Je me réveille. Je sens les draps d’un lit frotter contre ma peau nue. Nue ? Je me remémore les derniers événements. J’entend des pas. Flash. Je me souviens de tout. Jusqu’à ce qu’ils me décrochent. Je soupire. Ils ne m’ont même pas prise... Puis je me souviens des emails. J’ouvre les yeux. Je suis dans une petite pièce aux murs blancs. Aucune fenêtre. Deux porte. L’une est ouverte sur la salle de bain. Je sens le sperme. Je sort du lit, j’ai la tête qui tourne. 3 pas. J’arrive devant un petit bureau en bois sur lequel est déposé un ordinateur. Mes emails sont ouverts sur les messages de « l’homme qui va te baiser ». nouveau message. Je me penche en lâchant un cri : les coups de fouets ont meurtris mon dos. Je lis : « Je vois que tu t’es bien amusée hier... A partir de maintenant, tu vas leurs obéir. Bien sur, ils sont au courant. Prends une douche rapide. Tu as un rendez-vous épilatoire. Je te paye le scanner. Mets les habits posés à côté de la douche. A plus tard. » Je vois. Il m’a vue. Première nouvelle. Il veux que j’aille me faire épiler définitivement ? Qu’en penseras mon mari, David ? Et ils sont au courant. Maintenant, ils ne vont pas se gêner... A plus tard, mais ça veut dire qu’il compte me rencontrer ? Ou bien il voulait dire : au mail suivant ? Je me dirige vers la douche. 10 minutes plus tard, je découvre les habits prévus. De la lingerie coquine : un string rouge, un soutien-gorge assorti et une robe blanche. Je précise que les sous-vêtements rouges sous la robe blanche se voient en transparence. Je les enfile avec délice. J’ai toujours rêvé de m’habiller de cette façon... Comme une pute. Je me demande s’il va falloir que je me montre à tout le monde dans cette tenue. J’entend des pas. Je tresse mes cheveux à la hâte et je me dirige vers le lit. Je ferme mes mails et j’attend. Yann entre. Il me regarde d’un air amusé et langoureux. Je presse la main sur ma poitrine. Je vois une étincelle dans ses yeux. Intéressant. Il m’interpelle: "Roxanne, tu dois aller voir Baste et Dom.— Qui est Dom ? demandé-je. — C’est celui qui va t’apprendre à sucer à qui va élargir ton minable cu de salope." Je me dirige vers la porte et je le suis. Il me fait traverser un long couloir rempli de portes desquelles proviennent des cris d’orgasme. Je frémis. Je commence a être excitée. Yann me fait entrer dans une grande pièce. 5 hommes devant moi. Et... Un chien. Non ? Je n’ai jamais vraiment songé à la zoophilie, ou vaguement. "Si! me murmure Yann en devinant mes pensées.— Mais...— Tu va adorer! Je t’assure! me crie une blonde qui est en train de se faire renifler par le chien.— D’accord. accepté-je. La blonde éloigne le chien en disant :— Pas encore... Yann me fait asseoir sur une chaise. Il m’accroche à la chaise à l’aide de menottes. Je ne peut ni bouger les mains ni bouger les pieds... Remarque, ça me plait bien. Un des hommes, le plus grand s’approche. Il a la peau mate, des yeux qui me scrute de haut en bas. Yann me souffle : « C’est Dom » Dom s’approche encore et commence à me déshabiller. Je n’ose pas bouger. Lorsque je suis nue, il m’observe puis déclare :— Elle a un beau corps, c’est intéressant. Tu m’a dit qu’elle ne sait pas sucer ? Alors...Il retire son pantalon et son slip. Je frémis d’envie. En plus, il est beau gosse... Il sort une énorme bite. Comment pourrais-je enfourner cet engin dans ma bouche ? Je n’ai jamais apprécié de sucer mon mari, il est trop... Non rien. Il s’approche et m’oblige à ouvrir la bouche. Je tente de reculer, mais ça ne rime à rien parce que je suis accrochée à une chaise.... Je sens son sperme qui commence à couler goutte à goutte. Je me délecte et attend la suite, sentant l’engin au fond de ma gorge remuer... Je le suce du mieux que je peut, léchant ses testicules. Quel bonheur ! Je sens au bout de longues minutes sa bite se décontracter. Il éjacule au fond de ma gorge et j’avale son jus en essayant de ne pas en perdre... Malheureusement, il en coule beaucoup hors de ma bouche. Dom grogne. Il se retire pour laisser la place au suivant mais je veux lécher les dernières gouttes. Je vais jusqu’à lécher le sol pour n’en laisser rien. Yann sourit. Dom annonce :— Il faut élargir ça, elle n’arrive pas à tout avaler...— Tu pourrais au moins t’adresser à moi ! J’ai un nom ! Je ne suis pas juste « ELLE » ! m’exclamé-je outrée.
