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La planète des singes

Chapitre 2

Nouvelle soumission

Zoophilie
Zorna était désormais l’esclave sexuelle du grand gorille. Il la prenait, toujours de la même manière, quand bon lui semblait. Ces étreintes courtes mais toujours aussi sauvages la ruinait. Elle restait hébétée, inerte, longtemps après ces coïts démentiels. Son vagin ne s’habituait pas à l’énorme sexe du primate. Elle avait du mal à marcher et se faisait tancer par les deux femelles qui lui reprochait visiblement son manque d’activité sur les tâches ménagères.
Zorna avait physiquement un mal fou à aller jusqu’au jardin récupérer la pitance quotidienne. Elle se déplaçait d’une manière bizarre, essayant d’écarter les cuisses afin de réduire le sentiment de brûlure qui l’envahissait à chaque pas. Les morsures que lui infligeait le primate laissait sur ses épaules et son dos des meurtrissures qui la faisaient également souffrir, de même que son buste  lacéré par les griffes du grand singe.Elle choisit de se laisser dépérir. Elle ne mangeait quasiment plus, se contentant d’un ou deux fruits par jour et de quelques rasades d’eau. Ce régime eut deux effets.
Elle perdit rapidement le bénéfice de sa cure alimentaire précédente et retrouva peu à peu la silhouette décharnée qu’elle avait lors de sa capture. Son ventre se creusa, ses côtes devinrent saillantes. Son visage retrouva son caractère émacié, puis ses seins et ses fesses diminuèrent de volume et prirent un aspect flasque. Comme elle ne se lavait quasiment plus, sa peau se couvrit lentement de crasse et de poussière.
Du coup, le grand singe la délaissa petit à petit. Il n’était visiblement plus attiré par le souillon anorexique qu’elle était devenue. Il essaya bien au début de la forcer à manger ou de la laver contre son gré, mais rapidement il renonça. Zorna avait compris le bénéfice qu’elle pouvait tirer de son jeûne et ne fit rien pour changer les choses. Elle surveillait son alimentation, demeurant rigoureusement en dessous des standards physiques du primate.
Malheureusement la situation ne dura pas. Un jour, au bout de quelques semaines, le gorille se campa face à elle et la dévisagea de son regard jaune. Il plissait ses paupières, l’air à la fois interrogatif et colérique, comme s’il cherchait à prendre une décision désagréable. Il poussa un court grognement puis chargea la fille sur son épaule.
Zorna fut emportée au loin. Le gorille courrait, son mince fardeau ballottant sur ses épaules. Il traversa ainsi toute la zone qu’occupait les grands primates. Zorna reconnut la place centrale où elle avait atterri avec ses compagnes de misère. Le singe la traversa sans ralentir puis obliqua vers le nord de la cité.
La fille vit par dessus son épaule se rapprocher la falaise de craie qui bordait la ville. Elle l’avait aperçue plusieurs fois en allant s’approvisionner au jardin. Le rocher formait un mur d’une vingtaine de mètres de haut. Il était percé de multiples trous de tailles diverses qui servaient visiblement d’abris. Des silhouettes assez petites s’agitaient sur la falaise, grimpant ou passant d’une cavité à l’autre.
C’était la zone des macaques, que les grands singes avaient refoulés en périphérie de leur territoire. Arrivé au pied du mur naturel, le gorille la déposa à terre sans aucun ménagement. Il fit demi tour et disparut sans tarder. Zorna, fatiguée par les soubresauts du long périple, reprenait lentement son souffle. Les premiers macaques apparurent. Ils avaient fuit  la présence du grand singe en se réfugiant dans leurs tanières.
Maintenant, sans complexe, ils venaient prendre possession du butin que celui-ci leur avait livré. La fille se trouva rapidement entourée par une meute de mâles bruyants qui s’invectivaient tout en la serrant de près. Il n’y avait visiblement pas, comme chez les gorilles, une hiérarchie formelle. Les macaques vivaient en colonies et partageaient, bon gré mal gré, ce qu’ils trouvaient.
