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La piscine des voisins

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire est véridique, seuls les noms et endroits ont été changés.
Nous sommes à la fin des années 90, quelque part au centre de l’Hexagone. J’ai 32 ans, mon épouse Christelle en a 31, et mes deux filles 11 et 9. Il y a deux ans, nous avons acheté une des deux maisons qui terminent le cul de sac dans une belle cité résidentielle. Notre terrain jouxte d’un côté à un petit bois et elle est mitoyenne à celle de nos voisins. Paul et Geneviève sont un jeune couple, elle a 23 ans et lui 25. Ils ont, comme nous, deux enfants âgés de 3 ans et 13 mois. Paul est militaire et est souvent absent pour de longues périodes. Ainsi, il est actuellement en Bosnie depuis 3 semaines, sa mission durera au total 4 mois.
Comme d’habitude, nous aidons souvent la voisine, que ce soit pour l’aide administrative envers les différents services, la conduire pour faire les grands achats - elle n’a pas de permis de conduire -, ou pour l’entretien de son jardin.
Ce samedi après-midi, Christelle est partie avec les filles pour rendre visite à ses parents. Elle y passera la nuit pour revenir demain en fin de journée. Ma relation avec mes beaux-parents n’étant pas des meilleures, je suis resté et en profite pour tondre la pelouse des voisins après avoir terminé la nôtre.
Geneviève m’a demandé si je voulais bien, une fois la pelouse terminée, installer la piscine gonflable, les jours à venir promettant une forte canicule. Ses enfants étant chez une tante pour l’après-midi, nous ne serons pas dérangés dans le travail. Je place donc la piscine gonflée sur le gazon au bord de la terrasse, installe le tuyau d’arrosage et commence à la remplir.
Ma voisine arrive avec un seau et me demande de le remplir afin de nettoyer sa terrasse. Je tiens l’embout et dirige le jet dans le seau. La pression trop forte a pour effet que l’eau ressort du seau et asperge la voisine, ce qui me fait rire. Elle prend le seau et m’asperge à son tour, si bien que commence un joyeux combat. Au bout de cinq minutes, nous sommes trempés jusqu’aux os.
Geneviève est un beau brin de femme, 1,65m, une belle poitrine couverte par un top laissant voir des parties de son soutien-gorge. Sous une taille de mannequin, on peut voir le bas de ses fesses serrées dans un short en jeans. Son cul est une belle pomme. Elle est une fille simple, sans grande éducation. Je la crois un peu soumise à son mari…
Je vois qu’elle commence légèrement à trembler sous le vent et je lui propose ainsi de rentrer se sécher. Je la suis donc pour traverser le salon et rentrer dans la salle de bain. Elle me tend un essuie-éponge.
— Enlève ton top sinon tu vas te refroidir ! Viens, je vais te sécher.
Je l’aide à enlever son top qui colle à la peau et je lui sèche son dos. Ensuite, je passe ma main dans son dos et elle soupire légèrement.
— Ah, c’est comme un massage. Dit-elle.
— Tu devrais enlever ton soutien sinon tu risques la pneumonie ! Je lui réponds.— Mais je ne vais pas me mettre nue devant toi ?!— T’es pas la première que je vois, et puis tu as une poitrine qui vaut le coup d’être montrée !

Toujours tournée de dos vers moi, je lui dégrafe son soutien et tire le tout vers l’avant. Un peu hésitante, elle attrape son soutien, le jette sur le reste du linge mouillé et se retourne vers moi. Je prends l’essuie et lui sèche les cheveux puis le cou, pour descendre sur ses seins dont les mamelons durcis pointent vers moi. Des mamelons minces mais qui font presque un cm de long ! Comme pour son dos, je repasse avec la main "pour voir si tout est bien sec".
— Mmmm ! Soupire-t-elle.
Je vois qu’elle apprécie ma caresse et j’en profite pour prendre un mamelon entre le pouce et l’index pour le faire rouler entre mes doigts.
— Bon dieu, on voit que tu a bien allaité tes enfants, tes tétons sont magnifiques !— On ne peut pas…. — Laisse toi faire, tu aimes bien, non ? Et puis cela restera entre nous.
Mon autre main lui caresse le dos, descendant du cou jusqu’au short. Elle cambre un peu le dos, ce qui fait ressortir sa poitrine que je malaxe fortement. Je repasse l’essuie derrière sa tête, l’attire vers moi et lui dépose un baiser sur les lèvres. Je sens qu’elle les entrouvre, passe ma langue et lui retourne une pelle magistrale.
