Après que l’excitation a retombé un peu et tandis qu’elles reprennent leur souffle toutes les deux, Florence, sans vraiment y penser, pose une question qu’elle n’avait pas préparée, qui lui vient à l’esprit en même temps qu’elle la pose : « Comment ça a commencé ? ça ressemble à des cérémonies, à un société secrète.... » « Oui ça fait un peu bizarre, c’est sans doute parce que nous ne voulons absolument pas que quelque chose transpire de ce que nous faisons.... Tu sais il n’y a jamais vraiment eu de commencement... des choses se produisent, puis d’autres, et quelque chose se met en place, là ce n’était pas vraiment voulu, ça s’est passé, peu à peu... Les loups par exemple, c’est parce qu’un jour Pierre avait revu Eyes Wide Shut, un film avec des cérémonies secrètes autour du sexe, je trouve que c’est un peu idiot.... Et puis il en ont rajouté pour toi.... Si ça a commencé c’est par moi, mais c’était il y a plus de 25 ans..., en fait j’avais 15 ans, j’étais curieuse de tout ce qui concernait le sexe, et on avait un chien.... » .Florence se blottit dans la chaleur d’Anne, pose sa main entre les cuisses de celle qui est devenue son amante, presque sans la caresser, juste un geste d’affection : « Raconte-moi.... » « J’avais 15 ans, je vivais aussi dans une exploitation agricole.... Je savais beaucoup de choses sur le sexe bien sûr... mais c’est notre chien, Argos, qui a tout déclenché, sans que je l’aie vraiment cherché, enfin, au début.... Un jour alors que j’allais chercher des œufs, mes parents gardaient quelques volailles mais c’était une exploitation moderne faut pas croire, mais c’était il y a 25 ans..., je suis tombée sur le chien qui finissait de saillir la chienne des voisins. Elle avait dû s’échapper car ils voulaient la garder à l’écart d’Argos qui était un berger allemand, c’était une labrador. Et j’ai vu son sexe jaillir de la vulve de la femelle qu’il venait de couvrir, et tout ce qui allait avec, la couleur, le liquide, la taille, je n’avais jamais vu de si près. Argos s’est laissé approcher... je l’ai caressé, grondé gentiment d’avoir sauté la chienne des voisins, et toute curieuse et émoustillée j’ai profité de l’occasion pour toucher son sexe, rapidement. Le premier sexe mâle que je touchais, que j’ai pris dans la main, gluant.... je n’ai pas continué.... je me suis dit que j’y reviendra.... et je me suis préoccupée de me laver les mains et d’aller chercher les œufs. Mais après ça je guettais Argos.... . Et un jour je me suis trouvée seule avec lui sur l’exploitation.... » « mmmm Raconte-moi, ma chienne à moi aussi. »« Je ne l’ai pas fait d’un coup, mais je me suis décidée vite. Le matin, j’étais déjà presque sûre que ce serait ce jour-à. Je suis allée me promener dans les chemins autour de la maison avec Argos, en le regardant, je pensais..., je pensais : "est-ce que en rentrant...". Evidemment j’étais de plus en plus excitée. Et mon ventre me démangeait, j’étais toute mouillée.... Du coup en rentrant... j’ai laissé le chien et je me suis offert un peu de plaisir dans ma chambre, je savais pas comment faire avec Argos.... Je l’ai appelé, j’a fermé la maison et je suis allée dans un coin tranquille de l’exploitation.... j’ai commencé à le caresser, je lui ai fait sentir mes doigts... les lui ai mis dans la gueule doucement... il avait l’air d’aimer... j’ai caressé son ventre.... Là je tremblais presque, je savais que ce que je faisais, ce que je voulais faire, c’était... comme un tabou.... et j’ai pris le fourreau, tremblante, trempée, effrayée. Je l’ai tenu, caressé en essayant de voir le bout sortir... je n’avais pas d’expérience, je n’avais même jamais branlé un copain.... et j’ai fini par avoir ce que je voulais.... il est sorti, je continuais, j’ai touché de la main doucement, et peu à peu j’ai compris comment faire, je l’ai branlé, il m’a laissé faire, son membre a gonflé, s’est mis à couler, et... j’ai vu cette grosse boule, et ça a coulé encore plus.... Il a fini par décharger.... j’en avais plein les doigts.... J’ai goûté.... j’ai pas trouvé ça désagréable.... je devais être plus que rouge.... fin du premier acte.... » Florence retire sa main, prend celle d’Anne qu’elle glisse entre ses cuisses, qu’elle presse contre les lèvres de sa vulve... gémit.... : « Continue, j’aime t’écouter... »....