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piegées

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour je suis Élise un fille de 19a, et si j’écris sur ce site ce n’est guère par choix. Voici mon histoire :Il y a trois semaines de cela, j’étais seule chez moi, mes parents étant partis pour la semaine chez mes grands-parents, aussi j’invitais ma meilleure amie à manger le soir avec moi. On a mangé, pas mal bu, et l’on s’est mise à délirer un peu, c’était de plus en plus chaud. Titi ma copine me fit un streap tease d’enfer et une fois nue, je me suis mise à l’imiter. Nues toutes les deux nous nous sommes caressées comme ça, je dirai de façon naturelle, j’aimais ses doigts sur mon bouton, sa bouche sur mes tétons et je lui rendais la pareille. Nous nous sommes rasées le sexe mutuellement, ce fut pour moi une expérience unique, voir apparaître son sexe nu, lisse et franchement mouillé m’a donné envie de littéralement l’avaler. Ce fut évident pour les deux que nous finissions en 69. Je n’avais jamais autant joui que cette soirée, elle m’a fait jouir en me mordillant le clitoris, en me pénétrant de sa langue, pendant que je faisais de même, j’ai même doigté son anus avec un plaisir malsain. Tout cela c’est passé chez moi, au rez de chaussé dans la soirée, seulement voila, nous n’avions pas fermé les volets, et bien que les fenêtres donnaient sur le jardin, il y a au bout de celui-ci un chemin, comble de malchance ce soir-là, il y avait quelqu’un sur ce maudit chemin armé d’un appareil-photo avec zoom numérique et canon infrarouge pour faire des photos animalières. Vous imaginez sans difficultés quels types d’animaux il a photographiés ce soir-là. Mes parents rentrèrent de Bordeaux le dimanche, rien ne laissait supposer dans la maison qu’il y avait eu une folle soirée dédiée à Lesbos deux jours auparavant. Titi et moi ayant des parents très stricts, il n’était pas question de laisser quelques traces que ce soit. Le mercredi soir, j’ouvrais Outlook pour lire mes mails, quand je tombe sur un courriel particulier avec des pièces jointes, et là je me suis vue nue, avec Titi, je léchais ses seins, puis à genoux pendant que je rasais son minou, enfin une photo de notre 69. Je suis devenue blême, quelqu’un nous avait vus et avait des photos. Le texte associé à ces photos ne laissait aucun doute, son expéditeur était prêt à les envoyer à nos parents si nous ne lui obéissions pas. Désemparée j’appelai Titi, elle avait reçu le même mail et était aussi désemparée que moi, elle avait quand même compris que celui qui s’apprêtait à nous faire chanter, faisait partie de nos connaissances puisqu’il avait notre adresse.Le mail précisait ceci : J’ai tout vu, vos minous rasés, vos seins, votre gouinage, si vous ne répondez pas à ce mail sous 24h, vos parents recevront ces photos, ainsi que toutes vos connaissances. Êtes-vous prêtes à m’obéir ?Sans avoir de véritables choix, nous ne pouvions que répondre par l’affirmative, ce que nous fîmes la peur au ventre, qu’allait-il se passer ?Nous ne recevions aucune réponse à notre mail quand le vendredi midi, celle-ci arriva.Rendez-vous ce soir 22h30, devant l’église, soyez sans soutient gorge, ni culotte, une fois arrivées devant, asseyez-vous sur le banc. Élise tu banderas les yeux de Titi et tu attendras sagement. Le soir nous étions au rendez-vous, je bandai les yeux de Titi qui pleurait de peur, et j’attendai la suite avec angoisse. 5 Minutes après notre arrivée je vis venir vers nous quelqu’un de masqué par une écharpe, il n’a pas dit un mot, il s’est approché de moi et a soulevé mon pull pour vérifier l’absence de soutien gorge, il fit de même avec Titi. Il nous fit entrer dans l’église ( dans notre village elle n’est jamais fermée), il me bandai les yeux, et j’ai senti ses mains sur mes seins, il me mordillait les tétons, il mit sa main dans mon jean et trouvant sans difficulté mon bouton, il se mis à me le pincer, je gémissais, Titi avait peur à m’entendre gémir, enfin il baissa mon jean et me fit jouir avec sa langue. Titi m’appelait, moi je jouissais, une fois mes esprits revenus, je fus prise de honte de me trouver seins et sexe nus dans ces lieux. C’est alors que, toujours sans un mot il me libera du bandeau et me donna un papier sur lesquels il y avait des ordres. « Tu vas gouiner ta copine, pendant qu’elle me suce, prévient là, et dis-lui de bien faire».Je m’approchai de Titi et lui lu le texte, elle ne voulait pas, mais je l’ai rassurée, mes caresses faisaient leurs effets, elle se détendit, et pendant que je commençais à lécher son sexe lisse, je vis approcher de sa bouche le sexe tendu de notre maître chanteur. Elle ouvrit ses lèvres et goba ce sexe sans difficultés, je mouillais comme une salope, à la fois excitée par le suc intime de ma copine et par cette fellation, il entrait et sortait de sa bouche, il lui frappait le visage de sa queue pendant qu’elle cherchait à le reprendre. Ce spectacle m’excitait terriblement, je léchais ses lèvres, aspirais son clitoris, et je la sodomisais de deux doigts. J’ai joui sans me toucher et Titi fut prise d’un orgasme qui la tétanisa pendant que lui se vidait sur son visage et mes cheveux. En voyant le visage de Titi plein de sperme je me suis mis à rire et elle aussi, les nerfs nous lâchaient sûrement, notre maître chanteur sorti de l’église et c’est là que j’ai vu une deuxième personne avec un appareil-photo sortir de confessionnal et le rejoindre. Qui étaient-ils ? qu’allait-il se passer ? Nous étions assommées sur ce banc d’église, les idées se bousculaient dans notre tête, mais avant tout sortir et se nettoyer avant de rentrer à la maison, comble de sacrilège ce fut l’eau du bénitier qui nous permis de nous laver le visage et un peu les cheveux. Chacune d’entre nous espérait que cela allait s’arrêter tout en sachant que ce n’était qu’un début. Mais qui étaient-ils ?La suite bientôt j’ai rendez-vous
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