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Le plus beau cadeau de ma fille

Chapitre 1

Inceste
J’étais célibataire. Je me suis marié sur le tard, comme on dit, à trente quatre ans.Ma femme, de deux ans ma cadette, divorcée, avait connu un premier mariage décevant. De cette première union était né un fils qui a vécu avec nous, jusqu’à son quinzième anniversaire, avant de choisir d’aller chez son père…Deux ans après notre mariage est née ma fille, Agnès. Dans l’année, elle est venue au monde quinze jours avant moi soit le quinze août et moi le trente...Cette fille, je crois que nous l’avons élevée et éduquée en parents responsables… Au fur et à mesure qu’elle grandissait, nous lui avons appris l’honnêteté, la politesse, le respect, les valeurs de bonne morale, les choses de la vie…Entre nous, dans la maison, nous ne nous cachions pas quand nous étions nus, par exemple, pour aller dans la salle de bains … Les portes des pièces intérieures de la maison n’étaient jamais fermées à clef…Dès son plus jeune âge, ma fille qui prenait généralement sa douche avec sa mère, se lavait aussi avec moi, quand sa maman avait ses règles entre autre, la vue du sang risquant de la perturber…Jamais personne n’a eu de pensées lubriques ou d’attitudes équivoques sur cette façon de vivre… Avec l’âge, vers sept ou huit ans, Agnès devenant pudique, nous la laissions faire seule sa toilette sans jamais nous transformer en voyeurs…Dès qu’elle sut lire et comprendre, nous lui avons offerts les manuels d’éducation sexuelle correspondants à son âge… Dans la mesure du possible, nous répondions à toutes ses questions sur ce sujet…Agnès étant née un jour férié, nous souhaitions nos anniversaires ensemble ce jour-là…C’est ainsi, pour ses dix huit ans, nous nous étions retrouvés une vingtaine de membres de la famille et d’amis à fêter cet événement qui, cette année-là, était un peu particulier: Agnès devenait majeure…
Quinze jours plus tard, la veille de mes cinquante quatre ans, ma fille et moi, nous étions seuls à la maison... Ma femme passait la nuit chez sa mère souffrante…Après la toilette du soir, ma fille en peignoir, moi en pantalon de survêtement et tee-shirt, nous étions installés dans le salon. Nous regardions la télévision, elle dans un fauteuil, moi sur le canapé…Le programme de la soirée étant particulièrement ennuyeux, nous discutions banalement de choses et d’autres, la météo, les actualités que nous venions de voir, etc. …A mesure que le temps passait, je voyais que ma fille avait une attitude “bizarre”… Elle répondait en retard, changeait de sujet, se troublait et rougissait, bégayait parfois… Je la sentais de plus en plus nerveuse…“- Agnès, tu me cache quelque chose,... tu as quelque chose à me dire et tu n’oses pas…— Oui, papa, mais ça m’est très difficile…— Voyons, il n’y a jamais eu de gène ou de secrets entre nous…— Non, mais ce soir, c’est très particulier…— Je vais t’aider… Tu as un chéri? Tu es enceinte? Tu voudrais acheter quelques choses et tu n’as pas assez d’argent?… C’est quoi qui te chagrine?…— Ce n’est rien de tout ça… Je n’ai pas de copain et tu ne seras pas encore grand-père… Le jour de mon anniversaire, j’ai reçu assez d’argent pour me faire un petit plaisir…— C’est si grave que ça que tu ne peux pas me le dire?….”Se levant, elle vient s’asseoir près de moi, m’attrape par le cou, me fait une bise sur chaque joue et me dit:
“- Papa, ce soir je voudrais te faire un cadeau personnel et exceptionnel...— C’est demain mon anniversaire, tu ne peux pas attendre que ta maman soit là?— Non, justement, je ne veux pas que maman le sache… ça ne lui ferait sûrement pas plaisir du tout…— Tu sais bien qu’avec ta mère nous nous disons tout, nous partageons tout…— Pas cette fois, c’est un cadeau particulier et très très personnel et je suis sûre que tu en garderas le secret…— Qu’a-t-il de si particulier et de si personnel?... Tu es bien mystérieuse…— C’est un cadeau intime, me dit-elle en rougissant.