Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 1 Commentaire

de plus en plus

Chapitre 6

Zoophilie
Un peu de route de nouveau, Florence livre desrécits édulcorés a maman dans la voiture, tout en laissant entendre qu’il a bien pu se passer quelque chose avec Gaëtan, dont les parents sont assez sympas..., et plutôt du genre à avoir leur propre propriété de vacance aussi.... Oui ce serait bien de reprendre le stage de cheval dès demain. Mais Florence est fatiguée, et somnole souvent. A peine rentrée d’ailleurs elle tombe sur son lit dans sa chambre et s’endort. Dans ses demi-sommeils elle pense à sa soirée, au chien. Daemon. Beau chien, puissant, impressionnant et un peu effrayant... un danois, blanc et noir, tacheté. Au réveil elle a l’idée de sortir son ordinateur, branche sa petite clé qui permet une liaison internet, et elle va chercher des images, des bouts de vidéos.... il y a de tout, et sur certaines on devine une vraie complicité entre la femme et son partenaire animal, son amant chien presque, cette belle jeune femme brune qui se donne seule devant sa web cam, à son chien, qui lui parle l’encourage, jouit....A mesure que le temps passe, son excitation croît, son impatience aussi, mais elle se retient de se soulager par une bonne masturbation, .... et il faut faire le dîner, sacrifier au traditionnel repas familial du soir,... c’est interminable, les discussions l’agacent, elle se tairait bien mais elle ne le peut pas, ils ne la laissent même pas se taire.... Elle annonce qu’il y a un autre anniversaire dans une dizaine de jours, oui et elle aimerait bien fêter le sien pendant les vacances. « Mais enfin tu sais bien... on ne fête pas un anniversaire en avance... ». Oui elle sait bien.... déjà pour ses dix huit ans elle l’avait regretté. « C’est où le prochain ? », c’est près de la mer, du côté de Cabourg. Bon c’est toujours ça de gagné, sa mère pourra l’emmener, pour le retour, elle verra. Fin du repas, vaisselle.... Tout est rangé, du coup elle traîne un peu, regarde derrière elle avant de sortir, revient ranger les chaises.... il faut y aller.... La voilà qui appréhende. Demain elle ne sera plus la même, ... mais il s’est déjà passé tant de choses.....Elle avance... se rapproche de la vieille étable, rallonge un peu le chemin..., fait un tour supplémentaire.... Elle est toute excitée, et effrayée, le ventre en feu et creusé par l’inquiétude.... Il faut y aller.... Enfin rien ne l’y oblige mais..., elle y tient quand même... Elle est devant la porte, et ouvre, entre, referme la porte, se retourne, Daemon est là, attaché, mais il n’y a personne. Elle fait une caresse au chien, puis la porte s’ouvre, c’est la mère de Lise.« Bonsoir Florence, tu vas bien ? », comme si de rien n’était... comme Florence hoche la tête, elle poursuit : « un peu inquiète, c’est normal » comme s’il s’agissait de passer ses galops. Elle s’approche, et elle aussi détaille Florence, comme si elle ne l’avait jamais vue, elle aussi soupèse les seins, regarde les jambes, l’entre cuisses, Florence se sent déjà nue sous ce regard de femme sure d’elle même.... Florence redevient la petite fille que cette femme ramenait des leçons d’équitation. Elle approche et défait un bouton de la chemise de Florence, puis un second, et encore un, jusqu’à l’ouvrir entièrement, laissant apparaître la soutien gorge, et le dessus des seins de la jeune femme qui se laisse faire. Elle en reste là. Ses doigts effleure la peau bien lisse des seins, glissent sur les bonnets devant les tétons : "Tu es bien belle et bien faite". Florence n’avait pas pensé à ça, il y a une femme qui voudra peut-être profiter d’elle aussi....
Les femmes ne l’ont jamais tentée....
« Tu m’appelleras Anne, tu me tutoieras » .... elle la prend par la main : « Viens voir Daemon, je suis chargée de te le présenter, de t’aider, de te préparer à la saillie »,.... ça y est, ça commence. « Tu peux partir encore » ; « Non, je reste, j’y ai tellement pensé.... ». Anne conduit Florence près du chien : « Tu as fait sa connaissance, il t’a léchée », oui, après qu’elle a été baisée, le sperme coulait elle s’est approchée, et ... ; « Tu ne devrais pas parler comme ça, tu n’as pas été baisée, tu as été prise. Pourquoi être vulgaire, tu en prendras l’habitude, cela te fera du tort. Bon, si toute excitée pendant qu’un homme te prend tu lui crie ‘ baise-moi salaud’, ou bien ‘encule-moi’, c’est autre chose, mais dans une conversation, évite ces mots-là ». « Approche-toi, ouvre tes cuisses, qu’il te sente. Voilà. S’il veut lécher ton jean entre tes cuisses laisse-le: ce soir il a tous les droits sur toi. Surtout tu ne te mets pas à quatre pattes tant que le moment n’est pas venu, il faudrait l’arrêter, et il ne comprendrait plus quand tu lui serait offerte.... Familiarise-toi avec lui.» Et le jeu commence, Anne guide Florence qui laisse le chien lui lécher le visage, la bouche au passage, elle conduit sa main vers les flancs de Daemon, puis légèrement en-dessous... « Continue toute seule ». Florence laisse sa main hésiter un peu le long du flanc, tout près. Puis elle se décide, prend l’étui de fourrure dans sa main, sent le sexe du chien, le caresse.... « Branle-le »... cette fois-ci ça commence pour de bon.... Anne montre l’exemple, et alors que le membre du chien sort de son étui elle se penche, s’agenouille, et presque sur le dos glisse sa tête sous le chien pour le sentir, laisser glisser ses lèvres sur le sexe qui gonfle, sa langue.... Florence reprend le sexe du chien, le branle. Presque tremblante elle touche la partie turgescente, et porte ses doigts à sa bouche.... « Il n’est pas nécessaire d’aller plus loin. Tu vas passer la première. Mais j’y aurai droit aussi, il est très endurant. Laisse-moi te préparer. ». Oui, on y est....
