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En pleine lucarne

Chapitre 2

Orgie / Partouze
J’ai à présent le rouge aux joues, les mains qui tremblent, le cœur qui bat la chamade et la chair de poule qui parcourt mon corps. Je ne trouve pas de solution pour me calmer.
Je fais face à ce membre énorme, je suis pris entre deux sentiments celui de franchir le cap de l’infidélité ou celui d’exclure cet homme. Quand soudain, je suis sorti de mes pensées par la voix de Joachim. Il m’offre une multitude de compliments, trouve que j’ai des seins bien dessinés, un cul d’enfer et une peau certainement très douce.
Je lui réponds qu’il ne peut pas savoir, que je suis habillée. Il sourit, je lui renvoie, je me rapproche un peu de lui, mon esprit contrôle mes gestes et voilà que ma main effleure dans un premier temps son torse que je parcours de haut en bas.Je joue avec les poils de son torse, mais je ne touche pas son sexe qui se tend de plus en plus. Joachim quant à lui, me caresse la joue droite, fait descendre sa main le long de mon épaule sans pour autant me dévêtir. Il attend sans doute le déclic, l’instant qui montrera que je suis d’accord pour céder à ses avances.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas reçu autant de tendresse. Je continue mon petit jeu tactile, je continue de monter et descendre mes doigts sur son torse. Mais plutôt que de retenir mes gestes, j’effleure légèrement son sexe, le muscle de ce dernier réagit en faisant des soubresauts et bute sur ma main.
Celle-ci s’ouvre, et je commence à le masturber. Elle a des difficultés à se fermer, le pieu est imposant, il doit faire vingt-centimètres. Mon mouvement est maladroit, à vrai dire, je tremble un peu, je stresse, j’ai peur d’être prise en flagrant délit, mais mon esprit continue de m’inciter à franchir le pas de l’interdit.
Je reprends donc la gymnastique avec ma main, dans le même temps, Joachim a fait tomber les bretelles de ma robe et l’a enlevé. Je suis à présent en sous-vêtements face à lui. Je sens aussi que mes seins pointent fièrement. Il m’embrasse dans le cou, caresse mon dos nu ou mon ventre tout dépend du moment, empoigne quelque fois ce fameux cul d’enfer qui m’appartient.
Je suis complètement à sa merci, maintenant mon corps réagi, mon esprit a libéré en moi ce besoin de franchir le pas. De son côté, Loïc qui était à présent spectateur de la scène nous a rejoints. Il est derrière moi, fait comme son ami, m’offre des caresses d’une douceur incroyable.
Subitement, il fait tomber mon soutien-gorge. Je suis seins nus face à Joachim qui fait un sifflement d’admiration, puis les soupèsent. Maintenant, il me lèche, aspire mes tétons, me les pince, je commence à ressentir dans le bas de mon ventre une sensation délicieuse.
Loïc me fait asseoir sur le canapé, ce qui fait que je suis au milieu des deux hommes. Pendant que Joachim continue de s’occuper de ma poitrine, son ami est descendu entre mes jambes, les a soulevées, a enlevé mon string, puis à plonger la tête la première en direction de mon puits d’amour.
Il savoure mon nectar avec passion. Il joue avec mon clitoris, le mordille un peu ce qui me provoque des arcs électriques dans le bas de mon ventre. Il tente même une approche sur mon petit trou que je ne refuse pas.
Cette action m’excite énormément, je grogne de plaisir et voilà que je gicle quelques jets de cyprine sur le visage de mon partenaire. Les deux hommes montent à présent sur le canapé, j’ai leur membre de chaque côté, je leur offre alors une fellation. Ils savourent avec passion ce petit cadeau.
J’ai beaucoup de difficultés à avaler Joachim, il est tellement gros que j’en ai mal à la mâchoire. Mais, j’essaye tout de même de faire des efforts. Loïc est un peu plus bestial dans ses gestes, puisqu’il me prend la tête entre ses mains, et me baise la bouche sans concession. Il me soulève un peu, se positionne dessous moi, puis je m’empale alors sur son sexe.
Cette première pénétration me fait crier de plaisir. Je dois tout de même faire attention, à ne pas éveiller des éventuels soupçons. Je commence alors à monter et descendre sur son pieu, dans le même temps son ami me caresse la poitrine tandis que je lui fais toujours une fellation.
Les deux compères changent de place. J’ai un peu peur de me faire pénétrer par ce gros membre. J’y vais donc avec plus de prudence. Le sexe de Joachim ouvre mon vagin de façon béante, s’enfonce petit à petit et je ne ressens aucune douleur bien au contraire.