— Qu’est-ce que tu appelles un cadeau intime? Ce n’est pas une boite de préservatifs? -dis-je en plaisantant…— Papa, je veux t’offrir ma virginité… Je veux que tu me dépucelles…”Quelle surprise!!! Heureusement que j’étais assis, sinon j’en serais tombé sur le cul…“- Ma fille chérie, tu te rends compte de ce que tu dis?— Oui papa… J’y pense depuis longtemps… J’ai longuement réfléchi… Il n’y a qu’à toi que j’ai confiance pour ça…— Je te remercie pour ta confiance… Mais pour ce que tu me demandes, n’oublie pas que je suis ton père… Ce sont des choses qui ne se font pas entre père et fille…— Pourquoi? C’est la morale? L’éducation? Les normes de la bonne société?… Qu’est ce qui nous empêche? Les hommes et les femmes ont des organes sexuels différents qui sont faits pour s’emboîter l’un dans l’autre… Penses seulement que je suis une femme et toi un homme… C’est tout…— Avoir des rapports sexuels avec une personne, il faut avoir des sentiments d’amour, de l’attirance l’un pour l’autre…— Pas toujours… Je suis persuadée que toi, mon père, tu as fait l’amour à des filles ou à des femmes rien que pour le plaisir… Je suis sûre que tu n’as pas toujours été amoureux chaque fois que tu as baisé…— Tu as raison… Mais je ne comprends pas pourquoi tu me demandes de te déflorer… Il y a tant de garçons qui aimeraient le faire…— Je n’ai pas confiance aux garçons… Ils sont trop pressés, brutaux et fiers de leur virilité… C’est la pornographie qui leur fait voir comment s’accoupler car ils ne connaissent pas d’autres exemples…— A part tes lectures et quelques bons documentaires, tu en connais d’autres exemples toi?— Oui… Quelques fois je vous ai vu faire avec maman…”A cette révélation, je reste sans voix, bouche bée, fixant ma fille avec plein de points d’interrogation dans ma tête…— Co… co… comment… tu nous as vu faire? - bégayais-je.— Je ne dormais pas toujours quand j’entendais votre lit grincer en cadence ou maman gémir quand tu lui donnais du plaisir… Je me levais et doucement j’ouvrais la porte de votre chambre juste ce qu’il fallait pour voir… Tellement occupés, vous ne vous êtes jamais aperçus de ça… Quand vous aviez fini, je revenais au lit toute excitée de ce que j’avais vu mais aussi par le risque de me faire surprendre… Je passais de longs moments à me caresser, me masturber, à me faire jouir en rêvant qu’un jour ce serait moi qui serais à la place de maman…— Je suis de plus en plus surpris de ta demande et de tes révélations… Je pense toujours que ce n’est pas à moi, ton père, à te faire l’amour pour la première fois…— Voyons, papa, nous sommes à la fin du vingtième siècle… Des femmes se sont battues pour se libérer de la tutelle des hommes… De ton temps, vous n’aviez que la “descente du train en marche” ou la capote anglaise pour éviter la grossesse… Je fais partie de la génération de la pilule et de l’interruption de grossesse… J’ai un corps qui peut me donner du plaisir… Je veux en disposer quand je veux, comme je veux et avec qui je veux… Avoir du plaisir, ce n’est pas souffrir… Presque toutes mes copines, qui ont “franchi le pas”, ont eu mal… Isabelle, que tu connais, a souffert pendant plus de deux jours… Maintenant elle ne peut plus… Son vaginisme lui interdit toute pénétration… Même pas un doigt… Alors, papa chéri, tu veux bien me faire plaisir?… “Que répondre à cela? Jamais je n’aurais imaginé que ma fille me mettrait dans une situation aussi embarrassante… Mon cerveau bouillonnait pour trouver une solution et éviter cet inceste que je ne désirais pas…N’ayant pas d’autres arguments, je m’entends dire:“- Tu sais, j’ai une verge tellement grosse que je ne suis pas sûr quelle rentrera sans te faire très mal…— Il y a longtemps que je l’ai vue ta bite… Rappelle-toi quand j’étais petite et que nous prenions la douche ensemble… C’est vrai que jamais elle n’était raide… Mais depuis, je l’ai vue à l’œuvre… Elle rentre dans maman facilement et ça lui fait plaisir… Nous, les femmes quand nous accouchons, c’est par la que sort le bébé… Un bébé, c’est bien plus gros que la plus grosse bite du monde…— Ta maman a fait deux enfants… Elle a l’habitude de me recevoir en elle… Avec l’âge, son vagin est moins serré …— Papa, ce n’est pas la peine d’essayer de me faire changer d’avis… Maintenant, je suis majeure et responsable de mes actes… Tu ne pourras pas être accusé de viol… C’est moi qui te demande, je veux que ce soit toi! Et ce sera toi!”