Anne se met un collier, semblable à celui de Daemon, son nom est dessus, dans les mêmes caractères que celui de Daemon, puis en met un autre au cou de Florence, qui porte aussi son prénom. ». Elle commence à se déshabiller, et se met nue, ne portant que le collier... Elle finit de déshabiller Florence, termine par la petite culotte, se met à genoux pour la retirer, s’approche de la fourrure, la respire pose ses mains sur les hanches de la jeune femme qui ferme les yeux, tendue, cette fois... les lèvres d’Anne se collent sur la fourrure, et la langue cherche la fente et remonte jusqu’au clitoris. Les lèvres le saisissent, le sucent, Florence frémit, elle aime ça.... elle sent son ventre qui fond... Anne se relève, écarte les jambes pousse de façon provocante, pousse le bassin et sa fente épilée vers l’avant : « A ton tour ». Bien sûr, il n’y a qu’à s’exécuter, avec une certaine réticence... vite vaincue dans l’excitation de ce qui doit venir.... elle embrasse cette fente et ses lèvres, si douces, elle lèche, et goûte l’intérieur des lèvres qui fond tout autant que le sien.... Elle se relève, est attrapée par Anne qui l’embrasse sur la bouche et entreprend de la caresser, dont les doigts prennent possession de l’entre-cuisses, de la fente, de la chatte, la fouillent, la travaillent, ils écrasent son clitoris, le pincent... « Elle va me faire jouir !!!... » et à ce moment là la porte s’ouvre et quatre hommes apparaissent, ils portent des loups.
L’intensité de la lumière diminue, l’un deux détache la laisse de Daemon tandis qu’Anne attache une laisse au collier de Florence. Elle la conduit à s’agenouiller sur une couverture dont une partie recouvre des bottes de paille sur lesquelles Florence, cambrée, laisse reposer une partie de son corps, les fesses relevées, la vulve qui vient d’être explorée, béante, offerte, dont les regards des hommes se délectent. Oui une belle croupe. « Ecarte un peu les jambes »... ça va si vite.... Anne prend la laisse du chien et amène Daemon derrière la croupe ; le chien respire sur la vulve, il lèche, le corps proposé au chien frémit, elle pensait que les hommes l’auraient baisée d’abord..., le chien la lèche encore. MMM Elle se crispe soudain « il pose ses pattes sur mon dos.... », il se redresse, approche, coince le corps de Florence entre ses pattes antérieures, elle laisse tomber sa tête sur la paille, ferme les yeux, se crispe encore : « OOOhhhh »... La saillie est commencée.Il pilonne, cherche, cogne les fesses avec son ventre, son sexe à peine sorti, à peine durci, « il va jamais y arriver », ... on commence à entendre des gémissements et puis soudain « HhhAAAAaaaa... ! », d’un coup, il est entré comme une brute et l’a remplie de son sexe qui gonfle... elle crie, des cris retenus, plus ou moins forts, le souffle haché, rythmé par les coups de reins de Daemon, des cris aigus, qui montent à mesure que le chien la pilonne de plus en plus frénétique, il force, il la chevauche, égratigne ses cuisses en cherchant un appui ; elle crie.... de plus en plus fort, de plus en plus aigu, le nœud, il est en elle, elle est collée au chien, sent le nœud qui continue de gonfler, chaud, il prend toute la place, elle est remplie, il vibre, il pulse, elle baisse la tête, crie, lève ses épaules, elle jouit comme une bête quand il commence à décharger, une explosion de plaisir qui la traverse sans fin, des orgasmes à la chaîne, pendant qu’elle sent le sperme chaud du chien qui remplit son con, le gonfle, il n’en finit pas, il reste, la tête contre la sienne, haletant, gueule ouverte, balançant de la bave de tous les côtés, elle en est couverte.... Elle attend, elle n’est plus qu’une femelle, elle jouit tant que le nœud vibre au creux de son con. Il se dégonfle peu à peu, et d’un coup le membre du chien jaillit hors d’elle. Et un flot de sperme coule le long de ses cuisses, et son con continue de vibrer, et sa tête résonne de ses orgasmes, elle ne dit rien, elle n’a pas de mot. Elle n’a pas une grande expérience des orgasmes, mais ce qu’elle vient de connaître est surement insurpassable. Elle se laisse presque tomber, assise adossée à la paille tandis que le sperme continue de couler. Les hommes la regardent. Comme elle remonte les genoux pour se détendre elle prend conscience qu’elle leur offre une vue des plus érotiques sur sa vulve palpitante et le sperme qui s’égoutte... elle la leur offre.... Ils la laissent. Et elle voit Anne qui s’agenouille devant Pierre, et entreprend de le sucer, puis François, puis les deux autres. A chaque fois elle prend toute la queue dans sa bouche, son menton s’écrase sur les couilles, elle suffoque, et recommence jusqu’à ce que l’homme gémisse et grogne. Tous les quatre en profitent et se rajustent. Ah oui, ils ont enlevé leurs loups pendant que le chien la besognait. Pierre attache une laisse au collier d’Anne qui se laisse conduire là où était Florence, qui s’agenouille sans prendre garde au sperme qui reste sur la couverture. D’ailleurs Florence aperçoit les traces que les fellations ont laissée sur son menton. Pierre ramène le chien, donne la laisse à Florence, qui le conduit derrière Anne, mais il y va presque tout seul....