Aujourd’hui la prise était une femelle humaine, ce qui  arrivait rarement car les grands singes se réservaient ce type de prise. Leur excitation était visible, marquée par des sauts et des pirouettes incessantes. Cette prise de contact dura peu. Zorna fut saisie par les quatre membres et emportée par cette foule en délire.
Elle était beaucoup plus grande qu’eux mais les singes se révélèrent d’une force colossale au regard de leur petite taille. La fille ne touchait pas le sol, trimbalée comme un fétu de paille. Le groupe de mâles s’engouffra avec sa prise dans une des grottes principales, située au bas de la falaise. De longs boyaux partaient dans tous les sens, à la manière d’un fourmilière.
Les macaques posèrent la fille au centre d’une grande cavité, à laquelle les différents trous creusés dans la roche apportait une lumière suffisante, du moins par grand soleil. Zorna resta prostrée, attendant de manière fatidique la suite des événements qui ne tarda pas.
Les petits singes se révélèrent beaucoup plus délurés que ne l’était le gorille. Ils formèrent un cercle autour de leur prisonnière et se mirent à la tripoter sans plus d’égard. Une foule de pattes velues explorèrent le corps décharné de Zorna, ne laissant aucune partie intacte. Visiblement son aspect ne les rebutait pas.
Ses formes, pourtant réduites, furent assaillies. Ses seins et ses fesses semblaient particulièrement les attirer. Certains tiraillaient ses mamelles dans tous les sens tandis que d’autres prenaient possession de son fessier qu’ils pinçaient ou pelotaient avec nervosité, la fille tressaillait sous ces gestes saccadés.
Certains des quadrumanes se masturbaient assis sur leur postérieur. Leurs pénis émergeaient de leur toison brune. Ils étaient pour la plupart fins mais fort longs. Un liquide séminal abondant s’échappait  du sexe des  plus excités.
Zorna, qui était jusque là allongée en chien de fusil dans une attitude  protectrice, les bras repliés contre son corps, fut retournée et placée à quatre pattes. Elle essaya de résister mais la force des assaillants l’en dissuada ; Elle fut fermement maintenue dans cette position tandis qu’un premier macaque saisissait l’opportunité pour enfiler son membre dans le sexe de la fille.
Son engin était tellement lubrifié que l’intromission se passa sans aucune gène. Le coït dura peu,  le singe éjacula après quelques secondes seulement, la gratifiant au passage de quelques griffures sur les reins. Aussitôt un autre singe prit la place vacante, puis un autre. Les animaux étaient tellement excités que la plupart éclaboussait les fesses de Zorna sans même la pénétrer. La fille, qui avait abandonné toute résistance dégoulinait littéralement de sperme.
 Soudain le sexe d’un des macaques apparut dans son champ de vision. Le singe frotta son gland contre les lèvres de la pauvre fille qui serra instinctivement les mâchoires. Elle reçut une giclée de foutre sur le visage dans l’instant qui suivit. Un deuxième animal, plus vicieux insinua un puis deux doigts dans sa bouche. Les ongles du primate étaient acérés et Zorna ne prit pas le risque de résister.
Bouche béante elle dut accueillir la queue simiesque qui se répandit dans sa gorge, libérant une quantité impressionnante de foutre. La captive régurgita ce qu’elle put dans un hoquet nerveux. Les singes prirent goût à cette nouvelle fantaisie, imitant leurs compagnons précédents. Zorna subit ainsi une dizaine d’assauts buccaux tandis que son entrecuisse servait toujours de réceptacle à la lubricité du plus grand nombre.
Ce tourbillon échevelé semblait ne jamais devoir finir, car les macaques, s’ils ne se révélaient pas consistants dans l’étreinte,  retrouvaient par contre rapidement de la vigueur. Quand enfin leur manège stoppa, Zorna, au bord du malaise, s’effondra nerveusement et sombra lentement dans un sommeil agité.
Cette deuxième expérience dans la cité des singes lui avait été encore plus pénible à vivre que son asservissement au grand gorille. Sa soumission à ses nouveaux maîtres ne faisait que commencer.
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