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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La Plage

Chapitre 1

Divers
Nous avons l’habitude ma copine et moi d’aller pendant les vacances tous les jours à la plage. C’est d’ailleurs sur cette plage que je l’ai rencontrée, il y a bientôt deux ans. J’avais été complètement subjugué par sa poitrine qui était vraiment étonnante : jamais je n’avais vu de seins aussi gros et aussi fermes. Hauts placés et bien dressés, ils étaient si volumineux qu’ils se touchaient et débordaient sur les côtés. Elle faisait un bon 120 F. Ses aréoles étaient également surdimensionnées et ses tétons, gros comme le bout du pouce, les rendaient que plus excitants.Il y avait beaucoup de monde sur la plage et nous étions souvent obligés d’aller sur le banc de sable pour avoir quelques moments d’intimité. Ce jour là, nous étions restés très tard et il n’y avait presque plus personne sur la plage. Durant toute la journée, ma copine avait baissé son maillot pour profiter du soleil et j’avais été très excité par ses seins, surtout lorsqu’elle passait de la crème dessus. A cause du monde, je n’avais pas pu trop la toucher et je commençais à avoir vraiment envie d’elle.Quand il n’y eut presque plus personne, nous sommes restés là sur la plage, couchés sur nos serviettes, à profiter du calme revenu. Elle avait remis son maillot et semblait dormir : je devinais sans problèmes ses seins au travers du tissu et je commençais à fantasmer : je sentis très vite mon érection. Cela faisait presque deux jours que je ne l’avais pas touchée et je ne voyais plus personne autour de nous. Au bout de quelques minutes, je n’en pouvais plus et je me ruais sur elle en abaissant une de ses bretelles. Je pris son sein gauche dans mes deux mains et je commençais à sucer son téton : ils étaient incroyablement fermes et je ne pouvais m’empêcher de suspendre la succion, tant le plaisir était grand. Tel un nourrisson rassasié, je lâchais le pis et j’embrassais tendrement son sein. J’ai ensuite tiré la seconde bretelle, libérant son sein droit de son étreinte : il apparaissait encore plus gros et je lui réservais le même sort qu’à l’autre. Au bout de quelques minutes, je lâchais sa poitrine pour rabaisser son maillot jusqu’au nombril. Ses seins oscillaient très légèrement et m’excitaient de plus en plus. Tandis que je l’embrassais, elle me caressait le dos et je lui baissais complètement son maillot. Elle était désormais complètement nue et s’offrait complètement à moi. J’enfouis ma tête dans le creux des seins et avec mes mains je ramenais ces deux énormes masses contre ma tête, puis je me redressais en accentuant la pression pour ramener ensemble les deux tétons que je léchais goulûment. Je me suis relevé pour quitter ma chemise et je ne pensais plus qu’à une chose, jouir de ces nichons. — continue, me lança-t-elle— Je vais m’occuper de tes seinsTandis que je caressais son sein gauche, je lui bouffais carrément son sein droit, titillant son téton. Finalement, je perçai une érection au niveau de ses pis et je sentis la pointe se durcir dans ma bouche. C’était vraiment le pied, jamais je n’avais autant aimé sa paire de mamelles aussi fermes.J’ai ensuite commencé à baisser mon caleçon mais elle me prit ma main et la plaqua sur son sein. J’étais vraiment très excité et je l’ai alors malaxé fortement dans mes mains. Elle prit alors ma tête et l’appliqua contre son autre sein libre, m’obligeant à lui téter. C’était si bon que j’en oubliais presque mon sexe qui ne demandait qu’à la pénétrer. Ma copine ayant progressivement tiré vers le bas mon caleçon, mon sexe libéré de son étreinte bandait vraiment très dur.L’excitation était arrivée à son maximum et je me laissais aller à la vulgarité. — Vraiment, ta paire me fait triquer comme un fou. Tu vas voir ce que je vais faire à tes nichons.Je commençais à la pénétrer doucement, tandis que je plaçais d’instinct mes coudes de chaque côté de son ventre, sur sa serviette. Mes mains reposaient sur ses seins volumineux. J’étais si prêt d’eux qu’ils me paraissaient énormes. J’avais tellement envie de ces appâts que je les pris à pleines mains et commençais à la presser violemment. Elle parcourait mon dos avec ses mains et me les plaqua ensuite sur mes fesses, m’incitant à la pénétrer plus profondément. Mais j’étais encore davantage excité pas ses gros seins que je pressais de plus en plus fort.— Putain, tes nichons sont vraiment bandants, je vais me les faire...Maintenant je m’agrippais carrément aux seins pour la pénétrer : à chaque coup de reins, je les pétrissais encore plus intensément. Je perdais carrément mon contrôle et c’était vraiment trop bon que de me défouler sur son corps. Elle continuait à me presser les fesses et accélérait mes va-et-vient dans son vagin. tandis qu’elle gémissait de plaisir, j’étais complètement absorbé par sa poitrine : Je plantais violemment mes doigts dans les chairs et tirais à moi cette masse dure. Ils étaient si fermes que j’avais du mal à les empoigner et à les étirer vers moi. C’était l’extase complète, et j’étais tellement excité que j’en devenais vulgaire :— Tes Nichons, je vais te baiser tes nichons.— Non pas ici, me répondit-elle assez sèchement.Je me retirais après deux coups de rein et je lâchais sa poitrine, assez déçu par ce refus brutal. Ma copine posa ses mains sur ces gros seins et je me mis sur le côté, bandant encore fort. Je lui proposais d’aller se baigner une dernière fois mais elle refusa. Au loin dans l’eau je commençais à m’interroger et j’avais peur de lui avoir fait mal.Quand je revins, elle s’était rhabillée et avait enfilé une chemise qu’elle noua autour de ses seins. Ces derniers débordaient de tous les côtés et étaient de plus en plus excitants. Je la pris par derrière en entourant sa poitrine de mes mains. Je les caressais lentement et lui dit :— Excuse moi si je t’ai fais mal, mais c’était si excitant...— Mais non, il y en avait quelqu’un qui nous regardait. Viens rentrons vite continuer ce que nous avons commencé.A vrai dire il ne m’en fallait pas plus pour me rendre heureux. Je me rhabillais en vitesse et nous partîmes de la plage. Je serrais ma copine par la taille en soupesant son sein que je caressais. Des jeunes hallucinaient en nous voyant : j’avais l’impression d’être vraiment très envié.
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