Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 8 Commentaires

de plus en plus

Chapitre 11

Divers
Le lendemain la mère de Florence la dépose dans une propriété des environs de Cabourg, ancien haras ou ancienne exploitation agricole à première vue, en cours de modernisation, de réfection complète, pas encore terminée manifestement et il y en a encore pour un moment et sans doute beaucoup de sous.... Florence prend son sac, entre dans la cour, aperçoit la coiffure rousse flamboyante de son ennemie intime, Mathilde, la reine, celle qui racontait ses conquêtes, et ses nuits à ses intimes, qui traitait Florence comme une nonne.... ou bien encore parlait d’elle comme « La sainte vierge ».... Florence marmonne à mi-voix quelques mots inaudibles pour tous : « Elle est là la traînée », que la dite traînée lit, de loin, sans faute sur les lèvres, vexée, en colère, elle fait demi-tour, et s’enfonce dans la cour vers un petit bâtiment. Florence se dirige vers une grande bâtisse, qui abrite une grande salle, avec une cheminée dans lequel brûlent quelques buches de façon parfaitement inutile, il fait chaud, on n’y fait rien cuire, mais on est à la campagne....C’est là qu’elle devrait trouver des indications sur l’endroit où elle va dormir. Elle salue tout le monde dans le brouhaha général, embrasse des gens qu’elle connait plus ou moins bien. D’aucuns sont assis et discutent, d’autres installent une chaîne branchées sur l’ordinateur du DJ de la bande, beaucoup circulent de groupe en groupe, échangent les nouvelles : qui va où, et non, qui n’est pas pris mais ira ailleurs.... Beaucoup n’ont pas une grande sympathie pour elle : jolie fille, bien bâtie, et pimbêche, vierge et fière de l’être, citée en exemple aux dévergondées par la direction de l’établissement scolaire religieux dont ils viennent presque tous ... d’aucune utilité pour les garçons... un vrai remède. Mais on est bien élevé et parfois sincèrement gentil en cette fin de vacances. Et puis on a dit qu’elle avait changé et on sourit. Tu dois être dans le pigeonnier dit l’un, une autre dit que non c’est plein, un troisième l’envoie alors au premier dans une grande chambre où il doit y avoir de la place pour son sac de couchage. Le sac sur le dos, un bras engagé dans une bretelle elle monte tranquillement et entre dans la dite chambre, en fait il semble bien qu’il y a deux chambres séparées par une cloison, la première semble complète, trois garçons et une fille l’occupent. Florence entre dans la seconde, vide, bien que des sacs posés sur des lits signalent qu’ils sont réservés, elle pose son sac sur le seul lit qui ne lui semble pas occupé, s’allonge à côté, souffle un peu. Vaguement consciente de ce que les garçons de l’autre chambre la regardent elle gonfle un peu la poitrine, se cambre légèrement, s’étire, presque sans bouger mais en mesurant l’effet qu’elle produit : féline, femelle, elle les nargue.Ils n’avaient pas besoin de cela, l’intention avait germé dans leur ventre dès qu’ils l’avaient vues entrer. « La sainte vierge », qui ne l’était plus... Gaëtan avait parlé... en insistant un peu on devrait pouvoir... elle veut voir ses limites... on va l’aider.... Lorsqu’elle se décide à se lever et mettre fin à ses provocations, ils entraient justement dans la chambre... elle avance un peu inquiète, aperçoit la fille qui partage la chambre avec les garçons qui ferme la porte à clé.... Non, ils ne vont pas faire ça ! Ils s’avancent, s’arrêtent, la regardent : « Florence, tu ne crois pas que tu peux passer un bon moment avec nous ? Et Laurence aime bien regarder... baiser aussi, mais elle te cède son tour ». Elle essaie bien sûr, d’une voix mal assurée, de les convaincre que non, pas maintenant, plus tard peut-être, oui elle aime bien, plusieurs garçons ne lui font pas peur, mais pas maintenant....Mais eux c’est maintenant... ça tombe mal.... Florence essaie de passer comme si la conversation était terminée pour l’instant, il faut sortir vite d’ici....Mais ils la saisissent. Elle se débat, deux la tiennent