« Le reste s’est passé l’après midi même... comme je te l’ai dit j’étais décidée... Argos est venu manger... enfin je l’ai appelé... je l’ai attaché avec une laisse et je l’ai remmené au même endroit que le matin.... Je l’ai caressé à nouveau, j’ai mis ma main dans mon jean, mes doigts dans mon minou, je les lui ai donné, et ensuite, quand il a eu bien goûté, j’ai fermé l’endroit comme j’ai pu et j’ai enlevé mon jean..., ma culotte toute mouillée.... Rien n’aurait pu m’arrêter. Tu devines ce qui s’est passé, j’ai remis mes doigts dans mon minou, dans sa gueule, j’ai recommencé à le branler, je croyais qu’il fallait lui faire sortir son membre avant... c’est pas obligé... j’essaie de me faire lécher, c’est plus compliqué que je ne le croyais... je lui mets le museau sur ma chatte... et puis je me mets devant lui, à genoux... il a compris au bout d’un moment... assez long.... je croyais qu’il ne le ferait jamais. Il tournait autour de moi, je me mettais devant lui, il commençait, mais n’allait jamais jusqu’à me prendre... son membre rentrait dans son fourreau, ... j’étais frustrée, déçue,... je recommençais... et tout d’un coup il a sauté sur moi encore une fois, il a commencé à pilonner mes fesses, son membre sortait un peu, je le sentais sur mes fesses, j’ai senti que ça y était... Il a trouvé ma fente, je me suis cambrée, je l’ai senti contre les lèvres, et tu sais ce que l’on ressent... d’un coup, il m’a prise, je me suis retrouvée effondrée sous son poids, les coudes par terre, le visage par terre, et son membre qui me pilonnait dedans, il m’a dépucelée.... j’ai crié, il me baisait... son membre grossissait, je commençais à sentir son liquide dans mon ventre, puis son nœud, je jouissais, je criais, il a déchargé, et ça a été vite, son nœud s’est réduit, son membre a été éjecté vite, j’ai senti son sperme sur mes cuisses... je ne savais plus où j’étais, je l’avais fait, il l’avait fait, il m’avait saillie, il a léché ma vulve, c’était bon.... j’avais peur maintenant, je me suis levée, rhabillée, et je l’ai ramené à la maison. Moi j’ai pris une douche, nettoyage intime..., j’étais devenue une femme, d’une façon un peu particulière.... on doit pas être nombreuses à l’être devenue comme ça.... Voilà, chaque fois que j’ai pu j’ai recommencé. Argos ne demandait que ça.... Il devenait un amant habile à me prendre. J’ai appris à le caresser, le sucer... j’aimais le faire venir dans ma bouche, quand j’étais sure d’être bien seule parce que j’en avais partout.... »« Voilà, j’ai toujours continué, après mon mariage en cachette bien sûr, François avait des doutes je crois, mais il ne savait pas et n’osait pas me demander une chose pareille.... Tu te rends compte j’ai continué, pas régulièrement bien sûr, mais j’ai continué pendant 25 ans... Je me suis arrangée pour avoir toujours un chien capable de me sauter... et personne ne le savait... Bien sûr 25 ans tu ne te rends pas compte...» « Et Lise, et François qui m’a prise et m’a donnée ? »« Lise c’est la suite, logique, même si j’aurais préféré que ça n’arrive pas.... pas avec moi en tout cas.... Un jour que j’étais ici avec Daemon, j’avais eu ma saillie, il était en train de décharger... je le laissais parfois descendre pour être collée comme une chienne quand il avait fini... je crois que c’est ça le fantasme, redevenir une femelle, une animale. Là je m’étais laissée aller, complètement, on était collés, cul à cul, son membre encore en moi, je continuais de jouir... tu imagines ? à ce moment là quelqu’un est entré.... Jamais je n’oubliais de fermer la porte, j’avais veillé à ce qu’une bonne serrure soit mise. Ce jour-là j’étais comme en chaleur, j’avais besoin d’une saillie, je te dirais pourquoi.... A peine arrivée je me suis déshabillée, jean, culotte, je suis tombée à genoux, le croupe bien haute, il m’a prise comme une brute, ce dont j’avais besoin. Une saillie rapide bestiale. Je