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Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué

Chapitre 8

Hétéro
CH 8 - 15 jours de vacances.
Depuis qu’il avait divorcé, mon patron m’avait accordé toute sa confiance. Il faut dire que lui prouver que sa femme faisait ce qu’elle lui reprochait, ça a aidé. De mon coté je lui avais promis une honnêteté totale. Même si on dialoguait de manière amicale, il savait me rappeler la place qui était la mienne. Je n’étais toujours que le chauffeur après tout. Le fait que madame soit parti, emportant avec elle son fils, me rassurait. En fait, après l’épisode Cécile, c’était le fils qui me dérangeait. Il semblait assez maniéré et me regardait bizarrement. J’ai eu la confirmation de son appartenance à l’immeuble d’en face en trouvant, dans la voiture, un sac avec des BD provenant d’une librairie spécialisée. Rien que les premières pages étaient plus qu’explicites. Si d’aventure il avait eu la mauvaise idée de suivre l’initiative de sa belle sœur, je ne sais pas comment j’aurais réagis. Heureusement, maintenant, ils sont partis : Madame, son fils …. et le jardinier avec.
Cela faisait quelques mois maintenant que monsieur est en retraite de son poste de PDG. Ayant toujours gardé certaines relations dans le domaine politique comme militant libéral, il a fini par occuper un poste à responsabilité dans l’organisation de son parti. Plus tard il a même réussi à se faire élire député. Très souvent on se retrouve entre nous avec mes collègues chauffeurs. On discute de tout et n’importe quoi. D’autres députés sont comme mon patron. Des hommes de pouvoirs riches et influents. J’ai aussi eu la confirmation que la promotion canapé était très rependu dans les arcanes du pouvoir. Je m’en doutais un peu mais là c’était confirmé.
Monsieur avait un appartement dans la capitale. Moi je l’aurais appelé une garçonnière de luxe tellement il y avait de passage au niveau de sa chambre à coucher. Il faut dire que n’ayant plus son épouse, il pouvait y aller franchement. Secrétaire, femme de chambre, cuisinière, jeune journaliste en quête d’appuis, … tout son personnel féminin, et plus encore y est passé plus des femmes de passage avec qui il travaillait en très étroite collaboration. Ça en devenait presque écœurant. A coté de lui, DSK passerai pour un curé de campagne.
De mon coté, il me laissait « profiter de ses restes ». Ce qui, au niveau de la quantité, me convenait largement mais n’était pas très flatteur pour ces dames. Toutes les semaines, je me connectais sur certains sites internet pour adultes. Souvenez-vous de l’épisode où on m’avait offert de coucher avec une actrice porno à l’arrière d’un camion. Cet épisode où, à la fin, on m’avait offert un mois gratos pour tester les sites du réseau. Et bien ce sont ces sites que je consulte, pas tous mais certains. Tous les samedis, à 1h du matin il y a les nouvelles vidéos de la semaine. La majorité des sites sont américains avec des vidéos en anglais mais visiblement, certaines, tournées avec des non anglophones. Ce qui leur donne parfois un aspect comique car ils parlent aussi mal anglais que moi (même si je me suis amélioré ces dernières années). Un jour, sur un des rares sites francophones, un concours avait été organisé pour les membres. Oui je sais, le mot « membre » en association avec un site de cul moi aussi ça me fait rire. Bref, je me suis connecté et j’ai rempli le formulaire. Ce concours allait permettre aux 2 gagnants de partir aux Baléares pour vivre le quotidien de l’équipe qui allait tourner des vidéos là bas. Les 2 gagnants allaient pouvoir même aider l’équipe et pour ceux qui veulent et en ont le courage, ils pourront même participer. Soit en tant que figurant soit en tant qu’acteur principal. Quand j’ai vu ça je me suis dit « si jamais j’y vais, c’est pas pour faire de la figuration ».
Quand les résultats sont tombés, je n’étais pas sélectionné. Mais quelques jours plus tard, j’ai appris que l’un des gagnants ne pouvait se libérer à la date prévu. On m’a alors proposé de partir à sa place, étant arrivé en troisième position. YESS ! J’allais passé 15 jours avec eux tous frais payés, même le voyage. Je ne doutais pas que mon boss allait me laisser y aller car il me donnait assez de liberté depuis son divorce. C’est lors du trajet de retour de l’assemblée nationale que je lui ai dit, j’ai attendu qu’il finisse de s’envoyer la jeune journaliste qui était montée avec nous pour une interview « exclusive ».
— Monsieur, j’aurais besoin de prendre 15 jours de congés le mois prochain.— Ah ? Une affaire à régler ?— Non, j’ai gagné un voyage et c’est à cette date là. Et j’ai vraiment envie d’y aller.— Vous m’avez l’air tout excité à l’idée de ce voyage. Vous partez avec une femme ?— Plus ou moins.— Comment ça plus ou moins ? C’est oui ou c’est non.
