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PokémonVR

Chapitre 5

Erotique
Chapitre 5 : Un têtard dans l’eau
Ayaka et moi arrivâmes sans encombre jusqu’à Azuria, ville abritant la seconde arène. Cette dernière, spécialisée dans le type Eau, était tenue par Ondine, la championne. En elle-même, Azuria ressemblait à sa version vidéo-ludique originelle, avec ses quelques habitations, son arène et, bien entendu, le Cycle à Gogo où l’on pouvait obtenir la bicyclette en échange d’un coupon que l’on obtiendra plus tard. Nous nous promenions alors dans la ville, l’un à côté de l’autre, jusqu’au centre Pokémon. Là, nous donnâmes notre équipe à l’infirmière Joëlle qui les soigna sans tarder.
-Il faudrait que nous fassions le plein de Super Potion, lui dis-je. Sans quoi, nous ne battrons jamais le Staross d’Ondine.
Ayaka acquiesça après avoir récupéré son équipe en pleine forme. Nous sortîmes alors du centre, et une fois dehors, Ayaka m’interpella.
-Clifford, j’ai besoin que tu me dises ce qui se passe.-Ce qui se passe ? lui demandai-je sans comprendre ce qu’elle voulait dire.-J’ai l’impression que tu n’es pas heureux avoir moi. Tu ne me parles jamais, sauf s’il s’agit du jeu.-Mais pas du tout, enfin, je ….-Ah oui ? Alors rappelle-moi la dernière fois que nous avons eu une discussion normale, toi et moi.
Je crus que répondre à cela serait aisé, mais il s’avéra que non. Je repassai alors notre aventure jusqu’à ce qu’un moment me vînt.
-C’était dans le centre Pokémon d’Argenta, avant que CowBow77 ne se fasse...
Je ne finis pas ma phrase, l’image qui m’apparut en tête me bloqua.
-Et depuis, tu ne parles que de stratégie. Tu ne me demandes pas comment je vais, tu ne t’intéresses pas à moi, je ne pense même pas que tu saches quelque chose à propos de moi.
Je voulus la prendre dans mes bras, mais lorsque je m’avançai vers elle, elle recula.
-J’ai besoin de réfléchir toute seule.

Et elle partit. J’aurais voulu la suivre, mais Ayaka n’était pas du genre à demander du temps en solitaire pour rien. Je décidai alors de la laisser réfléchir tandis que je la vis s’éloigner en direction du Mont Sélénité, probablement pour entraîner dans un même temps son équipe dans les hautes herbes. De mon côté, je décidai de me diriger vers le nord, en direction d’un long pont appelé Pont Pépite. Je battus alors les six dresseurs sans trop de difficulté (j’obtins alors une pépite, objet que l’on pouvait revendre, et qui justifiait le nom de ce pont), en essayant au maximum de faire monter de niveau mon Pikachu, ma seule chance de vaincre ce monstre qu’était Staross, le Pokémon phare d’Ondine. En effet, son type Eau/Psy contrait mon Tygnon, de type Combat, mais Pikachu, de type Électrique, avait l’avantage. Je poursuivis alors ma route, vainquant les dresseurs croisant mon chemin tout en faisant de nombreux aller-retour entre ici et le centre Pokémon ; il serait réellement dommage de me faire tuer par un dresseur lambda. Une fois la dizaine d’adversaires vaincus, je poursuivis mon chemin jusqu’à atteindre une maison ordinaire. La maison de Léo, pensais-je alors. Je m’approchai, longeant une petite étendue d’eau à ma droite. Puis, mon regard tomba sur un couple de PNJ. Ceux-ci, à l’instar des jeux, étaient amoureux l’un de l’autre. La différence avec la version GBA reposait sur le fait que, sur GameBoy, les PNJ ne pouvaient pas s’embrasser. Dans ce monde virtuel, le professeur Secoya ne s’était pas privé d’ajouter cet élément. Voir ainsi ce baiser me plongea alors dans une mélancolie profonde. Je songeai immédiatement à ce qu’Ayaka m’avait dit, et je me rendis à l’évidence : elle avait raison. Je m’assis alors sur la rive et contemplai l’eau demeurant immobile sauf par une quelconque agitation due au vent. Perdu dans mes pensées, je fus ramené à la réalité par une main touchant mon épaule. Je levai la tête et aperçus le visage d’Ayaka.
