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Un plan en or

Chapitre 1

Erotique
J’attendais Malika depuis maintenant vingt minutes. Sauf que j’attendrais, parce que je savais qu’elle viendrait.La ponctualité n’avait jamais été la plus grande qualité de Malika, mais avec elle, c’était toujours « mieux vaut tard que jamais ». En plus, je savais dans quel état elle allait être. Triste, probablement en larmes. C’est bien parce qu’elle serait comme ça qu’elle serait en retard, et aussi qu’elle finirait par arriver.Malika était séparée de sa copine Stéphanie depuis six ou sept mois. Car oui, Malika n’était pas ma copine. Je n’avais pas ce qu’elle recherchait entre les jambes. Les deux filles s’étaient donné rendez-vous dans l’après-midi. Malika avait espéré qu’elles se remettraient ensemble. L’appel que j’avais reçu une heure plus tôt confirma mes craintes : Stéphanie avait refusé.J’avais donc proposé à Malika de prendre un verre avec moi, histoire de lui changer les idées. Mon idée à ce moment-là était de la réconforter et de lui faire oublier ses idées noires.
Elle arriva enfin à 20 heures. Ses longs et magnifiques cheveux blonds étaient détachés et voletés dans le léger vent du soir, mais certains restaient collés sur ses tempes. Son maquillage avait visiblement coulé. Elle avait bel et bien pleuré.Son visage était encore rougi par les larmes, ce qui la rendait encore plus belle. Parce que, ô rage, ô désespoir, Malika était l’une des plus belles filles que je connaissais, avec son visage angélique, ses yeux verts, et son sourire… Son sourire. Ajoutez son corps : grande, élancée, avec un magnifique 90B (enfin j’estime). Elle avait un physique à exciter tous les mecs. Les pauvres, s’ils savaient.Je la pris doucement dans mes bras et l’embrassai tendrement sur le front, d’un geste presque fraternel. Elle recommença à pleurer, sans se retenir. Nous sommes restés debout plusieurs minutes, comme unis dans l’adversité.Une fois que Malika se fut calmée, nous nous sommes assis et nous avons commandé. Elle me raconta comment Stéphanie l’avait violemment rembarré quand elle avait évoqué son désir de se remettre en couple. Comment Stéphanie lui avait sorti « Tu remplaceras jamais une bite. » Comment elle l’avait même repoussé quand Malika avait simplement voulu lui faire la bise pour se dire au revoir.J’ai écouté, sans rien dire, sans commenter, sans réagir. J’ai juste pris les doigts de Malika dans ma main, pour lui signifier que j’étais prêt d’elle. Qu’elle pouvait compter sur moi.
21 heures sonnèrent. Je proposais donc à Malika de passer manger chez moi, et de dormir. Je tentais la plaisanterie en lui rappelant que son pyjama était toujours dans mon clic-clac. Elle eut un sourire. Au moins, elle allait mieux.
Nous avons donc mangé tranquillement devant la télé. J’essayais d’éloigner le plus possible la conversation de Stéphanie, des filles, des couples, et de tout ce qui s’en rapprochait. Volontairement ou non, Malika y revenait assez souvent, ce qui rendait donc les choses difficiles.
À la fin du repas, je m’occupais de la vaisselle pendant que Malika restait à table, à regarder son verre, mélancolique. Je lui parlai alors de son club de foot. Sachant que Stéphanie détestait ça, je me disais que ça serait une bonne chose. Grosse erreur.Ce que j’ignorais, c’est que leur rencontre avait eu lieu plus tôt précisément quand Malika était sortie d’un entraînement extraordinaire. Du coup, le sujet revint sur Stéphanie, par ma faute cette fois. Je ne sais ni pourquoi ni comment, mais Malika en vint à prononcer une phrase qui allait bouleverser bien des choses :— Des mois que je n’ai pas fait l’amour. J’ai l’impression d’être vide. D’être condamnée à ne plus jamais ressentir autant d’amour ou autant de plaisir.— C’est sûr que moi, je ne peux pas beaucoup t’aider. À part te lécher la chatte, je vois mal ce que je peux faire en étant un homme.J’avais dit ça comme une blague, une fois encore. Malika et moi avions l’habitude des vannes un peu salaces, quoi que rarement comme celle-là. À ma grande surprise, elle tourna son regard d’émeraude en ma direction. Je remarquais que ses yeux pétillaient. Un sourire gêné se dessina sur son visage.