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Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué

Chapitre 1

Hétéro
CH 1 – Le gendarme et son stagiaire.
Qui est déjà entré dans une gendarmerie ? Avez-vous, au moins une fois, déjà porté attention au gros gendarme derrière le bureau d’accueil ? Non ? Bah voila c’est à chaque fois pareil. Ce type derrière son bureau c’est moi : Brigadier Pierre Morin, 41 ans, gendarme depuis plus de 20 ans. En fait si je suis cantonné là c’est plus parce que je me suis laissé aller au niveau bouffe. Depuis mon divorce, je ne fait plus trop d’effort du coup on m’appelle bouboule. Je le sens que physiquement c’est plus ça mais je ne suis plus motivé du tout.
Depuis deux mois on nous a changé notre supérieur. Ce petit nouveau dans l’équipe a mis tout le monde au pas et a entrepris de gros changements et notamment pour moi. Je ne sais pas si c’est parce qu’on a, grosso modo le même âge ou si c’est une volonté de sa part de me remotiver dans mon boulot mais je sais qu’il veut me mettre à contribution.
Lundi matin, Briefing du début de service, le voila qui arrive avec une nouvelle recrue. Chacun reçoit, tour à tour, son affectation puis arrive mon tour.
— Brigadier Morin.— Oui je sais, comme d’habitude, j’assure l’accueil.— Non pas cette fois. Voici une nouvelle recrue, un bleu. Je vous charge de le former. Vous êtes un des plus ancien de l’équipe je compte sur vous.
Cette annonce a pris tout le monde de court. Pour la 1ère fois, je sortais de mon quotidien. YESSS. Bon même si c’est pour du « baby sitting », j’allais enfin pouvoir me bouger. Il me faisait confiance et du coup, ça m’a motivé. Avec le petit nouveau, on prend notre affectation, la voiture, et on part. Pour un début, on est de corvée de dressage de PV dans un secteur plutôt tranquille de la ville. C’est pas terrible mais c’est tant mieux finalement. Pour la théorie du boulot, j’ai rien oublié. Par contre pour ce qui est de la pratique je fatiguais rapidement à déambuler debout dans les rues. Heureusement j’ai trouvé une solution : j’en ai profité pour mettre à profit mon binôme. En même temps il ne demandait que ça : bosser …. Même s’il était un peu distrait et maladroit. On a appris à faire connaissance et on a sympathisé.
Un autre jour, en patrouille, juste comme ça, j’ai voulu en savoir plus sur lui.
— Dis-moi pourquoi t’as voulu être gendarme ?— J’ai toujours eu envie de rendre service aux autres. Et puis, j’aime l’ordre et la discipline.— C’est pas gendarme que t’aurais dû être. C’est soldat.— Non je n’aime pas le coté caserne. Enfermé entre mecs à sentir le fauve.— C’est marrant j’ai l’impression que tu oublies volontairement quelque chose.— ….. Bon OK C’est vrai y a aussi le prestige de l’uniforme. Ça a son petit effet sur les nanas.— Hé hé hé Je savais bien qu’il y avait autre chose. C’est pas comme moi.— C’est-à-dire ?— Bah moi si j’ai choisis cette voie c’est plus par nécessité. J’étais dans la merde sans ressources ni diplôme. A l’époque c’était le meilleur compromis.
— Et t’as pas changé ?— Non, chuis un peu fainéant alors j’y suis resté.— OK— Mais t’as raison pour l’effet de l’uniforme sur les filles. Moi aussi, ça m’a permis de serrer quelques minettes à l’époque où j’avais ton âge.
Les semaines suivantes ont été plus sympas. Je commençais à reprendre un rythme acceptable. Bref ça m’a vraiment fait du bien.
Un jour, on était en patrouille et on a reçu un appel du central nous demandant de nous rendre à une adresse pour appréhender un suspect qui ne s’était pas présenté à une convocation. La personne en question devait se présenter à la gendarmerie car impliqué, ou du moins fortement suspecté, dans une affaire de proxénétisme. On s’y est rendu et, accessoirement, on s’est garé à l’abri des regards, une fois arrivé c’est une ravissante petite brune qui nous a ouvert.