Vu qu’il commençait à s’énerver un peu. Je lui ai tout dit. Etre honnête avec lui à toujours été la meilleure des solutions. Quand j’en ai eu fini, il a éclaté de rire.
— Hahahahah ! ça alors. Si je m’attendais à ça. Alors comme ça monsieur se lance dans le porno ?— Pas définitivement. C’est juste qu’on me donne l’opportunité de tester et j’ai envie de le faire.— Bon, je vous dois bien ça. Allez y. Edouard vous remplacera. Pas de soucis. Par contre je veux une chose.— Quoi donc ?
— Une photo de vous, entouré de toutes les actrices à poil. Et dédicacée la photo.— Ça doit pouvoir se faire.
Parfait. J’avais tout. Ce mois d’attente m’a paru bien long. Et pourtant j’avais de quoi m’occuper entre les trajets à travers la circonscription, les meetings auxquels monsieur voulait assister, je n’ai pas chômé. Malgré tout je n’avais qu’une chose à l’esprit : mes 15 jours aux Baléares avec l’équipe de tournage et surtout les actrices. La seule choses qui m’a distrait durant cette période, c’était le fait de revoir Mike, mon ancien collègue gendarme. Aujourd’hui marié et père de famille, il a quitté la gendarmerie pour faire carrière dans la sécurité rapprochée. C’est son équipe qui était chargé de la sécurité lors des meetings politiques. En tant que chef d’équipe, il déléguait à ses collègues pour qu’on aille boire un coup à la buvette du meeting pour parler du passé.
Ça y est, enfin, je venais de débarqué à Majorque. Il faisait bon et j’avais vraiment l’air d’un touriste avec mon short, ma chemise colorée et ma valise. J’ai très vite remarqué une jeune fille qui portait une pancarte à l’effigie du site avec mon nom et celui de l’autre gagnant. En me rapprochant, j’ai de suite reconnue la jeune fille. C’était une des actrices favorites du site. Il y a quelques mois elle avait été classée « préférée des internautes ». C’est vrai qu’elle était belle. Une jolie blonde, cheveux mi long. Elle portait un T-shirt qui ne cachait pas grand-chose de ses jolies formes et un short en Jean très court. Rien qu’à la voir de loin je commençais à avoir la trique.
— Salut, c’est toi Pierre Morin ?— Oui c’est moi.— Bienvenu à Majorque. Je suis ….— Cindy, 19 ans actrice préférée des abonnés 3 mois d’affilée.— Et bien ! Tu t’es renseigné sur moi ? Cindy c’est mon nom de scène. En réalité je m’appelle Sandrine et j’ai 25 ans. Avec du maquillage adéquat et des fringues adaptés ça donne l’illusion d’une jeune ingénue. Ça affole le mâle.— Bah ça marche. Mais t’es bien aussi comme ça.— Merci. L’autre gagnant ne devrait pas tarder … ah bah tiens le voila.
Accompagnée par notre guide, on a pris un taxi direction une grande villa louée pour l’occasion. L’autre gagnant était un homme d’à peu près 40 piges, une silhouette de père de famille rondouillard avec une calvitie naissante. Visiblement ce type avait retiré son alliance avant de venir. Ça se voyait par la marque de bronzage sur son annulaire gauche. A peine débarqué, le responsable du tournage arriva. Il nous salua et on est monté faire connaissance dans la pièce qui servait de bureau et d’entrepôt.
— Bien, vous êtes donc nos 2 gagnants. Vous allez pouvoir faire connaissance avec l’équipe de tournage, les acteurs et les actrices. Si vous voulez vous rendre utile, on ne crachera pas sur de l’aide à la manutention. Vous pourrez prendre autant de photo que vous voudrez, même chose pour les films. Seul contrainte : faire le moins de bruit possible pour ne pas polluer les prises de son. Et comme promis, si vous le souhaitez, nous vous offrons l’opportunité exceptionnelle de pouvoir tourner une scène. Soit en tant que figurant, soit en tant qu’acteur actif. Qu’en dites-vous ?
Chacun notre tour on a alors décris nos attente de ce séjour. C’est l’autre gagnant qui a commencé.
— Alors je me présente, je m’appelle Guy j’ai 43 ans et je suis marié. Ma femme m’a autorisé à venir mais à une condition : je ne couche pas. Par contre je veux voir comment se font les vidéos de A à Z.— Quant à moi c’est Pierre, j’arrive sur mes 51 ans et je suis complètement libre. Tout comme mon camarade je veux voir toutes les étapes de fabrication d’un film sauf que moi j’ai bien l’intention de tourner. Je pourrais vous aider pour le montage aussi. Je me suis mis à la vidéo numérique depuis quelques temps et ça m’amuse assez. J’ai tout ce qu’il faut sur mon ordi portable. On pourra en discuter ensemble si vous voulez.