par les bras, la poussent, la tirent vers le lit où elle a mis son sac.... Elle commence à crier, le troisième s’attaque à son corsage, l’ouvre, et empoigne ses seins à travers son soutien gorge, qui se dégrafe par devant..., et bientôt ses doigts s’enfoncent tellement dans la poitrine de Florence qu’il la griffe.... Elle crie, se débat comme une furie. Il attrape la ceinture du jean l’ouvre, l’attire vers lui, le jean commence à descendre entrainant la petite culotte avec, suffisamment pour qu’elle découvre le sommet de la toison. L’angoisse saisit Florence qui crie de plus en plus fort se débat comme deux. Il s’approche pour assurer sa prise et tirer sur le jean... un coup de genou part, brutal, qui atteint le garçon entre les cuisses et lui arrache un cri de douleur et de rage. Il la gifle, se courbe en deux pour calmer la douleur qui croît de seconde en seconde Elle se débat, tire sur ses bras, les secoue pour se libérer. Hurle. Entend que l’on frappe violemment à la porte, on essaie de l’ouvrir, de l’enfoncer, elle hurle, de tous ses poumons.... Cette fille qui avait fermé la porte l’ouvre. Mathilde entre accompagnée d’un grand gars, suffisamment costaud pour ramener le calme.... Mathilde regarde Florence : « Ah c’est toi... ... ... bon, ben... le mieux c’est que tu viennes avec nous, non ? ». C’est sûr. Florence prend son sac, le met sur son épaule gauche, le pose, regarde le plus proche de ses agresseurs et brutalement lui décoche la plus forte gifle de ce début de siècle. Toute sa peur, sa rage, son humiliation, de se trouver agrippée, pelotée, dépoitraillée, presque dénudée, l’angoisse qui l’a saisie quand elle a senti son jean et sa culotte glisser, s’être sentie si proche... si proche d’être violée..., tout se concentre dans un seul geste d’une énergie dont elle ne se serait jamais crue capable, elle crie en lançant sa main, le choc est aussi violent qu’un crochet de poids lourd, c’est bruyant, la main lui brûle. Le type qui la reçoit part en arrière. Le grand gaillard qui accompagne Mathilde arrête la velléité de riposte, attrape le sac, la prend par la main, la tire vers la porte : « Oh ! oh !!! du calme, on se calme, c’est fini, c’est fini Florence, il ne t’arrivera rien... ».C’est ainsi que Florence fait la connaissance de Paul, frère de Mathilde, et se retrouve à partager le pigeonnier avec Mathilde, son ennemie intime, celle qu’elle surnommait avec ses copines « la traînée » et qui en échange la surnommait publiquement, même devant elle « La sainte vierge ». Paul c’est le frère jumeau, faux jumeau bien sûr, mais vrai frère. Ils l’installent et la laissent se rhabiller, elle tremble maintenant qu’elle est à l’abri. Ils restent un moment, Mathilde pose sa main sur l’épaule de Florence comme pour prendre une partie du stress, de la panique. Puis ils partent, la laissant se reposer seule, descendant dans la cuisine préparer chercher quelque chose de réconfortant. Ils mettent dehors les trois occupants qui commençaient la soirée avec une bouteille de whisky, leur faisant comprendre qu’ils devaient parler avec Florence sans témoin pour la réconforter.Mathilde va la chercher un peu plus tard. Florence est calmée. Allongée sur le lit le plus large (il n’y en a que deux), la tête callée sur deux oreillers sans taie, elle regarde le plafond tranquillement. Mathilde l’informe que deux des agresseurs sont partis, avec la fille. Elles descendent sans parler, Ils s’installent près de la cheminée, Florence dans un fauteuil, Mathilde sur une chaise et Paul par terre à ses pieds. Florence les regarde : « Merci, je ne vous remercierai jamais assez, j’en tremble encore au-dedans ».Sirotant un jus d’orange elle les regarde. Elle raconte, quelques rires nerveux et plaisanteries obscènes à propos du coup de genou, Paul revient admirativement sur la gifle du siècle, la raconte de façon telle qu’ils partent tous les trois d’un fou rire. Mathilde profite d’un moment de silence pour interroger Florence : « Dis moi quand même, par curiosité, qu’est-ce que tu as marmonné