— Tu accepterais de faire ça ?Je peux vous dire une chose, c’est que sur le moment, j’ai été comme un con à ne pas savoir quoi dire. Heureusement que j’étais assis, parce que je crois que dans le cas contraire, je me serais évanoui. Il m’a fallu plusieurs secondes pour réagir. Et quelle réaction : j’ai bégayé comme si j’apprenais à parler :— Quoi ?... Mais… Je… Toi… Quoi… Je… Pour rire… Fin…Elle posa sa main sur la mienne. Son sourire s’accentua. Il n’y avait plus la moindre gêne sur son visage. Juste de l’envie.— Tu as raison. Toi, tu ne peux pas faire grand-chose d’autre. Et si tu acceptes de me faire ça, je ne pourrais pas te remercier comme tu le mériterais. Mais j’ai tellement envie de jouir. Si tu me fais ce plaisir, je serai la fille la plus heureuse qui soit.Je ne savais pas quoi répondre. Dans un autre contexte, j’aurais cru à une blague de sa part. Elle avait pourtant l’air particulièrement sérieux.Je ne savais pas non plus quoi penser. J’ai longtemps fantasmé sur elle, avant de définitivement arrêter, par respect et amitié pour elle. Je n’aurais jamais cru qu’une telle situation se présenterait un jour.— Je suis sérieuse tu sais. J’en ai très envie.Je gardais le silence. Comme pour me prouver qu’elle ne me racontait pas de salade, elle s’est levée, et a pris la direction de ma chambre. Je respirai un bon coup, et je me suis levé à mon tour. Je suis allé dans ma chambre. Elle était debout, face à moi, contre mon lit.Elle n’a rien dit. Elle a défait le bouton de son jean, et elle l’a baissé, laissant apparaître un joli string en dentelle rouge. Elle me fixa, avec toujours son sourire coquin. Je sentais chacun de mes muscles trembler sous l’effet du stress et de l’excitation.D’une geste, Malika baissa son string, et le chassa. Elle se redressa doucement, et je pu voir son sexe, fraîchement épilé, et déjà luisant de cyprine.Elle s’est allongée sur mon lit, et a ouvert les jambes.Cette fois-ci, je bandais à mort. Je ne pourrais pas lui faire l’amour, mais j’allais profiter de ce qu’elle me proposait.Je m’allongeai à mon tour, les jambes dans le vide, la tête au niveau de son entrejambes.Doucement, je commençai à caresser autour de son vagin. Du bout des doigts. Elle poussa un soupir d’aise.J’abaissais ma tête et déposais de petits baisers sur sa fente. D’abord lentement, espacés. Puis proches. De plus en plus proches. Elle soupirait à chaque fois que ma bouche touchait son sexe.Ce petit jeu dura plusieurs minutes, pendant lesquelles je me sentis fier de faire redécouvrir le plaisir à une fille qui en manquait.Je décidais alors de franchir les étapes. Je fis glisser la pointe de ma langue le long de ses lèvres intimes. Elle ne soupira plus, elle gémissait. Des « oui ». Des « Ah ». Des « Oh ». Selon le mouvement que je faisais. Certains gémissements devinrent des cris. Les cris devinrent de plus en plus nombreux.Ma langue entra dans sa chatte. Je la léchais de l’intérieur tout en embrassant sa fente. Je roulais littéralement une pelle à son entrejambe. Elle cria de plus en plus fort. Sa cyprine s’écoula à flot. Un cri plus fort et plus long m’indiqua que j’avais réalisé son attente.
Elle était encore haletante quand je rampai en sa direction. Ses yeux pétillaient. Son sourire à la fois coquin et empli de gratitude.Je ne sais pas ce qui m’est arrivé, mais j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Ça n’a pas duré une seconde. Je me suis rendu compte de ce que je faisais. Je me suis reculé, et j’ai encore bafouillé :— Excuse… Je… Pardon… Je…Elle posa un index sur ma bouche. Je ne réalisai pas ce qui se passait quand elle caressa ma joue. Ni quand elle plaça sa main sur ma nuque. Et encore moins quand elle me tira vers elle et qu’elle m’embrassa avec une tendresse dont je ne l’aurais pas cru capable. En tout cas pas envers un mec.Lorsqu’elle s’arrêta, elle me sourit. Son sourire me parut plus beau que jamais. À la fois coquin et tendre. Elle me murmura alors :— Ça, je peux encore le faire. Ça ne suffit pas à te remercier comme tu le mérites, mais c’est toujours ça.— J’ai apprécié autant que toi.Elle m’embrassa de nouveau, avec plus de fougue encore.
Depuis cette histoire, Malika et moi sommes toujours amis. Dès lors que l’un de nous en a l’envie, je recommence à m’occuper de sa minette, sans demander quoi que ce soit. Et pourtant, elle me récompense toujours plus que je ne peux l’espérer…
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