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Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué

Chapitre 4

Hétéro
CH 4 - Changement de vie : le vigile
Ça faisait bien 1 mois que j’étais chez moi, à déprimer sur mon canapé. Mes seuls moments de détente, c’était quand je me matais ces émissions débiles de télé-réalité, genre « les abrutis à Cancùn » où des filles aux seins refaits se crêpaient le chignon en bikini en gueulant des phrases dont le vocabulaire, du style d’un élève de 3eme, se limitait au niveau de la ceinture. C’est dire le niveau de déprime. Le seul qui venait encore me rendre visite c’était Mike. Mais malheureusement, ça ne changeait les idées que brièvement.
Un jour où je me baladais dans le quartier chaud où j’avais l’habitude de retrouvé la petite Natasha, j’ai lu sur la vitrine d’une boite de strip-tease : « Urgent ! Cherche agent de sécurité, tout profil accepté, sélection sur CV ».
Je me suis dit qu’avec mon passé de flic, j’avais toutes mes chances. Je suis reparti chez moi me changer et prendre un CV. J’en ai profité pour me raser de près et me coiffer. J’ai ressorti mon vieux costume noir qui, heureusement pour moi m’allait encore. J’ai aussi mis une chemise blanche et la seule cravate que j’avais, celle de mon ancien uniforme d’apparat. Fallait bien que j’ai le profil de l’emploi. Je me suis présenté comme ça, mon CV en main et j’ai été reçu par le boss.
On m’a fait attendre un bon quart d’heure à la porte du bureau du patron et quand la porte s’est ouverte, c’est une jeune fille d’à peine 20 ans qui en ai sortie. Elle était en Bikini à paillette (son costume de scène surement). Je n’ai pas manqué de remarqué qu’elle avait une trace d’un liquide blanchâtre sur la commissure des lèvres et plus loin je voyais le patron arrivé vers moi avec la braguette à moitié refermée. Ok visiblement certaines des filles de la boite font des heures sup sous le bureau du patron. Il me fit entrer et je passais mon entretien.
C’était un type assez massif en costume classique, qui parlait en roulant les « R » avec un accent slave, peut-être même russe. Rien d’étonnant à cela. Les russes étaient légion dans ce quartier.
— Bonjourrrr Vous venez pourrr le poste de vigile ?— Oui— Qu’est ce qui vous fait penser que vous êtes fait pourrr le poste.— Déjà je suis assez imposant. Ça refrène les ardeurs....— Ça peut ëtrre utile oui.— Mais surtout j’ai été gendarme. Souvent cantonné à l’accueil. Il fallait parfois être physionomiste.— Mmmmhhh. Je dois vous dirrre qu’ici on n’aime pas trrrop la police.— Je vous rassure moi non plus je ne les aime plus. En particulier depuis qu’ils m’ont viré.— Virrré ? Je lis sur votrrre CV que vous êtes parrrti tout seul.— Officiellement.
Je n’étais normalement pas autorisé à le dire. Mais si ça pouvait faire naître un courant de sympathie entre nous et me faire gagner des points, c’était un coup à tenter.
— En fait, j’ai été viré parce qu’on a fait une descente dans un réseau de prostitution. Y en avait une que je connaissais parce que j’allais souvent la voir et je l’ai fait sortir en échange d’un petit câlin. Malheureusement je me suis fait prendre par les caméras de surveillance.— Vous êtes frrranc. C’est bien, on aime ça ici. Mais si vous avez désobéi une fois qui me dit que vous ne le rrreferrrrez pas.— Croyez moi ça ne se reproduira pas. J’ai déjà perdu mon boulot une fois pour une histoire de fesse. Je ne me ferais pas avoir une deuxième fois.— Vous me plaisez. Je veux bien vous laisser une chance. Donner votrrre taille de vêtement à l’accueil. On vous rappellerrra pour commencer.— Je suis pris ?— Oui à l’essai.— Merci, vraiment merci de me donner ma chance.