J’ai l’impression d’avoir une boule de feu de plaisir entre mes cuisses. Passé la phase de douceur, le voilà qu’il se démène en moi comme un fou furieux. Mes fesses claquent vulgairement le bas de son torse musclé. Il me positionne alors à quatre pattes sur le canapé.
Plonge une nouvelle fois sa tête entre mes deux globes, et savoure une fois de plus le jus de ma jouissance. Cette douceur subite après un petit moment de bestialité est plutôt agréable. Il se met à présent à genou, présente son sexe à l’entrée de mon vagin pour me pénétrer en levrette tandis que Loïc s’est mis devant moi afin que je le suce et aussi disons-le clairement pour éviter de crier trop fort.
Car effectivement dans cette position, je sens très bien le membre imposant de Joachim buter contre le fond de ma vulve. A présent, c’est mon deuxième amant qui vient en moi. Son côté bestial tranche totalement avec la variation des mouvements que m’offre son ami. Ce qui ne me dérange pas pour autant. D’ailleurs, dans cette position, il ne met pas longtemps à venir en moi. Il me remplit complètement.
Sauf que je suis surprise, car Joachim, sur un ton un peu agressif lui ordonne de me nettoyer, il ne veut pas se baigner dans le sperme de son ami. Ce dernier exécute. Prend des serviettes en papier pour effectuer son travail puis s’assoupit sur un coin du canapé.
Son compagnon revient vers moi, s’excuse un peu de ce comportement, puis me pénètre à nouveau en levrette, mais pas bien longtemps, puisqu’il me met sur le dos et me prend en missionnaire. Quelques fois, pour aller au plus profond de mon vagin, il soulève mes jambes, les met sur ses épaules et me pilonne avec vigueur.
Mais il y a une sensation qui me trouble particulièrement, puisqu’il me lèche régulièrement les seins dans cette position. Il doit être fan des poitrines. Je savoure cet instant de douceur, et de plaisir à chaque seconde. Ça fait maintenant presque une heure que je trompe mon époux avec deux hommes et franchement, ce sentiment d’adrénaline est extraordinaire.
Bref, je sors brièvement de mes pensées, pour revenir au présent. Joachim continue de me prendre avec beaucoup d’envie, je sens son bassin faire des mouvements saccadés, puis il s’enfonce d’un coup au fond de moi. Je sens quatre jets de sperme heurter le fond de ma vulve.
Dans le même temps, je ne retiens pas mon cri de jouissance. Nous essayons de retrouver nos esprits. Au bout de dix minutes, je laisse mes compagnons dormir sur le canapé. Je monte les marches de l’escalier, vais dans la douche afin de me rafraîchir, puis part en direction de mon lit.
En sortant de la salle de bains, je tombe nez à nez avec Sarah. Elle a un sourire énorme. Me regarde de bas en haut, et me dit qu’à présent, je fais une jolie coquine et que ça promet pour la soirée dans la maison de Marco, le jeune homme rencontré dans le bar.
Durant la nuit, je me suis réveillé deux ou trois fois afin de profiter de mes deux compagnons du soir. Puis, le matin aux alentours de dix heures, j’entends des cris. Je reconnais la voix de Ludovic, mais celles aussi de Loïc et Joachim. Je descends le plus rapidement possible. Explique brièvement à mon époux leur situation, mais quelque chose m’interpelle, puisque le salon est propre, les détritus ne jonchent plus le sol, la table est nettoyée. Je demande qui a effectué cette tâche, mes deux amants répondent en cœur que c’est eux. Je les remercie par une accolade chaleureuse.
Étant en nuisette, mes seins pointent fièrement à ce contact. Mais il faut que je me maitrise. Sarah descend à son tour suite à tout ce vacarme.
Ludovic lui demande des explications sur les deux types présents dans son salon, et elle lui répond la même chose que j’ai dite avant. Que ces deux messieurs avaient besoin d’un toit, de chaleur humaine, et aussi de se poser au calme. Et que nous avons pris la décision de les faire venir à la maison. Mon époux accepte difficilement la situation. Nous buvons malgré tout un café autour de la table de cuisine. Mes deux amants ont le sourire aux lèvres. Quelques fois, lorsque mon époux tourne la tête, ou se lève, je baisse le décolleté de ma nuisette afin de leur montrer un sein.
Je suis une véritable coquine. L’adrénaline vient de débloquer en moi quelque chose d’incroyable.
Ça promet pour la soirée de samedi chez Marco, je me demande même si je peux inviter mes deux amants, eux aussi ont le droit de profiter de la vie.
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