…Que faire devant un tel entêtement? Que dire?Je me lève… Ce mouvement libère ma queue que j’avais réussi à “coincer” entre mes cuisses pour cacher mon érection naissante…Apercevant la tension du tissu de mon pantalon, ma fille me dit:“- Tu vois que ça te fait effet… Tu ne veux pas le reconnaître, mais tu as envie de me baiser…— Tais-toi! …Viens… Allons dans ta chambre…”En passant, je vais prendre un préservatif dans le tiroir de ma table de nuit. Voyant cela, ma fille me dit:“- Ce n’est pas la peine… Il y a longtemps que je prends la pilule… par précaution…— Il y a donc longtemps que tu avais cette idée en tête?— Un peu… Mais ça ne m’empêche pas de sortir avec des garçons… Quand on joue à “touche pipi”, je leur laisse frotter le bout de leur queue sur mon clitoris, sans les laisser rentrer dedans… Excités, certains n’arrivent pas à se retenir, alors ils déchargent devant la porte… C’est par précaution que je prends la pilule…— Tu es prête à faire le grand saut… A devenir une femme avec moi, ton père…— Oui je suis prête…”
Disant cela, elle déboutonne et ouvre son peignoir…Je ne peux qu’admirer ma fille dans toute sa nudité… Elle a un corps splendide avec les courbes et les rondeurs qu’il faut, là où il faut… Mon regard se fixe en haut de ses cuisses ou sa blonde toison est déjà toute trempée… Puis je vois ses deux jeunes seins, bien ronds, bien fermes, leurs mamelons, bien plantés au milieu de leurs aréoles roses, pointant fièrement vers mon regard… Ils semblent m’inviter à les caresser… Je ne peux résister d’avantage… Prenant ma fille dans les bras, je la serre contre moi, son dos sur ma poitrine et mon ventre… Malgré le pantalon, je sens que ma bite a trouvé le chemin entre ses fesses et vient s’y blottir… Passant mes bras par dessus ses épaules, je pose mes mains sur cette poitrine que j’ai vu se développer au fil des années et qui m’est pourtant si inconnue… Tout en la massant, je fais rouler la pointe de ses seins entre mes doigts… Ma bouche n’arrête pas de lui déposer de petits baisers dans son cou, sur ses épaules…Agnès commence à faire onduler ses fesses pour mieux sentir la matraque qu’est devenu mon pieu charnu…La retournant, nous nous faisons face… Je ne vois plus ma fille… Je vois une jeune femme qui déborde d’amour charnel pour l’homme qui est devant elle… J’ôte mon tee-shirt… Doucement, je l’attire dans mes bras… Contre mon torse nu… poitrine contre poitrine… Ma bouche se colle à la sienne pour un long baiser voluptueux…Doucement, elle passe ses doigts entre mes hanches et l’élastique qui retient mon pantalon de survêtement… Timidement, elle commence à le faire descendre en se baissant… Quand ma queue se trouve enfin à l’air libre, d’un saut elle se plaque contre mon ventre tellement elle est raide. En passant, elle frôle le menton de ma fille qui ne peut détacher son regard de l’engin et dire, d’un ton à la fois admiratif et craintif:“- C’est vrai qu’elle est grosse…”

Elle ne peut s’empêcher de déposer un baiser humide sur le bout du gland sensible et violacé par sa tension interne…Le vêtement enfin au sol, craintive, à deux mains, ma fille s’empare de ma verge. Ses petits baisers se transforment en véritables léchages… Sa langue caressante parcourt cette boule si sensible que j’en ai de véritables décharges électriques dans tout le bas ventre… Telle une enfant suçant et léchant sa glace, elle savoure ce plaisir qui l’excite de plus en plus. Je ne suis pas en reste… Je bande aussi de plus en plus… Ouvrant tout grand sa bouche, Agnès ne peut faire franchir la “barrière” de ses dents à cette queue surdimensionnée…Me baissant, je prends ma fille sous les bras, la fais lever pour la faire allonger sur le lit…Lui glissant un oreiller sous les reins, à genou, je viens prendre place entre ses cuisses largement écartées…Sa chatte coule tellement que son triangle pubien et velu est tout trempé… Je ne peux résister à venir goûter ce nectar nouveau et, d’un coup de langue, essuyer ses lèvres roses et gonflées… Au passage, je sens son petit bouton dur comme un caillou. Mon pouce fébrile, vient le masser délicatement tout en essayant, de temps en temps, d’introduire un autre doigt dans cette grotte encore fermée.