bureau qui n’était pas envahi par une pile de dossiers, et d’un geste maladroit elle renverse le gobelet de café…

Le liquide noir se répand sur le bureau, imbibe le dossier stratégique qui doit être présenté dans un instant, continue sur le clavier et finit sa course sur ma chemise et mon pantalon ! Je suis médusé de terreur !

« Oh pardon ! Pardon ! Pardon ! Je suis désolée ! Dit la pauvre Sandra elle-même horrifiée. Je suis désolé ! Pardon ! Pardon ! Je vais tout nettoyer ! Je suis désolée ! Pardon ! Pardon ! »
La petite Sandra est rouge de confusion, toute fébrile, elle fait de son mieux pour tout éponger, elle passe sa chiffonnette sur mon ventre et mon bassin.
Elle ne parvient évidemment pas à redonner à la chemise la couleur blanc immaculée d’origine.  Elle insiste, elle me tient maintenant par la taille d’une main et frotte davantage sa chemise de l’autre. 

Je n’ai pas l’habitude d’avoir une femme à ses genoux, me tenant par la taille et me caressant le ventre. Je ressens la douce chaleur de ses mains, J’hume sa douce haleine, et son parfum discret. Il me prend un coup de chaud, un frisson parcourt tout mon corps, mon cœur se met à battre plus vite, un gros paquet gonfle dessous sa braguette. Je ne me contrôle plus, j’attrape machinalement le bras de Sandra d’une main et me met à le caresser. Sandra arrête de frotter mon ventre de Félix et me regardes fixement, l’air un peu surprise. Elle remarque la protubérance entre mes jambes, Elle m’offre alors un des merveilleux sourires ensoleillé et se saisit fermement de la boursouflure ! Je pousse un gémissement de plaisir, alors, les visages se rapprochent, les lèvres se touchent, les langues se mélangent, les corps s’enlacent…

DRRRRINNNNG ! le téléphone sonne !  Il sépare les deux amants, je décroche et entend rugir mon directeur…

« FELIX !!! QU’EST-CE QUE VOUS FOUTEZ !!? ON VOUS ATTEND POUR LA PRESENTATION !! »

Jean François le directeur est un gros homme chauve réputé pour ses sautes d’humeurs et ses colères éruptives. Tout le monde l’appelle « Le tyrannosaure ».

Je suis en panique, je me lève, j’attrape mon dossier tout taché de café, et avant de sortir du bureau vers les toilettes, je me tourne l’air gêné vers la belle petite pomme brune:
« Ne vous inquiétez pas Sandra ! Laissez tout ça, je repasse pour tout nettoyer… je file… »

Dans les toilettes, c’est la misère, le pantalon noir, ça va, on ne voit rien… mais la chemise blanche, la rincer à l’eau ne fait qu’aggraver la situation. Tant pis, je passe en vitesse dans le chiotte, ferme à clef, dégrafe ma braguette et retire de mon slip mon sexe qui se tend tout droit. J’astique fébrilement mon gland violacé en pensant fort à la petite portugaise qui vient de me tripoter. Il en sort presque aussitôt deux grosses giclées de foutre  qui viennent souiller la lunette des WC. Mouillé, débraillé, transpirant, haletant mais soulagé, je remballe son falzar, sort des toilettes, attrape mon dossier, je n’ai nettoyé ni le trône, ni mes mains…

XXe étage, j’arrive dans la grande salle de réunion, une grande salle climatisée, une grande table de conférence ovale sur laquelle se tient une assemblée silencieuse. Au bout de la table se tient Jean François le directeur, le tyrannosaure, à ses côtés le responsable des achats, puis trois représentants des clients. Tous me regardent attentivement tandis que je referme timidement la porte derrière moi.
 
« Bon donnez-moi le dossier Félix, meugle le tyrannosaure. Qu’est-ce que c’est que cette merde toute dégueulasse? Qu’est-ce foutez bordel !?
Le tyrannosaure rugit et rougit, je me décompose et blanchit…
 - Allez-vous asseoir et expliquez vos chiffres à nos clients… »

Désarçonné par les rugissements despotiques, je commence ma conférence. Au début la voix est  tremblotante, bafouillante, mais petit à petit je prends de l’assurance, le côté professionnel reprend le dessus, et à la fin de mon discours, je constate avec satisfaction que les clients sont attentifs et convaincus. Du coup l’abominable dictateur semble avoir repris son calme…

« Magnifique démonstration Félix ! Menée de main de maître ! »
Tous les yeux se tournent vers une grande blonde d’une cinquantaine d’année, impeccable dans son tailleur noir et ses hauts escarpins. Elle était entrée dans la salle sans un bruit et scrutait ma conférence de Félix au seuil de la porte depuis un petit moment…

Jasmine est la directrice du département marketing, développement commerciale. Une démarche énergique, des épaules larges et athlétiques, elle est réputée pratiquer plusieurs sports à haut niveau, notamment des sports de combat. Elle n’en a pas moins une belle silhouette, avec une taille et une poitrine bien marquée, et surtout ses longues jambes parfaitement dessinés. Elle est toujours souriante, et cache derrière ses lunettes carrées des petits yeux rieurs, un rien moqueurs.

Tandis que la belle créature entre dans la pièce en faisant claquer ses hauts talons, le tyrannosaure plonge sons nez dans ses notes en grommelant. Jasmine s’assoit juste à côté de moi.  En jetant un furtif coup d’œil sur sa chemise tâchée, elle me chuchotte doucement à l’oreille :
« Jolie conférence Félix, mais la tenue est un peu négligée, quelque-chose vous a perturbé dans votre travail ?... »
Elle me lance un petit sourire en coin énigmatique.
La suite de la réunion se passe sans encombre, mais je suis très perturbé, je ressens le regard pesant de Jasmine qui n’arrête pas de me scruter, comme si elle me jugeait…

18h30 bien passé, je retourne dans mon bureau, je pousse un soupir de soulagement, la réunion s’est finalement bien passée, les clients sont contents, c’est un succès, …
Je retourne bien vite sur son écran, car je dois encore rédiger un mémo que m’a demandé Jasmine pour le lendemain matin.

19h30, il se fait tard, les bureaux se sont vidés, mais je suis toujours au travail…C’est alors qu’à ma grande surprise, rentre dans le bureau la petite Sandra, celle-ci se dirige vers Félix d’un drôle d’air tenant un verre d’eau à la main.

« Oh je viens m’excuser pour toute à l’heure Félix, je suis vraiment désolé, c’est ma faute, je viens pour me faire pardonner. »
Sur ce, elle renverse le verre sur ma chemise.
« Je vais tout nettoyer maintenant Félix, ne vous inquiétez pas… » 
Elle passe alors sa main sur mon torse mouillé et commence à dégrafer les boutons de ma chemise…
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