— Bonjour, je peux vous aider ?— Bonjour, mademoiselle, gendarmerie nationale. C’est bien ici que réside Gabriel Moreaux ?— Oui, c’est ici. Il n’est pas là mais il va bientôt revenir. Que lui voulez vous ?— Il a reçu une convocation pour son implication dans l’affaire de proxénétisme de ….— Une affaire de quoi ? Attendez vous devez faire une erreur. Gaby n’a jamais rien fait de mal.— Entre sa première convocation qu’il a ignoré et aujourd’hui, on a reçu des preuves qui prouveraient le contraire. Il aurait séquestré des jeunes filles et aurait même abusé de certaines d’entre elle pour dissuader les autres.— Quoi ! Non mais c’est pas possible ? C’est un homonyme ? vous devez vous trompez de personne.— Ecoutez c’est ce qu’on verra quand il reviendra. De toute façon ….Ah ! le voila qui arrive visiblement.
On s’est mis un peu à l’écart et dès son entrée, on s’est montré. Le bleu, qui avait vu trop de films américains, l’a menotté direct au dossier de la chaise sur laquelle il s’était assis dans le salon.
— Tu peux m’expliquer pourquoi tu l’as attaché ?— Bah pour pas qu’il se barre. — Ça ne sert à rien. on va l’embarquer. Bon Monsieur Moreaux, vous savez pourquoi nous sommes là ?
Il nous répondit d’un timide Oui en baissant la tête. Là-dessus sa compagne qui était présente commença à l’interroger.
— Gaby dis moi que ce qu’ils m’ont dit est faux. C’est pas vrai n’est ce pas, t’as pas fait tous ces trucs ?
Pris sur le fait il était tout honteux. Sa compagne s’éloigna alors pour reprendre ses esprits pendant que mon collègue cherchait encore la clé de ses menottes.
— Bon alors, tu la trouve cette clé ?— Tu vas rire … Je crois que je l’ai oublié à la gendarmerie.— Tu déconnes là ?— Non je me souviens les avoir testées dans les vestiaires, avoir posé le trousseau dans mon casier et à tous les coups ….— Tu les as oubliées dedans. Pff c’est pas vrai. Bah écoutes tu vas la chercher.— On ne peut pas l’embarquer comme ça ?— C’est hors de question. Tu peux m’expliquer où on met la chaise dans la voiture ? Et puis en cas d’accident vu qu’on ne pourra pas lui attacher sa ceinture, c’est ma responsabilité qui sera en jeu.— Ok bon bah j’y vais. J’en ai pour une bonne heure là avec les bouchons. — Fait au mieux, je t’attends.
Juste après le départ du mon collègue, La fille est revenue bien remontée et revancharde. S’en est suivi une dispute monumentale entre les deux tourtereaux.
— Espèce de connard, raclure, comment tu as pu faire ça.— Tu ferais mieux de la fermer. T’en as autant profité que moi. D’après toi comment on a pu se payer tout ça ?— Je ne t’ai jamais demandé ce genre de truc. Comment t’as pu me faire un coup pareil ? — Arrête de gueuler, tu me gonfles ….
Cette dispute a durée plusieurs minutes. Une vraie torture auditive. Jusqu’à ca qu’on me fasse une proposition surréaliste.
— ….. Je me fous de ce que tu penses. Les faits sont là. Tu m’as trompé avec plusieurs filles différentes et en les exploitant en plus. Tu me dégoutes. Tout ça pour t’enrichir et soit disant par amour. Tu le sais je déteste la trahison. Compte sur moi pour te le faire payer— Et tu vas faire quoi ? appeler ta mère ?— Non j’ai mieux que ça en tête.
A ce moment là elle s’approcha de moi.
— Monsieur l’agent, ça vous dirait de m’aider à me venger ?— Pardon ? Vous voulez dire quoi par là ?
Et là elle passa ses bras autour de mon cou et me roula une bonne pelle.
— Je vous propose de passer du bon temps avec moi. J’ai envie de satisfaire tous vos fantasmes.— Vous êtes sérieuse ?— Absolument. Je n’aurais qu’une seule exigence. Je veux qu’on fasse ça ici juste devant lui.— Mais …. Euh …. c’est que je suis en service. Je n’ai pas le droit.— Vous n’allez pas me dire que je ne vous plais pas ? dit elle en me mettant la main au paquet.
Après un moment d’hésitation, j’ai fini par accepter
— Bon aller d’accord, mon collègue en a bien pour une heure. Je te fais ça où tu veux quand tu veux ma jolie.— Alors c’est ici et maintenant.
Voyant ce qui allait arriver, le prévenu commença à paniquer.
— Non mais attend tu déconnes là ? Tu ne vas pas t’envoyer un flic ?— Bah si la preuve. Dit-elle en se mettant à genou devant moi.
Une fois en position, j’ai déboutonné mon ceinturon, baissé mon froc et mon calbar et c’est là qu’elle m’a embouché.