le laisse retomber, collés l’un à l’autre, je me sens chienne comme jamais, il fini par me libérer... Je me suis à moitié endormie, Daemon m’a réveillée, j’en voulais tellement, je me suis offerte à nouveau, et tout a recommencé. Un peu moins rapide, je voulais le garder, je voulais rester collée oui, rester collée, une vraie chienne... je jouis, et la porte s’ouvre.... c’était Lise.... j’aurais voulu mourir.... La position la plus humiliante si l’on doit être vue.... Mais elle se doutait de quelque chose depuis longtemps, et avait des envies aussi.... La seule chose qu’elle a faite le premier choc passé, c’est de regarder, puis elle m’a caressé le visage, et elle a dit un truc qui a tout sauvé pour moi.... « Oh maman comme c’est beau.... tu me montreras... ». En fait elle m’a dit plus tard qu’elle avait trouvé un endroit d’où elle m’avait observée dans le grenier au-dessus, elle m’a vue deux ou trois fois. Ce jour-là elle passait voir à peine arrivée du centre équestre, elle m’a entendue, et elle a essayé d’ouvrir par hasard.... ça n’aurait jamais dû arriver... mais c’est arrivé... évidemment je me suis sentie ... pas besoin de te faire un dessin, pas ? Le membre de Daemon a jailli d’un coup, son sperme coulait à ma grande honte, ma vulve palpitait... je me suis recroquevillée... lui tournant le dos.... je ne voulais pas la regarder.... Elle est venue, m’a embrassée.... « C’est pas grave maman, j’en ai tellement envie aussi.... c’est pour ça que je suis là... ».« Elle était là pour que je lui montre, mais pas seulement pour voir.... pour que je partage Daemon... ça m’a soulagée, et le soulagement m’a rendue faible, j’ai eu tort, je n’ai pas pensé que ce n’était pas à faire, je sais que je n’aurais pas dû... mais je l’ai fait, j’avais eu tellement peur de son regard.... et... on l’a fait tout de suite.... je n’ose pas raconter, je le regrette encore.... » Florence veut tout savoir...« Voilà, je lui ai demandé, «maintenant tu es sûre ? » elle était excitée, elle en avait envie depuis longtemps comme moi en fait vingt cinq ans plut tôt, elle avait décidé qu’elle le ferait, ce qu’elle avait vu, en cachette, puis là, à l’instant, ce qu’elle avait entendu de mes orgasmes, et ce qui transpirait de mon plaisir dans la façon dont mon corps réagissait après la saillie, quand elle m’a surprise.... Tout ça c’était pas fait pour la faire changer d’avis. Une saillie. Elle répétait ce mot là, qu’elle voulait être saillie par Daemon, et j’ai cédé.... c’est moi qui lui ai retiré ses chaussures, son jean, sa culotte, je l’ai aidée à s’installer, comme je l’ai fait pour toi tout à l’heure, j’ai saisi Daemon par son collier, je l’ai approché, et il a fait avec elle comme avec toi, il a léché sa vulve, il a mis ses pattes sur son dos, il sait bien comment prendre une femelle humaine.... je le lui ai appris et il m’a prise si souvent... Et il l’a prise.... j’en suis encore toute abasourdie, comment ai-je pu faire une chose pareille, et malgré tout je le regrette encore.... » « C’est à partir de là que les choses se sont installées.... petit à petit... Sans que je l’ai vu venir... C’est par Lise que les hommes sont entrés dans le jeu.... Elle n’a pas arrêté ensuite. Sans cesse elle se faisait monter par Daemon, elle a un grand appétit... Daemon aussi, tous les chiens, des amants endurants, presque insatiables... elle a fini par oublier toute prudence... mais je suis mal placée, je ne peux rien dire.... Quelques mois plus tard, Pierre est arrivé avec les deux autres, ils préparaient une sortie pour la chasse... Ils vont et viennent... cherchent François qui était absent... et bien sûr ce qui devait arriver est arrivé, ce n’est pas moi qui a été surprise cette fois-ci mais Lise... Elle m’a raconté. Ils l’on trouvée juste au moment où le chien commençait à chercher à la prendre.... il ne l’avait pas encore pénétrée, mais il s’en fallait d’un rien... Ils ont retiré le chien, par le collier, et ils ont ri... Elle était sans doute très tentante, toute excitée, la croupe offerte, et elle, elle était toute prête à se faire prendre.... Elle