Son sourire s’élargit. Il répond :— Oh, madame n’est pas une soumise ? On croirait le contraire vu dans quelle position tu es ! (il n’a pas tord, je suis toujours accrochée à ma chaise ).— Ce n’est pas une raison !— Punition... Après la séance bien sur ! — La séance de quoi ?— Tu vois ces 4 hommes ? Ils n’ont pas eu leur plaisir ! Surprise, je commence à comprendre... Tous les sucer ? Je mouille. Dom le remarque et vient me caresser les nichons.— Oh, ça t’excite alors ? Intéressant...Je tressaille mais ne répond pas. Un quart d’heure plus tard, j’ai l’estomac pleins de sperme et j’en suis maculée . Chacun des hommes a eu son compte. Je me souviens de la punition quand la blonde de tout-à-l’heure revient avec le chien. C’est un dogue allemand de taille moyenne. Il a sentit ma mouille et vient la renifler, je sursaute quand il passe une délicieuse langue sur ma chatte. Je na m’y attendais pas. Dom me décroche et me mets en position quatre pattes. Le chien vient sentir mon cu. Je frémis d’impatience. Je n’ai jamais essayé la zoophilie, mais cette idée m’a toujours excitée. Yann me murmure : « - C’est un de nos meilleurs enculeur, alors ne l’abime pas ! » Je ne comprends pas tout de suite, l’abimer ? Ce n’est que quand je sens le chien me monter dessus que je commence à comprendre : Sa bite comporte un « nœud », qui est très difficile à rentrer dans mon cul, il faut l’élargir au maximum... Quand il me pénètre, la douleur est si terrible que je ne ressens pas le plaisir que j’avais espéré. Une fois qu’il est en moi, il tente de faire entrer son sexe plus loin, ce qui me fais hurler de douleur. C’est Dom qui me sauve en aidant le chien à trouver le bon axe de pénétration. Quelques instants plus tard, le chien est complètement entré, je le sens alors commencé à remuer. C’est là que le plaisir, puis le bonheur survient. Ses mouvements me procurent un sensation intense qui comblent toutes les douleurs que j’aie pu ressentir. Plusieurs instants plus tard, je sens la chien essayer de sortir. Horrifiée à l’idée de me séparer de cette sensation, je tente de la retenir en serrant les fesses au maximum. A ma grande surprise, j’y parviens. Il reste en moi et je sens que ça lui fait plaisir à lui aussi. Nous tenons quelques minutes de plus puis il se retire complètement. La douleur survient de nouveau quand il faut repasser le nœud, mais elle est moins intense. Yann m’aide à me relever avec un regard impressionné :« Tu as réussi à le garder en toi ? Il y a très peu de femmes qui y arrivent. Tu n’imagine pas ce que ça signifie ! — Oh, mais elle va s’en rendre compte. Effectivement, tu as du potentiel, Roxanne et j’en suis heureux. Tu vas bien nous servir. Mais commence par prendre une douche et te reposer, nous en reparlerons plus tard. »Le simple fait qu’il m’aie ENFIN parlé à moi me rassure. Ce n’est pas trop tôt... Par contre...— Combien de temps allez-vous me gardez ici ? — Oh, juste cette semaine, on dira que tu étais en stage, mais tu reviendras de toute façon par toi-même ensuite. — N’y comptez pas ! répondit-je outrée, Je ne suis pas votre servante, et une fois que j’aurais regagné ma liberté, je ne reviendrais certainement pas de moi-même !Je retourne dans le couloir sur ces mots. Yann me guide au travers des couloir pendant que je réfléchis. Et si ils avaient raison ? J’avais adoré cette séance et me réjouissait à la perspective des suivantes... Mais si je devenais dépendante au sexe ? Je pouvais rester cette semaine, car j’étais en vacances, mais les autres semaines, les autres jours ? Si je devenais dépendant, comment allais-je faire ? Je suppose que l’allais me contenter de faire de plus en plus de rencontres sur les sites si mon mari ne suffisais pas à combler mes besoins... Une fois dans la douche, je soupirais d’aise en quittant les jets de sperme que j’avais reçu. En sortant, je jetai un coup d’œil à l’ordinateur : Un nouveau mail :« Chère Roxanne, j’ai vraiment hâte de baiser avec toi, surtout après cette découverte de ton potentiel ! La prochaine fois, c’est moi qui te ferais goûter mon sperme ! J’espère que tu as hâte aussi ! Oh, et n’oublie pas de mettre les habits qui sont sur ton lit... » Je jette un coup d’œil sur mon lit : Une simple culotte m’attendais là. Je soupirais, se fichait-il tellement de moi ? ça n’empêche que la perspective de le rencontrer me plaisait beaucoup...La suite bientôt !