entre tes dents quand tu m’as aperçue en arrivant ? »Silence gêné. Très gêné. Qui dure. Mathilde n’a pas l’air agressif. Florence finit par avouer : « La traînée, je regrette... ». C’est très sincère, Mathilde cependant en veut un peu plus : « Tu regrettes quoi ? Parce que je t’ai aidée je suis devenu différente ? ». « Je regrette d’avoir eu cette idée, je regrette de l’avoir pensé. Pas seulement parce que tu m’as aidée. Mais parce que... je ne vaux pas mieux... enfin c’est pas ce que je veux dire... parce que ... avec ce que j’ai fait... j’ai compris que l’on vit chacun sa vie comme on l’entend... et si on a envie de quelque chose... pourquoi pas... et en fait je ne sais même pas comment tu conduis ta vie, sauf que tu m’avais piqué Gaëtan ». « Bon alors on peut peut-être s’entendre. Pour Gaëtan, il en avait assez de contempler une icône... surtout qu’il ne manque pas d’appétit comme tu sais, alors à genoux devant la vierge, c’est pas une vie, et moi... je ne refuse pas souvent.... Alors comme ça... tu voulais voir jusqu’où tu pouvais aller, tu sais maintenant ? ».Florence sait oui, elle peut aller loin pour avoir du plaisir, elle dit, sans trop cacher, pour se racheter, son parcours, un homme, des hommes, une femme, une autre, sucer, baiser, se faire prendre, se comporter comme une putain, payée ; l’espèce d’excitation qui l’a saisie à ce moment là, offerte, consciencieuse .... Elle rougit. Raconter cette soirée d’orgie l’excite un peu... elle repense à ces mains baladeuses, sur ses seins, ses cuisses, son sexe ; ces doigts qui ont commencé à l’explorer, comment elle s’est mise à mouiller... Ces moment où plusieurs hommes... cette fois où elle fur prise par deux hommes, elle en chevauchait un, l’autre l’a sodomisée. Sans pudeur aucune elle raconte, la tension retombée, c’est comme si elle avait renoncé à défendre ce qui lui parait d’un coup secondaire au regard de ce qui aurait pu se passer et que tous les deux ils avaient empêché. Elle raconte ces moments où elle attendait que les hommes aient fini, comme une prostituée, ils avaient payé, elle leur abandonnait l’orifice qu’ils prenaient, jusqu’à ce qu’ils éjaculent. Elle raconte la femme de Guillaume et cette étreinte interminable, et le plaisir dément qu’elles en avaient retiré toutes les deux.... Comment peut-elle raconter tout cela ? Elle n’en revient pas, l’excitation que ce récit fait naitre en elle l’amène à imaginer l’effet qu’il peut avoir sur Mathilde... et Paul... Comment peut-elle raconter cela... De Daemon ni des deux autres chiens toutefois il n’est pas question... deux fois elle se prépare à poursuivre, deux fois elle se rattrape, de justesse au point que ses deux auditeurs, suspendu à ses lèvres, devinent qu’il y autre chose, et se demandent bien... "quoi".... après tout ce qu’elle a dit..., que reste-t-il ? le bondage ce serait logique....« je ne sais pas comment je peux raconter ça... sans doute pour dire que .... je regrette mes insultes ». Mathilde éclate de rire... « La sainte trainée »... voilà ce que tu es... mais je n’ai rien à dire, je ... connais un peu... pas tant parce que toi tu fais fort... mais plusieurs.. oui, bon, me glisser sous la table... aussi, je n’ai rien à dire. Tu es allée vite, c’est tout, ton chemin de Damas à toi, une conversion rapide... presque instantanée.... ». Elle rit et Florence aussi.... qui se demande comment elle peut parler ainsi devant Paul. Boh après tout.... Elle rit, regarde Paul « Et toi tu es saint Paul ? ». Rires « C’est le plus dragueur des mecs de sa génération ». Le frère et la sœur se regardent. « N’empêche dit Paul, vous avez épuisé le tout venant, il ne vous reste plus que le bizarre ». Rires. « Le brutal » renchérit Florence. « Avant le petit déjeuner ça fait pas de mal » renchérit Paul... « même si on n’est pas polonais » ils sont dans le fou rire... « Je vais faire pipi dans ma culotte » ... « C’est-y de l’alcool d’homme ? »....Ils ont oublié le jus d’orange... mangent ce qu’ils trouvent dans le réfrigérateur, qui n’est pas si mal....Finalement