— C’est pas tout çà, mais je dois me sécher aussi.
Je lui donne mon essuie et lui fait un petit signe de la tête pour l’encourager à me sécher. Je lui présente mon dos, qu’elle se met à frotter puis, me retournant, elle me sèche la poitrine et le ventre et passe ensuite dans mes cheveux. Je lui dis en souriant :
— Tu devrais enlever ton short sinon tu risques d’avoir un froid à la vessie.
Je prends l’initiative, défais le bouton, descend le zip et baisse son short. Elle se retrouve en string tout en dentelle.
— Oh ! Mais c’est très sexy ce que tu portes là !— Merci… C’est Paul qui me l’a offert…
Déjà que mon début d’érection était pas mal, voilà que je bande à fond. Soudain, elle fixe mon short et voit la bosse que forme ma bite devant. D’une voix hésitante, elle me dit :
— Tu devrais aussi enlever ton short, il est tout trempé. L’eau te coule encore sur les jambes !
Ni une, ni deux, j’enlève mon short. Mon caleçon a du mal à contenir ma queue bandée à fond. Ses 18 cm et 5 cm de pourtour prennent trop de place. Elle me frotte le bas du ventre, passe sur ma queue et termine en séchant mes jambes. Pour cela, elle s’est agenouillée et se retrouve avec la tête devant ma queue. Jambes écartée, je vois que son string a déjà une belle tache sur le devant. Je ne vois pas de poils autour de son minou, ce qui me fait penser qu’elle doit être rasée, tout comme je le suis.Je prends l’initiative et la regardant dans les yeux, je baisse mon caleçon en lui disant :
-Tu devrais aussi me sécher là, c’est très sensible au froid.
Je pensais qu’elle allait se servir de l’essuie, mais non ! Elle prend ma queue en main, la caresse de haut en bas, et soupèse mes couilles pleines.
— C’est sec ! Me dit-elle en me lançant son plus beau sourire.
Ce à quoi je ne m’attendais pas, sa timidité s’était envolée. Elle reprend mon chibre en main, approche ses lèvres, les écarte en me souriant et l’engobe à fond. Elle se met à me sucer comme une forcenée. Sa langue tourne autour de mon pénis bandé, le gland décalotté rouge d’émotion. Elle ressort ma queue, la lèche sur toute la longueur, chatouille du bout de la langue le frein, ce qui me fait soupirer de jouissance.
— Humm, c’est bon, continue comme ça !
Je lui empoigne les gros nichons, les malaxe, je pince ses mamelons, les triture. Je sens que ma jouissance est proche. Ne voulant pas avoir fini si tôt, je la relève et baisse son string. Effectivement, sa moule a reçu un rasage intégral, pas un poil ne lui reste. Je plonge ma main dans cet endroit interdit, mon index passe sur la ligne formée par ses grosses lèvres. Elle écarte les jambes un peu plus, me laissant la voie libre. J’écarte l’entrée de son paradis, remonte sur son clitoris dont je repousse le capuchon, quelques mouvements circulaires sur ce bouton sacré et elle se met à gémir.
— Ah, continues, caresses-moi, oh, ah !
De l’autre main, je lui enfonce deux doigts dans son vagin trempé, sa cyprine remplit avec abondance sa grotte palpitante, un filet de son jus coule sur ses cuisses. Je la masturbe ainsi pendant quelques minutes. Elle se met à gémir de plus en plus fort, elle crie sa jouissance.
— Oui, je viens…oh, c’est bon…je jouis !
J’accélère encore le rythme, mes doigts s’agitent au fond de son vagin dégoulinant. Tout à coup, elle se raidit, ses jambes tremblent, elle s’agrippe à mes épaules, m’enfonce ses ongles dans la peau. Perdant un peu mon équilibre, je tombe assis sur le bidet, elle ne me lâche pas, penchée vers l’avant. Elle jouit si fort qu’elle libère un jet puissant de cyprine qui éclate sur mes genoux…une femme fontaine ?!…Je la tire vers moi, elle enjambe mes cuisses, mon dard tendu à la verticale devant l’entrée de sa chatte trempée. J’appuie un peu sur ses épaules, elle s’empale ainsi sur mon dard frétillant. Elle se laisse descendre à fond, remonte en libérant la moitié de ma queue, pour redescendre. Elle attrape un rythme diabolique, chevauchant ma bite comme une folle. Je sens mon jus remonter dans la hampe vivante, je suis au bord de la jouissance.
— Je viens…mon foutre explose !— Oui, remplis-moi de ton jus, je veux ta semence !