-Oh, c’est toi, dis-je en me relevant.
Je m’attendais à un reproche quant à ma réaction, mais rien. Mieux encore : elle s’avança et m’enlaça.
-Je suis désolée, dit-elle.-C’est plutôt à moi de m’excuser, je crois, lui dis-je en lui rendant son étreinte.
Elle posa alors sa tête sur mon épaule et sa main sur ma joue.
-Ton ex t’a quitté hier, et je voudrais que tu fasses comme si de rien n’était. Évidemment que tu ne peux pas, tu as besoin de temps.-Ce n’est pas ça, dis-je alors.
Voyant que j’étais on ne peut plus sérieux, Ayaka sépara nos corps et me regarda droit dans les yeux, m’encourageant à parler.
-J’étais aussi comme ça avec Stéphanie, entamai-je. Je ne lui parlais pas de moi, et elle ne me parlait pas d’elle. En fait, nous n’avons jamais eu la relation que nous avons, toi et moi, même si tu aimerais avoir plus.
Ayaka me regardait en buvant mes paroles comme s’il s’était agi d’une source d’eau sacrée.
-Je ne sais pas pourquoi je me suis renfermé, poursuivis-je. Peut-être parce que j’avais peur qu’elle ne me juge, ou qu’elle ne me repousse.-Mais je ne te repousserai pas, dit alors Ayaka. Au contraire, j’ai envie de savoir. Je veux savoir ce que tu aimes, ce que tu n’aimes pas. Je veux que tu me dises comment tu te sens, ce qui te passe par la tête. J’aimerais connaître tous ces détails, alors s’il te plaît donne les moi.-Je...ne sais pas quoi dire, admis-je.-Alors dis-moi quelque chose, n’importe quoi.
Je réfléchis. Mais pourquoi réfléchissais-je ? Tout ce qu’Ayaka me demandait, c’était de lui dire ce qui me passait par la tête, de lui parler. Pourquoi était-ce donc si difficile ? Il me suffisait de lui dire ce que j’aimais. Je sentis alors le courage revenir en moi lorsque la main d’Ayaka attrapa la mienne, la pressant avec attention.
-J’aime la mer, commençai-je. Quand j’étais petit, mes parents m’emmenaient souvent à la plage. Je me souviens que je pouvais rester des heures dans l’eau à contempler les vagues, le sable sous mes pieds, les bateaux voguant à l’horizon. J’adorais aussi faire des châteaux de sable, même si mon père en faisait des bien plus beaux que les miens. J’adorais ensevelir mes pieds en les recouvrant de sable humide, comme tous les gosses, je crois.
Ayaka me regarda alors, émue.
-Une fois que nous serons sortis d’ici, nous n’aurons qu’à aller nous promener à la plage, dit-elle alors. Nous marcherons dans le sable, en essayant d’en envoyer sur le dos des gens qui bronzent. J’adorais faire ça quand j’étais gamine. Mon père me grondait souvent, mais je recommençais à chaque fois.
Je l’écoutais, et je me surpris à apprécier d’en apprendre plus sur elle. Je l’écoutais me raconter son enfance, ensuite je lui narrai l’un de mes souvenirs, et ainsi de suite pendant un certain temps, mais à aucun moment nous ne jugeâmes l’autre. C’était de ça dont j’avais peur ? Si j’avais su que c’était aussi agréable de se confier, j’aurais commencé plus tôt.
-Mais il y a encore une chose que j’aime, et c’est sans doute celle que je préfère.
Ayaka attendit que je lui disse cette fameuse chose, mais je la fis intentionnellement attendre. Elle me frappa légèrement l’épaule lorsqu’elle vit que je m’amusais de la voir s’impatienter.
-Allez, accouche, je veux savoir, dit-elle en me fixant.-Ce que j’aime par dessus tout, Ayaka, c’est toi.