Florence monte se coucher. Dans le grand lit, elle s’enveloppe dans cette chemise trop grande qui lui sert de chemise de nuit, cache l’oreiller sans taie sous le drap, met une couverture, met le second oreiller sous le drap aussi, s’il n’y a qu’un lit Mathilde va dormir aussi.... Florence s’endort rapidement, épuisée par l’émotion, la rage, l’énergie dépensée pour résister. Elle est réveillée dans la nuit quand elle sent un corps qui se glisse dans le lit. Mathilde, sans doute, elle se rendort. Jusqu’au moment où le contact d’une jambe la réveille un peu..., elle retire sa jambe instinctivement... puis la remet, un nouveau contact, moins innocent évidemment... elle bouge son pied légèrement, le frotte sur la jambe qui cherchait la sienne, sent un corps se retourner, un bras au dessus d’elle, sur son épaule, qui se glisse sous le drap, sur la chemise, le corps qui se rapproche, des cheveux, la jambe de Mathilde se glisse sur la sienne, elle sent sur sa cuisse le contact chaud de la vulve qui glisse doucement le temps que Mathilde se love contre elle... allongée sur le dos Florence sent la main de Mathilde qui défait maladroitement, dans l’obscurité les boutons de la chemise, qui caresse ses seins.... Mathilde cherche sa bouche... cherche, trouve la toison, la vulve, la prend dans sa main, dans ses doigts, explore.... Florence s’abandonne, laisse les doigts la pénétrer, laisse le plaisir monter, sent la bouche de Mathilde qui de sa bouche descend, vers les seins, les mamelons, les dents sur les tétons, elle se laisse faire, chaque contact, chaque initiative de Mathilde la pénètre, chaleureuse, l’engourdit, elle attend, et s’ouvre sous la bouche, s’offre à la langue, elle se sent inondée, et oublie tout, et crie cette fois-ci de plaisir, elle serre la tête de Mathilde entre ses cuisses, elle caresse les cheveux.... Un peu plus tard elle tire un peu la tête de Mathilde pour l’attirer vers elle et embrasse goulûment la bouche de son amante, toute humide et grasse du baiser qu’elle vient de recevoir entre ses cuisses.... Epuisée elle se rendort....Elle se réveille un peu comprimée par Mathilde qui dort d’un sommeil de plomb contre elle. Lentement elle cherche une position plus propice au sommeil, émue par le corps qui l’empêche de dormir, si gracile, souple, les hanches..., les fesses.... A son tour elle caresse, explore la peau sans replis, laisse son désir monter, lentement elle glisse contre le ventre qui s’offre sans que Mathilde se réveille.... Florence se meut comme un chat, pour amener Mathilde à se réveiller en plein orgasme, ou juste avant, qu’elle soit saisie par le plaisir au réveil.... En silence, presque sans bouger, elle déplace sa bouche, elle glisse sa langue, et Mathilde s’offre dans un demi sommeil, jusqu’à ce que, léchée, sucée, creusé par la langue qui va laper entre les lèvres elle saisisse les cheveux de Florence se tourne, se crispe, se cambre.... A son tour elle jouit.... s’apaise, et embrasse son amante pour goûter les lèvres encore chargées de son propre nectar.... Elles sombrent toute les deux dans le sommeil.... Il fait encore nuit, plus aussi noire, quand elle se réveille de nouveau... le cœur battant précipitamment, affolé, quelqu’un pénètre dans leur lit, c’est un homme... NON !!!! elle se réveille complètement, va pour réveiller Mathilde quand elle quand il murmure : « Florence, c’est Paul, je ne veux pas te prendre de force... ». Il bande, il la rassure continuant de murmurer dans son oreille : « Je ne veux pas te contraindre, si tu me repousse je retourne dans mon lit, j’ai envie de toi ». Ça elle le sent bien, contre ses fesses. Elle ne répond pas, se calme, pousse sa croupe en arrière et sent le membre dressé qui se calle entre ses deux fesses. Elle se met à mouiller de nouveau. Elle aussi à envie de sentir ce membre en elle, elle se cambre autant qu’elle peut pour rendre sa fente accessible presque sans mouvement.... Paul bouge à peine, tenant les hanche de sa partenaire, il cherche, sent son gland qui glisse, elle est