Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 0 Commentaire

Pierre le maître

Chapitre 10

SM / Fétichisme
C’est Gégé qui pousse une chaise pour me faire monter sur le billard. Le Noir est déjà en place, allongé sur la feutrine. Sa position ne prête pas à interprétation. Sa verge, que la patronne vantait tout à l’heure, est bien digne d’intérêt et supporterait la comparaison avec celle du camionneur. Plus fine, oui ; plus fine mais plus longue. Je rampe vers lui, forçant mes gestes pour accentuer le côté femelle qui est prête à tout pour une belle queue noire. Pierre doit être fier de moi. Où est passée la Muriel d’avant ? Je suis pour tous ici la femme que l’on peut utiliser. Pensez, la bourge qui vient déjà de se faire mettre par quatre mecs et qui rampe vers le suivant…

C’est lorsque ma main se saisit du mandrin que je réalise vraiment la taille de l’objet. Je ne peux m’empêcher de mettre la seconde dessus mais, malgré ce long fourreau, le gland sort encore. Waouh ! Belle pièce. Pourrai-je ?… On me laisse tranquille. Les autres se sont répartis autour du billard. Ils regardent, c’est tout. Il ne faut pas exagérer ; ce n’est pas un phénomène de foire. Envieux ? Peut-être.

Je suce le gland et la hampe rapidement, m’assurant ainsi une lubrification sécurisante avant de faire rouler l’interminable capote qu’une main secourable me passe. Doucement, je me positionne, retrouvant mon ancienne position favorite, avant… avant Pierre et… Bref, je le chevauche. Nous nous regardons. Il me sourit. Maintenant, il suffit de laisser faire la nature : juste guider le bâton vers ma chatte poisseuse des hommages de mes amants précédents. On peut dire ce que l’on veut, mais je ne connais pas de position plus agréable pour la femme. Elle peut se faire posséder comme elle veut. C’est elle, c’est moi qui contrôle la lente progression de l’engin dans mon fourreau, savourant la dilatation du vagin dont les parois n’ont envie que d’une seule chose : ressentir le frottement des muscles qui s’ouvrent puis se pressent pour étouffer l’intrus.

C’est plus difficile. J’ai l’impression d’avoir atteint mes limites. Abdou sent bien la résistance. Il me caresse de ses mains noires, étrangement douces. Il tire sur mes tétons, délicatement, les faisant rouler entre ses doigts, m’attire à lui et ses lèvres viennent jouer avec le piercing. Maintenant, je suis presque allongée sur lui et ses mains caressent mes fesses. D’autres mains se joignent aux siennes.

— Allez, Gégé, à toi : bourre-lui le fion, fais chauffer son cul ! Demain, elle pourra plus s’asseoir ! dit une voix sur la droite.

D’accord ; ce n’est pas très distingué, mais cela a le mérite de la vérité.Le Gégé est sur le billard, derrière moi, et cherche la meilleure position pour amener son sexe vers mon fondement. À la façon dont les mains écartent mes fesses, mon anus doit ressembler à une grotte ouverte dans la montagne, avec même un filet de ma liqueur qui en suinte. Le Gégé ne fait pas dans la délicatesse. Après tout, il vient de me voir accepter des queues dans tous mes orifices et je suis sûre que les paroles de la patronne « Mais ne vous fiez pas à son air de sainte nitouche. Je connais bien son homme, il sait choisir ses femelles. » résonnent comme un défi personnel. Il envahit mon cul avec brutalité, et l’espace d’un instant j’ai pensé qu’il allait me déchirer. Mais non. La pression est énorme. J’ai l’impression que mon ventre va exploser, mais avant même que je ne réagisse, il est entré, et mieux : sa bedaine s’écrase sur mes fesses.

Waouh ! Pour une première fois, je suis gâtée. Sandwich de reine. Rien à voir avec le plug et les sphères chez Pierre. L’expression « se sentir pleine » n’est pas qu’une façon imagée de décrire ce que je ressens. C’est plus que cela. À la fois déformée par les deux bites qui se font concurrence dans l’espace restreint et saturée d’informations contradictoires, de la gêne à l’extase.

Mais mon Gégé n’a que faire de mes états d’âme. Il en veut pour son argent ; ou plus exactement, il se doit – défié tout à l’heure par la patronne – de m’amener au plaisir. Sa façon à lui est de me bourrer le cul sans ménagement, cherchant à m’empaler le plus profondément possible, et pour cela me tirer vers lui par ses paluches sur mes épaules. Abdou est pour l’instant bien sage, au chaud dans mon con, et il laisse faire son copain.

Petit à petit cette enculade violente réveille chez moi une envie irrépressible de plaisir. C’est très éloigné de la douce baise sur un amant. Non ; je veux moi aussi me laisser emporter par mes instincts. Je bouge de plus en plus, ondulante, chienne, garce, salope. Tout le monde s’en aperçoit et les commentaires fusent bon train :

— Vas-y, Gégé ! Elle est chaude… Regarde comme elle se tortille… Elle en veut, de la bite !

Toutes ces remarquent ne font que rendre l’atmosphère de plus en plus sexe, sans contrainte, sans limite et je suis maintenant une femelle en chaleur, prise du cul et du con et qui veut…
Diffuse en direct !
Regarder son live