Suite à nos présentations, notre interlocuteur arrêta sa prise de note.
— Bien c’est parfait. On va se tutoyer c’est plus simple. Pierre, on va pouvoir te trouver un truc. Un acteur nous a fait faux bon. Il est malade. Tu vas pouvoir le remplacer.— Cool.— Il devait tourner avec Cindy. Ça te conviens ?— Cindy ? La Cindy ? Celle qui nous a accueillis ? Ah, je suis pour à 100%.— Parfait. On commence les tournages demain donc reposez vous et profitez de la soirée.
On a fait connaissance avec tout le monde. Les journées étaient rythmées par les tournages et le soir on avait droit de se balader. Les repas faisaient un peu camping à la bonne franquette. On rigolait tous ensemble.
Durant la première semaine j’ai appris des choses qui m’ont surpris. Par exemple, certaines scènes sont filmées par petits morceaux : quelques coups de reins comme ci, d’autre comme ça. Il arrivait que certaines scènes soient faites d’un seul jet (désolé pour le jeu de mot). Mais en majorité elles étaient découpées et filmées par plusieurs caméras et le son enregistré par un micro-perche. Ils m’ont d’ailleurs laissé filmer une scène en caméra secondaire, celle qui film de loin. Même chose avec le son. La première semaine a été très instructive.
C’est durant la deuxième semaine que ma scène était prévue. Je jouais le rôle d’un riche vacancier qui rentrait dans sa chambre et surprenait la femme de chambre fouillant dans les tiroirs et lui volant un billet. J’étais sensé la punir à ma manière. Ayant eu le scénario à l’avance, on a parlé avec ma partenaire sur comment faire. Malgré mon assurance des débuts j’étais assez nerveux et elle a tout fait pour me rassurer, que si on ratait, il y avait moyens de rattraper le coup avec des plans serrés et si j’ai une panne il y avait des artifices.
Ces artifices c’était par exemple une poire avec un mélange d’eau et de maïzena pour du faux sperme au cas où l’éjaculation était ratée. Elle est cachée et placée sous la verge, filmée en plan serrée et on appuis dessus avec la main, des choses de ce genre. Et oui vous ne rêvez pas. il y a aussi des effets spéciaux dans les films de boules. Ça étonne au début mais quand on y réfléchit, personne n’est infaillible. Faut pouvoir compenser.
Ça y est. C’était le grand jour. C’était à moi de jouer. Guy avait l’air à la fois amusé et inquiet pour moi. Tout le monde était sur le coup pour ma première. Je me tenais derrière la porte d’entrée attendant le signal quand j’ai entendu « MOTEUR ! ».
J’entrais dans ma chambre et voyant la bonne un billet à la main et l’autre dans mon tiroir, c’étais à moi de jouer.
— Eh ben faut pas se gêner. C’est quoi ça ?— Pardon je suis désolé, je ne le referais plus— Ça c’est sur. …. Allô passer moi le directeur de cet établissement. Ai-je dit en décrochant le téléphone.— Non s’il vous plait je ferais ce que vous voudrez mais n’appelez pas. Je me ferais renvoyez sinon. Dit elle en me prenant le combiner et en le raccrochant. — J’en ai rien à foutre.— C’était la première fois et je ne le referais plus. Promis.
Je me suis alors rapprocher d’elle avec un sourire carnassier.
— Tiens donc ! Alors comme ça, madame fait ses débuts de voleuse dans ma suite ? ….. Déshabillez-vous. Ai-je dit en la scrutant de haut en bas.— …… quoi ?— J’ai dit déshabillez vous. Si vous ne voulez pas que je vous balance à la direction, je vous conseil d’obéir. Ai-je répété en me rapprochant d’elle.
Elle a alors pris l’air résigné, a défait sa jupe, retiré son haut et ses sous vêtements. J’ai alors commencé à la peloter, la caresser, l’embrasser.
— Bien, tu es obéissante. Maintenant supplie moi à genou. Ai-je ordonné en lui posant mes mains sur les épaules pour la mettre à niveau.
Une fois à genou et simulant des pleurs, elle a commencé ses supplications mais moi j’attendais autre chose.
— S’il vous plait monsieur, je vous implore ne me dénoncez pas. Je …— La ferme. Ou plutôt non. Ouvre-la pour te faire pardonner.
J’avais déjà mon short sur les chevilles et mon caleçon aux genoux. En guidant ma queue avec la main gauche et ma main droite sur l’arrière du crane de ma partenaire, j’ai guidé mon gland sur les lèvres de Cindy qui a commencé à sucer. Je n’en revenais pas. J’étais en train de me faire sucer par une des actrices qui me fait triquer depuis quelques années. Un rêve éveillé. Mais ça n’était pas fini car après quelques minutes de douceur, on est passé à la suite. Je l’ai relevé et empoignée par le bras.