Je suis rentré chez moi j’étais tout content. Ok je n’étais au chômage que depuis un mois mais quand même. Bon par contre je ne m’étais pas vraiment rendu compte où je mettais les pieds. Enfin bon, pas grave mon passé de flic était derrière moi. Je n’allais pas être trop regardant.
Le patron m’a rappelé 3 jours plus tard pour me dire que ma tenue était prête et que je devais me présenté le samedi suivant vers 21h. J’allais assurer mon service en binôme avec un autre. Quand je pense que j’ai été le formateur de mon ami Mike durant des mois et que maintenant c’était moi le stagiaire. J’ai fait la connaissance de mon collègue. C’était un grand black assez baraqué. Habillé comme nous l’étions on ressemblait au Men In Black.
On a passé notre soirée à faire l’ouverture. Les consignes étaient simples : bien habillé, pas de basket sauf VIP, … bref du classique. A l’intérieur les filles passaient les unes après les autres pour faire du pole dance sur le podium. Elles assuraient aussi le rôle de serveuse topless et si l’un des clients voulait un petit extra, elles l’entrainaient dans un des petits salons privés à l’étage. A un moment dans la soirée, alors que mon collègue était parti aux toilettes, un groupe de demoiselles passablement éméchées, se présentait à l’entrée. Elles étaient du style bande de copine en vadrouille en jeans débraillé, T-shirt noué à la taille et basket. Chacune d’elle avait, à la main, une bouteille qui semblait déjà bien entamée….. Un peu comme elles d’ailleurs.
— Salut mon gros loulou, on peut rentrer ?— Vous avez une invitation ?— Non mais on est des filles biens t’en fait pas. Me dit-elle en s’approchant de moi et en me faisant respirer son haleine alcoolisée.— Désolé mes demoiselles. Sans invitation, ça ne va pas être possible. De plus c’est tenue correct exigée.— Tenue correcte ? Comme ça ? me dit-elle en soulevant son T-shirt, dévoilant ainsi ses seins tout en titubant.— Mes demoiselle je vous conseil de rentrer chez vous.— Oh aller monsieur Ronchon, y a ptet moyen de s’arranger. Si tu veux moi et mes copines on peut te sucer et tu nous fait rentrer. Me dit elle en me mettant la main au paquet.— Ne m’obligez pas à être désagréable. Barrez vous avant que je ne me fâche.— Allez venez les filles. On se casse. Si ça se trouve il est PD.
Elles se sont éloignées en tortillant de leur cul à tomber par terre et ne sont plus revenu. J’ai failli craquer. Elles étaient super bien foutues les gamines. Celle qui m’avait allumé avait une paire de meule pffff …. J’en aurai bien fait mon burger. Mais je m’étais souvenu de ma mésaventure avec Natasha, dans les toilettes de la gendarmerie. Mon collègue est revenu ensuite et on a continué notre soirée à filtrer les arrivants. A la fin de la soirée … ou plutôt, au début de la matinée, j’ai été convoqué par le patron. Surement pour me faire un bilan de la soirée. Quand je suis entré dans son bureau je le voyais, il avait le teint un peu rouge. Je n’ai compris pourquoi que lorsque j’ai aperçu des doigts de pieds féminins dépasser de la planche qui cachait le dessous de son bureau. Le patron m’avait convoqué alors qu’il était en train de se faire sucer par … dieu sait qui. J’aurais pu attendre qu’elle finisse.
— Alorrrs cette soirrrée ?— Ça s’est bien passé globalement. Il y a eu quelques resquilleurs mais on les a choper à l’entrée.— Pourrrquoi globalement ?— Certains n’ont pas forcement été heureux de se faire refouler.— Vous n’oubliez rrriens ?— Non je ne vois pas.
Tout à coup il claque des doigts et la porte s’ouvre. Je vois arriver le groupe de filles bourrées débarquer dans le bureau.
