Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 15 J'aime
  • 1 Commentaire

Pierre le maître

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Voilà ; ma bouche embrasse son minou, mes doigts glissent dans le vagin humide, le petit doigt s’essaie sur l’anus. Elle est ouverte et j’entre facilement. Je joue avec les deux anneaux des petites lèvres, allant jusqu’à les faire se toucher. Si j’étais un peu sadique – après tout, je suis ici la maîtresse d’un maître – j’attacherais les deux piercings ensemble comme punition. Pas de queue, pas de gode sans que le maître ne l’autorise. Mais pour l’instant, chaque fois que ma langue touche son clito, elle gémit. J’avais entendu dire que ce piercing décuplait le plaisir ; je crois que j’en ai la preuve sous les yeux. Sous la langue, plutôt.
Mais on me pousse sur le côté. C’est Pierre, le sexe à l’air. Il soulève les jambes de la femme et, sans prévenir, l’encule. Heureusement que j’avais préparé le terrain. Sinon… Mais peut-être qu’elle aime cela. Le sexe disparaît, puis revient pour replonger. La femme se caresse d’une main et de l’autre attrape la télécommande abandonnée à son côté.
Bzzzz. Arrêt. Bzzzz. Arrêt…
L’œuf vibre fort, très fort et elle l’active au rythme de son enculade. Il avance. Bzzzzz. Il recule. Repos. Il avance. Bzzzz, etc. Solidarité féminine. Merci, je ne connais même pas son prénom. Je vibre de partout. L’œuf s’est fait un allié du plug. Cela dure. C’est bon. À ma droite, Pierre qui encule. À ma gauche, le mari qui se branle. La main presse la verge et tire vers le gland comme pour l’agrandir, pomper le sperme du fond des bourses.
Plaff. Je reçois la première giclée dans l’œil. Tir trop haut. Il ajuste, visant ma bouche que j’ai ouverte et que j’approche tout près du gland. Plaff, dans la bouche. Plaff sur la langue. Le reste coule lentement sur la main qui trait la bite. C’est fini. Je garde le sperme dans la bouche. Il me fait le geste d’avaler. Ah, ces hommes, tous les mêmes !
Mon vagin vibre presque de façon ininterrompue. Le couple se démène avec frénésie. Pierre serait-il homme à se laisser emporter par le plaisir ? Oh, oui. Ses coups de reins montrent qu’il lâche sa semence. La femme crie, oh oui, crie son plaisir de recevoir ces giclées de foutre. Le mari regarde le couple d’un œil bienveillant. Son regard, comme le mien, suit maintenant le sexe qui sort doucement de l’anus, laissant des traînées de sperme couler comme à regret de l’œillet qui reste encore un long moment ouvert.
Je peux enfin m’occuper de moi. Ils sont encore dans leur monde et je ne suis qu’une chose, insignifiante, mais qui a tellement envie de jouir avant qu’ils ne se réveillent ! Je bouge afin de ressentir les deux objets dans mes intimités. À défaut d’une ou de deux vraies queues, je me contente de ce qu’ils m’accordent. C’est la première fois que mes deux trous sont occupés en même temps. Sensations, fantasmes, je coule. J’essaye de rester attentive à mes maîtres pour ne pas me faire remarquer, de peur qu’ils arrêtent la montée de mon plaisir. Mais c’est si bon que je ne peux pas… « Ouiiiiiiii ». Le cri de la jouissance.Ils sourient, indulgents.
— Quand vas-tu la faire percer ? demande la femme, comme si cela était une évidence.— J’ai pris rendez-vous dans deux jours.
Ils sont fous. Jamais je ne vais accepter. Plutôt renoncer que me retrouver avec ces corps métalliques dans ma chair. C’est un truc à se faire refuser au détecteur de métaux des aéroports. Vous me voyez montrer ma chatte avec un piercing pour pouvoir prendre l’avion ?
Diffuse en direct !
Regarder son live