J’embrasse ses seins, lui maltraite les fesses que j’écarte. Mon index approche son anus qu’il caresse, la mouille l’a bien lubrifié. J’appuie pour introduire la première phalange… je sens qu’elle pousse légèrement, ce qui me permet un passage plus facile. L’anus palpite, s’ouvre pour laisser glisser mon doigt. Je l’enfonce entièrement, le ressors pour l’enfoncer à nouveau en ajoutant un deuxième, puis un troisième doigt.
Je ne sais plus me retenir, c’est l’explosion, mille étoiles brillent devant mes yeux, je lui lâche ma purée au fond de son utérus, ma jouissance est au sommet du possible. Elle aussi, elle jouit à nouveau, criant son plaisir à me rompre les tympans. Sa liqueur coule avec abondance le long de ses cuisses, sur les miennes, mes couilles sont trempées. Je la relève, je bande encore. Je la retourne, rentre mon dard lubrifié de sa mouille dans sa sombre vallée, pointe son étoile ouverte et m’enfonce d’un coup sec dans son cul. Elle lâche un petit cri de douleur, tout de suite remplacé par des gémissements qui me font savoir qu’elle m’a accepté, qu’elle en veut plus. Je lui laboure ses fondements, rentrant et sortant presqu’entièrement ma queue. Elle se caresse le clito, tournant frénétiquement ses doigts autour de cette minuscule colonne de chair sensible. Sa respiration accélère, comme la mienne. Nous sommes deux locomotives à vapeur… Je sens le jus monter dans la colonne de chair.
— Je viens, je jouis…— Moi aussi !
C’est de nouveau l’explosion. Elle tremble de tout son corps. Je lui lâche mes dernières gouttes de sperme dans son fondement, mes couilles sont vidées. Elle reste penchée en avant, respirant bruyamment. Il nous faut quelques minutes pour récupérer notre souffle.
— Je dois pisser !
Elle se relève, s’assoit sur la toilette et j’entends qu’elle se soulage. Comme j’ai subitement aussi envie je lui dis d’écarter les jambes, me place devant elle et dirige le jet dans l’espace entre ses jambes. Elle me sourit, agrippe ma queue que je lui laisse et, les dernières gouttes tombées, elle me l’enfourne complètement. Son regard plonge dans le mien. Elle me suce si bien que je rebande au bout de quelques secondes.
— Je suis vide !— J’ai encore envie…
Je la tiens sous les aisselles, la relève un peu et lui dit de s’agenouiller. Je me place derrière elle et, lui tenant les hanches, je m’enfonce dans sa chatte qui m’accueille avec un bruit de succion humide.  Je lui laboure la moule pendant quelques minutes. Elle a passé une main sous elle et caresse son clito. Quand je sens qu’elle approche de l’orgasme, je me retire entièrement et enfonce ma bite dans son boyau dont l’entrée montre encore des traces de sperme dû à la baise précédente. Elle gémit, crie son orgasme.
Nous sommes lessivés pour ne pas dire crevés, cherchant notre respiration normale. On se relève, je l’attire vers moi pour lui retourner une pelle, ma langue jouant avec la sienne, la bave coulant hors de nos bouches. Je la pousse sous la douche, la rejoins et nous nous savonnons l’un l’autre. En la rinçant, je passe mes mains partout, lui caressant le corps entier.
Je ressors le premier de la douche, remet mes boxers et mon short pour rejoindre le salon où je l’attends. Elle passe dans la cuisine pour m’apporter une boisson rafraîchissante et s’assied en face de moi.
— On n’aurait pas dû, mais j’ai bien aimé !…— Je sais, mais nos sentiments étaient plus forts. Cela restera entre nous…promis. Et puis, nous n’aurons pas toujours l’occasion d’en profiter. À moins que tu ne veuilles plus recommencer ?…— Non, je suis prête à recommencer…quand Paul sera de nouveau parti en Opex…Je ne pourrai plus rester 4 mois sans baiser….j’aurai besoin de ma dose de sexe.— Je t’aiderai avec plaisir, Christelle aussi…
Elle me jette un regard interrogateur.
— Christelle m’a un jour raconté qu’un de ses fantasmes serait de faire une partie à trois… Tu lui plais énormément et elle t’aime beaucoup.— Moi aussi je l’aime bien…je vous aime tous les deux…
Deux semaines plus tard, on s’est arrangé pour laisser les enfants dans la famille un week-end. J’allais pouvoir faire la surprise à Christelle…mais çà c’est une autre histoire…
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