“- Non *!… Pas avec les doigts"… Me dit ma fille dans un souffle et en me repoussant d’une main...Alors, prenant ma queue en main pour mieux la guider, demandant à Agnès de bien tenir ses lèvres intimes écartées, j’en pose le bout sur cette membrane que j’aperçois. tendue comme la peau d’un tambour…Ma fille ferme les yeux, serre les dents, respire doucement, attend dans l’appréhension cette déchirure qui fera d’elle une femme…Je pousse… ça résiste… l’air siffle entre les dents d’Agnès… Ma queue se tord…Le haut du corps relevé par mes bras tendus, je peux voir la progression de ma pénétration… Millimètre par millimètre, je vois mon gland s’enfoncer dans ces jeunes chairs… Je sens l’hymen qui résiste toujours… Ma fille serre d’avantage les dents…Soudain, c’est la déchirure!… D’un coup je m’enfonce et viens butter au fond du vagin… Je sens ma verge si serrée que ça en est presque douloureux…Agnès pousse un petit cri de douleur… Tout son corps se raidit… Passant ses jambes derrière mes cuisses, elle exerce une pression qui me fait comprendre de ne pas bouger…Les secondes passent… Enfin, je sens ma fille se détendre… La pression sur mon chibre se relâche… Ouvrant les yeux, Agnès me regarde en m’offrant l’un de ses plus beau sourire…“- Tu vois papa que nous y sommes arrivés…— Tu n’as pas mal?— Un peu, quand ça a craqué… Maintenant ça passe… Je me sens bien… Je te sens bien… Tu me remplis bien…— Le contraire m’aurait étonné…— Il faut finir ce qu’on a commencé… vas-y… Papa chéri, fais-moi l’amour… donne-moi du plaisir… fais-moi jouir…”Disant cela, elle desserre ses jambes, pose ses pieds à côté de mes genoux et fait faire quelques montées et descentes à son bassin…Par cette invitation muette, je commence, très lentement, mes mouvements de “pistonnage”… D’un coup d’œil vers mon bas ventre, je peux apercevoir mon membre, un peu sanguinolent, coulisser de plus en plus à l’aise dans cet antre tout chaud et bien glissant…Ma fille ne tarde pas à râler de plaisir… Poussant de petits cris désordonnés…“- Que c’est bon… Ouiiii, papa chéri, tu me donnes beaucoup de plaisir…. Tu me baises bien…. Encore! Encore, plus vite…” me dit-elle en ondulant du bassin…J’augmente la cadence de mes mouvements… La respiration d’Agnès suit crescendo… Ses mots sont de moins en moins compréhensibles… Son vagin, bien détendu, est de plus en plus glissant malgré ma queue qui me semble prendre de plus en plus de volume… A chaque enfoncée, je sens mon gland butter contre la porte de son utérus…Soudain elle se raidit, se cambre, tendue comme un arc, après une longue inspiration entre ses dents, elle crie sa jouissance… Elle hurle presque… Sa tête est secouée par des rotations rapides, se soulevant pour voir sa vulve empalée par mon pieu de chair… Son orgasme n’en finit pas…Simultanément, le long de ma bite, les palpitations de son vagin déclenchent une puissante éjaculation en longs jets de sperme épais… J’ai l’impression de me vider de toute ma semence tant les spasmes sont nombreux et longs…
Quand enfin le calme revient, je me laisse aller sur ma fille et, pour la soulager de mon poids, nous basculons sur le côté, enlacés dans les bras l’un de l’autre, nos sexes toujours “emboîtés”, muets de reconnaissance réciproque”…Au bout d’un moment…“- Merci papa… Tu vois que nous y sommes arrivés… Je n’ai pas eu si mal que ça… Je n’aurais jamais pensé que c’était aussi bon…. aussi fort….”Ne trouvant rien à répondre, je serrais ma fille encore plus fort dans mes bras et l’embrassais encore plus passionnément… J’en avais fait une femme…Alors, je crois bien avoir versé quelques larmes….
Petikokin
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