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Le plaisir des sens

Chapitre 1

Gay
Hanté par le désir de me faire mettre, je saisissais toutes les occasions de réaliser ce souhait qui me faisait mouiller rien qu’à l’idée d’y penser. Un jour, je pris le le bus qui était bondé. Il faisait beau, un jeune homme se trouvait juste derrière moi, il se frottait à moi. Il (s’)était placé de façon à être collé à mes fesses. Soudain je sentis une raideur placée ou plutôt pointée sur le trou du cul. Plus le bus ralentissait ou faisait des à coups plus le pointeur essayait d’enfoncer son engin un tant soit peu à travers nos deux pantalons qui étaient légers. Il faut dire que c’était agréable. Ces courts instants furent un grand plaisir. Nous ne parlions pas mais je fermais les yeux de plaisir sans oser geindre de plaisir. J’étouffais mes râles. C’est fou ce que le sexe pouvait servir de moyen de communication. On se comprenait. Le désir de baiser, de me faire enculer était fort. Je mis ma main sur son sexe pour lui faire comprendre qu’au prochain arrêt il fallait qu’on passe aux choses sérieuses. Il me caressa la main comme signe de consentement. Nous descendîmes à l’arrêt qui m’emmenait chez moi. Je lui dis de me suivre qu’on allait être plus à l’aise chez moi car ma famille était en voyage. Nous rentrâmes dans la maison et je le dirigeais vers la douche pour une toilette intime. Nous nous lavâmes ensemble les deux corps collés comme pour rechercher la fusion. Celle-ci se profilait car nous avons entamé les préliminaires avant d’aller nous mettre sur le lit. Nous nous embrassâmes les deux langues balayant à tour de rôle le fond de la bouche de l’autre. Nos deux queues raides se frottant l’une à l’autre. Puis elles se mettaient en alternance l’une sous l’autre comme pour chercher un vagin. Nous étions sur un petit nuage. Ensuite pressé par le désir de paser aux choses sérieuses je lui proposais d’aller nous mettre à l’aise. Nous nous posâmes sur le lit, il me dit qu’on devrait commencer le 69. Il me léchait en même temps que je le faisais pour lui lui étant dessus e t moi dessous. Il avait un zob énorme du 24 sur... Bref monumental. Il remplissait ma bouche. Il éprouvait un grand plaisir à l’enfoncer profond, s’aidant de ses mains qu’il appuyait sur ma tête. Je frisais l’étouffement mais j’aimais ça quand je reprenais mon souffle. J’en demandais. C’était une sensation forte. Lui, il suçait ma bite mais contrôlait ses mouvements étant placé au dessus de moi. C’était lui le dominant, la maître de la situation. Il dirigeait les opérations. Après quelques minutes nous éjaculâmes en même temps en laissant échapper des gémissements en choeur. Il m’apergea la figure de son sperme que j’avalai goûlument. Auparavant il m’avait enduit la figure et une partie du corps avec une partie de ce nectar. La quantité de sperme était impressionnante. Elle permit d’enduire presque tout le corps. J’étais dans une euphorie indescriptible, je ressentais une absence inqualifiable. Etant toujours par dessus moi il me mit son sexe entre les deux seins sur ma poitrine tapotant les deux bouts. Il descendit son sexe, comme s’il traçiat une ligne verticale, jusqu’en bas puis demande de me retourner. J’obéissais, car j’étais son instrument de plaisir, son jouet, sa chose. Il commença par tapoter mes fesses avec son zob. Il me lécha le cul, le nettoya balayant la la raie et le trou avec cette langue dévastatrice. J’éprouvais un plaisir comme celui d’une clitoridienne. Je me voyais femme. J’étais salope, loppette. Il me mouilla l’entrée pour la lubrifier puis il se mit en situation pour commencer un travail d’esthète. Il introduidit son zob dans mon cul. J’éprouvais les sensations d’une vaginale. En clair j’aimais les deux. La pénétration se fit par étapes progressives. Il commença par un va et vient qui accentuait la lubrification de la rondelle. Puis il enfonça son zob jusqu’au fond. Et à cet instant je sentis un si grand plaisir qu’en jouissant je poussais un cri fort. Celui de l’extase. Mon enculeur savait faire. Il agissait en artiste. Comme je geignais, cela lu ifaisait plaisir de me faire jouir. Il éprouvait une sensation de puissance qui le faisiat jouir à son tour et poussait des petits cris, en me tapotant les fesses de plus en plus fort jusqu’à les rougir. Mais je ne sentais pas la douleur tellement le plaisir de la pénétration était fort, magnifique. Je lui demandais de me défoncer, de me réduire, de me faire mal, de me dominer. J’étais son esclave. Il exerçait un droit de maître. Je criais de bonheur. Quant à lui, il me proférait des insultes telles que ma salope tu aimes ça hein? Ou encore sale petite pute je vais te montrer ce qu’est un homme. Je vais te défoncer à en creir de douleur. Mais la douleur je ne la sentais pas. Bien au contraire. Le plaisir est plus fort que la douleur. Il l’élimine. Après quelques minutes de position allongée où son corps était posé sur le mien, son pubis collé à mes fesses, il me demanda de me mettre à quatre pattes. Pour lui, comme pour moi, la séance passée n’était qu’un entraînement, un échauffement. Je me mis à califourchon, le cul offert à mon baiseur qui se mit à l’embrasser et de dire que c’était une bénédiction du ciel que d’avoir un cul aussi ouvert et plaisant à sodomiser. Il me pénétra d’un coup étant aidé par l’échauffement et la lubrification qu’il produisait du fait de la jouissance que j’éprouvais. En effet, je jouissais du cul. Il me disait qu’il pouvait loger deux zobs en même temps. Mais moi j’étais au septième ciel. Je n’ai jamais baisé de cette façon. Je n’ai jamais éprouvé un plaisir aussi intense. Mon partenaire était divin. Il baisait comme un dieu. Il a assumé son rôle avec brio. Un baiseur de cette trempe, c’est rare. Je ne voulais pas qu’il arrête de me sodomiser. Je voulais rester dans la position de femelle. Je voulais rester collé à lui. Je voulais que son zob reste à l’intérieur de moi, qu’il fasse partie de moi, de mon corps. Pour l’éternité. Le bonheur.Enfin, après avoir assouvi nos désirs et satisfaits à nos sens nous nous embrassâmes tendrement et longuement. Puis nous nous quittâmes en se donnant rendez-vous pour le lendemain. Auparavant nous nous sommes accordés pour penser à une autre forme de l’amour. De le diversifier.
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