— Bon c’est déjà pas mal. Suis moi on va dans la chambre.
Je l’ai tiré par le bras et me suis allongé sur le lit. Je l’ai alors invité à s’emmancher sur moi et à onduler du bassin pendant que mes mains vagabondaient sur son corps de déesse. C’était divin. Autour de nous il y avait un silence de mort personne ne mouftait. Pas de « on fait une deuxième prise » ou de truc du même style. Alors on a continué. Faut dire qu’on a passé du temps à préparer la scène le soir après le dîner. Je ne vais pas mentir on s’est aussi un peu essayé l’un l’autre. Histoire de ne pas avoir de mauvaises surprises. Cindy en bonne pro (bonne tout court d’ailleurs) m’avait expliqué quelle position prendre pour faciliter une meilleure prise de vue pour les caméras qui tournaient autour de nous.
Après m’être fait chevaucher par cette jolie pouliche, elle s’est retirée pour s’allonger sur le ventre. Je me suis placé derrière elle de manière à pouvoir lui lécher son autre petit trou qui ne demandait qu’à être remplis. Sachant ce qu’il allait se passer, elle devait jouer celle qui n’aime pas quand je me suis positionner pour la sodomie.
— Non s’il vous plait monsieur pas par là.— Tu veux que je te balance à ton patron ? Non ? alors tu la fermes et tu me laisse faire.
J’ai alors commencé la sodomie. Elle était sensé être brutale mais j’avais du mal à me concentré sur la scène et le fait de positionner mes jambes pour que les caméras aient un angle de vue suffisamment bon. Quand on dit que dieu a créé l’homme avec un cerveau et une bite mais pas avec assez de sang pour alimenter les deux en même temps ce n’est pas totalement faux. En général, en pleine action, je me suis bien rendu compte qu’on plus tendance à se laisser porter par l’instinct que par la réflexion. Je lui ai donc limé son trou du cul et me suis arrêter avant de juter. Je l’ai remise à genoux la bouche ouverte pour qu’elle puisse accueillir la sauce. Malheureusement, trop excité par l’action tout est parti avant. J’ai du utiliser la poire pour simuler l’éjaculation avant de complètement débander.
— Bien, c’était parfait ma jolie. Je suis là encore une semaine. Je te veux tous les jours à la même heure et on remettra ça. Gare à toi. Si tu ne viens pas, j’irais voir ton patron. Aller rhabille toi et lave le sol c’est dégueulasse.
La scène se termine avec un plan sur la fille à genoux, l’air résigné regardant le sol et fixant le préservatif déroulé, utilisé lors de la scène.
« COUPER » fut le signe que la scène était terminée. Tout le monde était étonnamment surpris de ma prestation. La scène, tournée presque sans fausse note, m’a valu quelques applaudissements.
— Pas mal du tout. Dommage pour la fin mais tu as bien terminé.— Merci. Faut dire qu’avec Cindy on avait un peu préparé la scène elle m’a dit comment faire ou me positionner, … — Oui, ça s’est vu. — Si tu permets j’aimerai faire le montage avec mon PC. Ou du moins me faire une version personnalisée de la scène. J’aimerai pouvoir repartir avec. — Pas de problème. Avec du bol, je n’aurais pas à le refaire moi-même on conservera ta version. Ce soir je te passe les prises de vue, les bandes sons, la musiques et les bruitages. — Les bruitages ?— Oui, ils passent assez mal au micro alors on en rajoute un peu, même atténués sinon ça fait cinéma muet.— OK
Il restait quatre jours de tournage et on devait repartir le cinquième. Mais au bout de trois jours j’avais fini. Quand le metteur en scène a vu ce que j’étais capable de faire, il m’a demandé si je ne voulais pas collaborer avec lui. Le résultat l’avait emballé et il a dit qu’il la conserverait telle quelle. J’aurais même mon nom au générique. J’ai dit que j’y réfléchirais. On a échangé nos coordonnés après que j’ai pu faire la fameuse photo que mon boss m’avait demandé. J’étais beau là-dessus. J’étais assis en peignoir léopard sur le canapé du salon. Une fille à poil sous chaque bras qui se blottissaient sur moi et enfin Cindy, entre mes cuisses écartées avec le bout de mon gland dans la bouche et regardant l’objectif. Chaque fille avait signé et en particulier Cindy qui m’avait qualifié de « super coup » sur sa dédicace. Avec ça si mon patron n’est pas content, je ne sais pas ce qu’il lui faut. Était-ce une nouvelle carrière qui s’ouvrait à moi ? J’en savais rien. Qui vivra verra comme on dit.
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