Elle me lança alors un regard attendri avant de m’embrasser. Ses mains se baladèrent alors sur mon torse, comme si elle cherchait à mémoriser la moindre courbe de mon corps. Je me dis alors que j’avais également le droit de la toucher, et mes mains atteignirent son dos et son cou. Notre baiser se fit passionné, et bientôt ma main tomba sur ses fesses tandis que la sienne fit de même.
-Attends, tu ne penses pas qu’il faudrait faire ça ailleurs ? Il y a des PNJ juste à côté, me rappela-t-elle.-Justement, ce ne sont que des PNJ. Ils ne sont pas programmés pour nous espionner. Et puis, je te rappelle que, dans la forêt, c’était aussi visible de tous.
Elle ne chercha pas à discuter davantage et s’abandonna aux plaisirs de nos caresses. Puis, jugeant que l’on était allé trop loin pour s’arrêter, je fis passer son tee-shirt par-dessus sa tête et le posai sur le sol. Je vis alors une étincelle s’allumer dans son regard, et aussitôt mon tee-shirt rejoignit le sien. Nous fûmes alors très vite nus, nous soumettant aux touchers de l’autre. Debout, devant cette petite étendue d’eau, nous laissâmes le vent faire flotter nos cheveux.
-Je me demande si le professeur a codé une option « mouillé », dis-je.-Tu n’as qu’à me toucher si tu n’es pas convaincu, dit-elle en m’embrassant.-Je ne parlais pas de toi, je pensais plutôt à ça.
Sans lui demander son avis, je la pris dans mes bras et nous jetâmes ensemble dans l’eau, éclaboussant le couple de PNJ qui ne s’en soucia guère. Je nageais, Ayaka encore dans mes bras, jusqu’à ce que je découvrisse que j’avais pied. L’eau m’arrivait à la base du cou, et Ayaka devait se mettre sur la pointe des pieds pour que sa bouche ne fût pas immergée.
-Tu as ta réponse, je crois, dit Ayaka en essuyant l’eau qui lui coulait dans les yeux.
Je lui souris avant de la lâcher afin que nous pussions reprendre là où nous nous étions arrêtés. Nos baisers reprîmes alors de plus bel, à la différence prêt que l’eau sur notre peau décuplait toutes les sensations éprouvées.
-Ne bouge pas, me dit alors Ayaka.
Je lui obéis tandis qu’elle plongea sous l’eau. Je me demandai ce qu’elle mijotait, jusqu’à ce que je sentisse sa main se refermer sur mon membre. Ensuite, je sentis une chaleur envahir ce même endroit. Je compris alors qu’elle m’avait pris en bouche. Elle se tenait à mes cuisses afin de ne pas remonter accidentellement à la surface, et ainsi elle m’offrit une quarantaine de secondes de fellation sous-marine. Passé ce délai, elle remonta à la surface afin de reprendre sa respiration, puis réitéra cette pratique deux fois. Les sensations exquises que j’avais ressenties me donnèrent alors envie de lui rendre la pareille, aussi plongeai-je à mon tour sous l’eau afin d’atteindre son sexe qui n’attendait plus que moi. Je me plaçai sous ses jambes et levai la tête afin que ma bouche entrât en contact avec ses lèvres ouvertes. Je commençai alors à jouer de ma langue, incapable d’entendre les réactions de ma partenaire. Mes mouvements ralentis et la perpétuelle poussée d’Archimède souhaitant me ramener à la surface m’amusèrent légèrement, bien qu’il compliquassent assez grandement ma tâche. Pourtant, après une trentaine de secondes, je remontai afin de reprendre mon souffle.
-Alors comme ça, on manque d’endurance, se moqua-t-elle.-Tout le monde n’a pas ton talent d’apnée, répliquai-je en riant.-Et ton gland en est le premier heureux, dit-elle en mettant la main au panier.
Je la laissais me caresser, appréciant le contact de sa main sur mon scrotum durci.
-J’ai envie de toi, maintenant, lui dis-je alors à l’oreille.-Je te laisse te servir, sourit-elle en se retournant.