s’est tournée vers eux un peu effrayée quand même, se cachant comme elle pouvait... Mais quand ils lui ont dit quelque chose du genre : "on va te montrer ce qu’un homme sait faire ma belle" elle n’a pas protesté, elle a ouvert les cuisses m’a-t-elle dit, un peu par bravade, pour sauver la face... et elle était en feu.... Les trois l’ont prise, elle a aimé... tu as une idée je crois... se faire prendre, jouir, recommencer... »« Oui, je n’aurais jamais cru, mais j’aime ça aussi... quand ils m’ont prise tous les quatre, puis Pierre, de nouveau plus tard... oui j’ai aimé... c’est bon de se laisser aller.... et de jouir. »« Voilà, ensuite ils lui ont demandé si elle voulait bien faire ce pour quoi elle était venue, devant eux... ça l’excitait de plus en plus, elle a appelé Daemon, s’est mise en position devant eux. Il l’a prise à son tour, d’être saillie devant eux l’a excitée comme elle ne l’avait jamais été, elle n’arrêtait pas de jouir. Sa vulve palpitait, massait le nœud..., ça a duré très longtemps paraît-il.... Voilà.... François l’a appris. Je ne pouvais plus faire autrement que tout lui dire, officiellement en quelque sorte. A ma grande surprise il n’a pas eu l’air en rage, je me demande s’il n’avait pas trouvé le coin d’observation avant Lise.... Puis ils ont voulu faire une sorte de soirée spectacle, saillie, et plaisirs divers pour les hommes, pour eux quatre. Je me suis fâchée, j’ai dit que ce serait moi.... pas avec Lise. Et j’ai aimé, bon sang, c’était excitant. M’abandonner au chien, devant des hommes, sans me cacher, jouer le jeu de la femelle, qui s’offre, qui se présente, prête à recevoir l’animal mâle, la femelle qui sans retenue se met en position pour qu’il la pénètre, pour une saillie, pour que le pénis entre, jusqu’au fond de son ventre, de son con, la remplisse, déverse une dose de semence... comme une chienne.... Daemon est resté collé un temps interminable..., et eux qui étaient tout excités pour cette première fois.... J’en ai eu pour mon compte.... couverte de sperme, hommes... chien, j’en avais partout, dehors, dedans.... tu imagines n’est-ce pas ? Voilà, c’est comme ça qu’on en est arrivé là... Lise est venue participer... c’est une femelle en chaleur en permanence...». « Pourquoi est-ce que tu étais si excitée ce jour-là où Lise t’a trouvée... ? »« C’est toi, Flo..., ce jour là je vous avais conduites au centre équestre, Lise était avec toi, mais elle avait prétexté une indisposition pour rentrer à pieds... mais je ne le savais pas bien sûr, sans quoi il ne serait rien arrivé... Tu étais à côté de moi dans la voiture, devant, je respirais ton parfum. Je te voyais légèrement vêtue, je t’ai désirée, je ne savais pas que je pouvais désirer une femme, et c’est arrivé ce jour-là. Avec toi, je peux te le dire maintenant.... Je mouillais à côté de toi.... Quand je suis rentrée, que j’ai réalisé que j’étais seule sur l’exploitation, ... voilà... je me suis fait sauter par Daemon, deux fois... Une fois de trop... Lise a eu le temps de rentrer.... Elle n’a jamais avoué qu’elle l’avait fait pour me surprendre.... J’étais si excitée, je n’avais pas fait ça pendant deux ou trois semaines, j’essayais de me sevrer... en quelque sorte. ». « Et toi, François t’a aperçue derrière le hangar où ils faisaient la saillie de la jument, il s’est dit qu’il allait en profiter, il y est allé pour te surprendre.... il savait ce qui allait se passer... il m’a dit après, là, du coup, il y aurait deux femmes pour lui aussi... il n’a jamais eu un grand appétit de ce côté là, sauf quand on est dans un trip avec le chien... Là ça le met dans un état... une fois il m’a baisée deux fois dans la nuit et il m’a fait faire une fellation au matin... c’est bizarre le sexe.... » Florence embrasse son amante, tendrement, puis lui demande : « Donne-moi à Daemon, je veux être sa chienne, tout à l’heure j’étais une femme qui se faisait saillir, je veux être une femelle.... oui, je veux qu’il me prenne, lui offrir ma croupe, mon ventre pour qu’il me remplisse avec son membre et sa semence, son nœud.... Va le chercher, qu’il me monte.... »