— Ouh ce que c’est bon. Ça faisait un moment qu’une femme ne m’avait pas aussi bien dorloté.— Oh mais on ne fait que commencé.
Devant le spectacle de sa copine entrain de me sucer et ne pouvant pas bouger car toujours attaché à sa chaise, Il s’est mis en tête de battre le record du monde d’injure à la minute.
— Connard, gros porc, je vais niquer ta mère, …— Il commence à me gonfler ton mec.. T’aurais pas un truc pour le faire taire ?
Elle me montra alors, du doigt, une écharpe posée sur le porte manteau.
— Bonne idée on va le bâillonner. Comme ça on l’entendra plus.
Je suis alors parti le bâillonner et accessoirement lui attacher les membres qui pouvaient encore bouger. Et on a pu reprendre là ou on en était.
— Bon maintenant qu’on est tranquille, on va passer aux choses sérieuses.— Tout de suite mou loulou.
Du coup, je l’ai prise dans mes bras, assise sur la table, basculée en arrière et léchée sa fente tout en lui palpant sa poitrine. Au bout de quelques minutes, je me suis redressé et j’ai commencé à la limer en missionnaire sur la table. Je savais qu’elle sur jouait car j’avais souvent des commentaires du style « Oh oui, tu fais ça tellement mieux que lui ». Rien que pour l’emmerder surement. Ça sonnait faux bien sur mais même si je le savais, ça fait quand même plaisir. A coté, son mec toujours bâillonné, ne cessait de pousser des « MMMHHH » incompréhensibles en s’excitant, assis sur la chaise.
— Bon, étape suivante.— Tu proposes quoi ?— Prend appuis sur les genoux de ton mec. Face à lui, Les fesses bien offertes et en évidence pour moi afin que je puisse bien te les remplir.— J’adore l’idée : me faire enculer à quelques centimètres de son regard. Mmmhh— Ravi que ça te plaise. Aller en piste.
Elle s’est mise en place devant son mec qui n’arrêtait pas avec ses « MMMHHH » limite en chialant. Perso, sa pseudo détresse, je m’en foutais. C’était une affaire entre eux. J’en avais rien à glander. Tout ce que je savais c’était qu’une jolie fille m’avait proposé de la niquer nette et bien et je n’allais pas m’en priver. Ma queue était en train de lui récurer le fondement avec fougue et je ne me suis arrêté qu’après avoir jouis entre ses fesses.
Une fois cette partie de jambe en l’air finie, on s’est rhabillé et on s’est efforcé de masquer les traces de ce qu’il venait de se passer.
Cela faisait maintenant presque une heure que mon binôme était parti et on l’entendait qui arrivait.
— Désolé mais J’ai voulu faire au plus vite alors j’ai pris un passe partout. Je chercherai ma clé en revenant ce soir. …. Euh pourquoi il est bâillonné et attaché ?— Il commençait à s’agiter et à devenir dangereux. En plus, Il n’arrêtait pas de gueuler, de ne dire que des conneries et puis avec mademoiselle, ils n’arrêtaient pas de s’engueuler alors je lui ai fermé son clapet.— Ok …. Bon, on le détache et on l’embarque.
C’est en le détachant et en lui retirant son bâillon, qu’il s’est remis à beugler.
— Eh le bleu ! le gros a profité de ton absence pour baiser ma gonzesse. Je porte plainte— Non mais ça va pas. Tu crois vraiment que je me serais laissé baiser par un type comme lui ? Il est gros, moche, poilu et puant. A-t-elle répondu en giflant son mec et en me faisant un clin d’œil complaisant.
Après une nouvelle dispute entre les tourtereaux, on l’a embarqué.
Durant le trajet, il n’a pas arrêté de décrire ce qu’il s’était passé durant l’absence de mon collègue et lui-même commençait à comprendre pourquoi je lui avais fermé sa boite à camembert. Quand on l’a sorti de la voiture, il a tenté un scandale en beuglant « regarder le gros il a niqué ma copine » mais il était tellement grotesque que personne n’y a cru.
Quand la journée s’est terminée, mon binôme m’a quand même demandé si c’était vrai. Je n’ai pas eu besoin de répondre pour qu’il comprenne et puis honnêtement il s’en foutait. Après tout la fille était étrangère à l’affaire de son mec. Ils n’étaient pas mariés ni pacsés. Donc pas d’attache. Comme il me l’a dit « Je ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé durant mon absence mais t’es assez grand pour savoir ce que tu fais ». On se faisait confiance. Lui pour sa formation sur le terrain et moi pour reprendre le gout pour le boulot que j’avais perdu. …. D’une manière que je ne soupçonnais pas.
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