— Vous les rrreconnaissez ?— Oui elles font parti des personnes non contentes de s’être fait refouler.— Ces filles trrravaillent pour moi. J’ai voulu voirrr si vous étiez serrrieux dans votrrre boulot.— Bah c’est le cas je ne les ai pas laissé entrer malgré leur tentatives.— Je sais. Votrrre essai est concluant pourrr moi. Vous êtes embauché.— C’était un teste ? les filles qui débarquent, le fait que je sois seul à ce moment là ?— Oui et vous l’avez rrréussi. Je vous prrropose de fêter ça avec une de ces demoiselle. Elle sera à vous pourrr toute la semaine.— Vous voulez dire …— Vous en choisissez une, vous l’emmenez avec vous et vous en faites ce que vous voulez.— Faut pas me le dire 2 fois.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Ces filles avaient été embauchées pour me tenter et me tester. Et le top du top c’est que mon boss me propose de passer la semaine suivante avec l’une d’elle. Mon choix était vite fait. J’ai choisis celle qui m’avait montré ses loches. Je suis reparti chez moi au bras de cette jolie blonde aux seins siliconés avec un grand sourire. J’allais pouvoir m’éclater entre ses cuisses durant toute la semaine.
A peine avait on passé le pas de ma porte, que je l’ai plaqué contre le mur. On s’est galoché durant plusieurs minutes et je l’ai ensuite mis à genou, devant moi. J’ai baissé mon froc et elle a fait le reste. Elle m’a sucé comme une reine et j’ai pas pu m’empêcher de lâcher la purée dans le fond de sa gorge. Ensuite, je l’ai conduite dans ma chambre pour lui signifier le programme de la semaine.
— Bon, déjà c’est quoi ton nom ?— Maya— Ok Maya alors cette semaine tu es à moi— Je sais.— Ce que je veux dire c’est que je veux que tu sois mon esclave. — J’avais compris.— Tu devras me satisfaire, ne jamais me dire non et surtout, le rêve de ma vie, je veux que tu sois constamment nue et que ….— Ecoute mon gros loulou. Ton patron m’a suffisamment bien payé pour que j’accepte de te faire tout ce que tu me demanderas. Alors va z y ne te gène pas avec moi. satisfait tous tes fantasmes.— Ok bah ça c’est clair. Juste une question …. Si je te demande de jouer la femme de ménage ? soumise ?— Euh … oui si tu veux mais au niveau cuisine je ne suis pas forcement bonne.— T’en fait pas chui pas difficile c’est juste pour ne pas avoir à le faire moi-même. Et puis tu sais même si t’es pas bonne en cuisine, c’est pas si grave, t’es déjà bonne tout court et c’est le plus important.— T’en fais pas. T’auras juste à mettre les pieds sous la table.— Bon bah vire moi tes fringues tu les récupéreras dimanche prochain.
Durant cette semaine, tous les jours je partais bossé le soir après 21h. Je finissais vers 6h. Après je rentrais et là WHAAOUUUU ! C’était du porno en live avec moi en acteur principal. Maya était à poil tout du long. Elle me suçait quand je le voulais, autant de fois que je le voulais. Quand je la prenais, que je l’enculais, c’était pareil. Je me vidais les couilles au moins 4 ou 5 fois par jour en elle. La seule chose qui changeait c’était l’orifice. C’était un vrai bonheur de l’enculer pendant qu’elle faisait la vaisselle. De même, sentir ma bite dans sa bouche alors que je me matais un film était loin d’être désagréable. Elle s’est montrée docile et soumise un vrai bonheur. C’est avec un petit pincement au cœur que je l’ai laissé partir à la fin de la semaine.
Je savais que si le boss m’avait offert cette fille, c’était pour me mettre dans sa poche. …. Et bien il avait réussi. J’imaginais bien qu’il devait être lié à des affaires louches, pas forcement légales. Perso je m’en foutais. Je n’étais plus gendarme. Ma loyauté allait à celui qui était de l’autre coté du chéquier, mais surtout là où allait mon intérêt.
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