prête, il pousse son sexe, la pénètre, s’enfonce, pousse les épaules de Florence vers l’avant, et lui met son sexe en entier, tout au fond, il la sent se cambrer encore, pousser son corps vers lui, il touche le fond de son con du bout de sa queue.... En silence elle roule ses hanches, pour le sentir, pour sentir sa queue qui glisse dans ses chairs. Ils baisent en silence. Lentement. Amoureusement presque. Les mains crispées sur les épaules de Florence, la tirant vers lui, Paul commence à pousser sa queue plus vigoureusement, presque brutalement. Elle gémit à chaque coup de rein qui la transperce, la secoue. Elle envoie parfois sa croupe sur sa queue, s’empale. Mathilde se réveille en ayant conscience de ce qui se passe, tournée vers Florence, elle lui prend la main, l’embrasse, dans la pénombre Florence voit les yeux de Mathilde. Elle se donne à Paul tandis que Mathilde la regarde tendrement. Elle va jouir quand Mathilde saisit sa main. Florence pour ne pas crier mord les doigts de Mathilde qui supporte, ne dit rien, regarde encore les yeux qui se ferment. Florence sent soudain les spasmes de la queue qui la pilonne, le sperme chaud qui la remplit, la main qui crispée sur ses épaules la tirent, la poussent sur le membre callé tout au fond, callé jusqu’à la racine dans sa fente, dans son con.... Elle repart.... sent son con vibrer sur la queue.... Dépassée elle enfouit sa tête dans le cou de Mathilde, mord jusqu’au sang les muscles de l’épaule... Mathilde réprime un cri... elle aime cette morsure.... Quand Paul se retire, Florence sombre dans une sorte de torpeur ensommeillée, puis de nouveau s’endort.... La lumière du soleil la réveille, enfin elle croit.... Il y a aussi les mouvements qu’elle sent à côté d’elle... qu’elle ne comprend pas tout d’abord, parce que cela ne lui parait pas possible.... C’est bien le visage de Paul qui semble là surmonter le dos de Mathilde.... Mathilde qui la regarde, les rôles sont inversés, mais..., Mathilde chevauchée par son frère, et qui s’abandonne, qui laisse ses yeux dans les yeux de Florence, pour que celle-ci suive la montée du plaisir, comme une façon de partager le moment.... Les mains de Paul sont crispées sur ses seins, très crispées.... Mathilde est cambrée... active... et lorsqu’elle s’abandonne aux coups de boutoir de son frère elle laisse ses yeux dans ceux de Florence, qui voit tout à coup l’orgasme s’annoncer, à son tour elle donne sa main à Mathilde qui mord le gras du pouce sans retenue, jusqu’à ce qu’elle ait atteint une puissance équivalente à son orgasme.... Florence gémit, la morsure est terriblement douloureuse, mais laisse sa main. Paul se laisse glisser entre les deux femmes... ce qui n’est pas du goût de Florence, qui se démène pour se retrouver au milieu, glisse sur Paul, sent sur son corps sa queue encore gonflée et trempée.... Elle se glisse sous les draps, pose sa tête sur le ventre de Paul. Elle suce, nettoie, lèche le membre qui se rétracte, lèche les poils, où elle goûte le mélange de Paul et de sa sœur... puis va déposer un baiser sur la vulve béante, trempée, et boire le même mélange.... Elle reste là, au milieu, le visage à hauteur des sexes, respirant cette odeur d’après l’amour, le goût dans la bouche, le visage couvert de ces sécrétions.... Autant que de sexe il leur sembla qu’il s’agissait aussi de sentiment, d’émotions tendres.... Il leur fut difficile de penser se séparer, ils se retrouvèrent fréquemment puis s’installèrent ensemble... tous les trois. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Bien sûr Mathilde allait se faire faire des enfants pas des partenaires occasionnels. Une fois elle paya même un "étalon" qui ne sut jamais qu’il s’agissait de beaucoup plus que de satisfaire une femme en mal de partenaire.... De chiens il ne faut jamais question, et Florence s’opposa toujours à ce que la famille se dote d’un chien de compagnie, avec une pugnacité que Paul et Mathilde eurent toujours beaucoup de mal à comprendre.
FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live