Et un nouveau cycle recommence, Daemon lèche la vulve d’Anne bruyamment. Il se redresse en prenant appui sur les reins de la femme qu’il va saillir. Il commence à la pilonner, et de la même façon la femme soudain râle, il la prend. Florence sait ce qu’Anne subit, revit sa saillie : d’un coup son con s’est trouvé rempli, dilaté, et ce n’était que le commencement, un commencement brutal, bien plus brutal que François ou Pierre. Bestial. Sans égal. Son con a été pilonné, ramoné, rempli, comme elle n’aurait jamais cru que c’était possible après ses premières expériences avec les hommes et Gaëtan. A son tour Anne reçoit le nœud, et commence à jouir comme une folle.... Florence regarde de derrière la fente, le sexe du chien et les gouttes qui glissent en dehors de la vulve malgré le nœud qui retient le sperme dans la femelle. Les lèvres de la vulve qui semblent palpiter, le ventre même semble gonfler. Le sexe qui soudain jaillit hors de la vulve et le sperme qui coule... Cette intimité avec Anne qui vient de sa propre vulve, de son con,... elle ... oui... elle embrasserait bien cette vulve maintenant.... si tentante, alors qu’Anne est perdue encore dans ses spasmes.
Florence se dit que ce sera son tour ensuite de donner aux hommes ce qu’il voudront, après s’être réjouis des cris et du spectacle, de cette croupe pilonnée.... Mais ils n’ont pas eu le temps de se refaire... Ils se contentent de ce qu’ils viennent de voir. Rassasiés, ils les regardent toutes les deux. Et ils s’en vont, les laissant seules avec Daemon.
Assises toutes les deux sur la couverture couverte de taches humides dont elles ne se préoccupent pas, couvertes qu’elles sont de bave , de sperme du chien.... Florence regarde le corps d’Anne, le détaille à son tour. S’attarde sur les seins, plus lourds que les siens, et la vulve, épilée, toute lisse, dont les lèvres semblent encore palpiter.... Anne consciente des regards de Florence ouvre les cuisses pour elle, la regarde et sourit.... « ça t’a plu ? » ... « Je n’ai pas de mots... après qu’il m’a eu mis son nœud je n’ai eu que des éclairs de jouissance, sans arrêt, je ne sentais rien que mon con, son nœud qui pulsait sans arrêt, le bout de sa ... de sa bite qui cognait, c’est comme si ... rien d’autre n’existait que ce qui se passait au-dedans... ça aurait pu durer.... ». Elles s’approchent, une sorte de complicité imprévue les colle l’une à l’autre. Ces deux corps nus, ces deux femelles qui viennent de subir une saillie, encore palpitantes, se rapprochent.... Elles s’embrassent, comme des amantes, Anne reprend ses caresses, lui murmure un : « Viens ma petite chienne » qui fait tomber toutes les réticences de Florence qui s’abandonne et s’engage dans des étreintes amoureuses auxquelles elle n’aurait jamais songé qu’elle puisse se livrer. Leurs doigts et leurs bouches, leurs langues, leurs cuisses, tout est source de plaisir. Elles se vautrent dans le sperme du chien, dans la chaleur de l’étable en cette nuit d’août. Un peu plus tard Anne va trouver une couverture dans un placard caché dans un coin, elles s’étendent un moment pour se reposer l’une contre l’autre. « Laissons Daemon récupérer encore un peu » murmure Anne après qu’elles aient de nouveau joui toutes les deux de leurs caresses. Florence rit dans sa gorge, se colle contre le corps de sa nouvelle amante, la tête sur ses seins si doux et si chauds qu’elle caresse et embrasse. Rien n’est plus doux que ce moment de repos en attendant de partager leur amant.
Diffuse en direct !
Regarder son live