Elle se pencha alors en avant, faisant disparaître son corps dans l’eau. Je sentais néanmoins son fessier entrer en contact avec mon sexe et le caresser par quelques mouvements oscillants. Je m’aidai alors de ma main afin de trouver l’entrée de sa fente que je pénétrai sans tarder. En entrant en elle, j’eus du mal à retenir un jouissement ; les différences de température et de texture étaient merveilleuses. Je fis plusieurs mouvements de bassin, jusqu’à ce qu’Ayaka eût besoin de reprendre son souffle. Elle remonta alors à la surface, mais je n’arrêtais pas de lui faire l’amour pour autant.
-Viens au fond de l’eau avec moi. Tu vas voir, c’est génial, me dit-elle avec un air de luxure inédit.
Nous vidâmes alors nos poumons de tout l’air dont ils étaient emplis et plongeâmes dans l’eau jusqu’à atteindre le fond. Là, Ayaka s’allongea sur le dos, et je la rejoignis en position de missionnaire. Elle ne m’avait pas menti, pensais-je alors. Les sensations du coït sous-marin étaient merveilleuses, si bien que je venais de me trouver une nouvelle raison d’adorer la plage. Notre ébat dura encore plusieurs minutes, ponctué çà et là de quelques séances de respiration à la surface. Il ne me fallut que quelques petites secondes supplémentaires pour que je finisse enfin par jouir dans le vagin d’Ayaka. Lorsque j’ôtai mon pénis de sa chambre secrète, un mince filet blanchâtre s’y échappa et se propagea à l’aveugle dans l’eau, sous le regard amusé de ma petite-amie. Nous remontâmes bientôt à la surface et sortîmes de cette grande étendue de H²O.
-Je ne pensais pas que l’eau pouvait faire autant de bien, dit-elle en ahanant.-Tu l’as dit. Maintenant, j’ai hâte que nous allions nous balader à la plage dans la vraie vie.-En espérant qu’un poisson ne vienne pas gober ton foutre une fois sorti, plaisanta-t-elle.-T’es dégueulasse, dis-je en riant.-Bah quoi ? En plus, ç’avait la forme d’un têtard.-La nouvelle espèce de têtard albinos, ris-je alors en la dévorant du regard.
Nous nous fîmes alors les yeux doux devant les PNJ qui, comme je l’avais prédit, n’avaient pas fait attention à nous.
-Bon, c’est pas tout ça, mais après la baise, il faudrait se reconcentrer sur le jeu.-Je ne te le fais pas dire. Allons voir Léo vite fait, histoire que l’on puisse s’entraîner pour Ondine.
Nous entrâmes alors dans la maison du Pokémaniac prénommé Léo, un PNJ lui-aussi. Nous étions encore nus ; nous ne voulions pas qu’en plus de nos corps, nos vêtements fussent trempés. Nous obtînmes alors le Passe Bateau, objet rare qui nous permettra de monter à bord de l’Océane, un bateau de croisière. Pour cela, il avait suffit de redonner sa forme humaine à ce PNJ qui, à la suite d’une expérience ratée, s’était transformé en Mélofée.

Nous sortîmes de cette demeure, puis l’icône représentant une lettre s’alluma : nous avions du courrier.
-Les autres veulent se rejoindre pour un conseil pré-arène, dit alors Ayaka. Il va falloir se dépêcher, ou on va encore être les derniers.-Tu n’en as pas marre ? dis-je alors.-Marre de quoi ?-De faire comme s’il n’y avait rien entre nous devant les autres.
Je vis alors le regard d’Ayaka briller subitement. Apparemment, elle voulait également que ça change.
-Je rêve, ou tu es en train de devenir l’homme parfait, dit-elle sur un ton trop enjoué pour qu’elle fût totalement sérieuse.-Parce que je ne suis pas déjà parfait ? plaisantai-je.-Tu me rappelles combien de temps tu tiens sous l’eau, se moqua-t-elle derechef.
Je lui lançai un regard de défi, le même que celui que j’avais lancé dans la forêt de Jade, ce regard qui signifiait « tu es sûre de ce que tu dis ? ». Elle répéta afin de me narguer.
-Dans ce cas, laisse-moi officialiser notre relation auprès des autres.
Je me mis alors à répondre sur le forum du groupe. Ayaka ouvrit de grands yeux et éclata de rire lorsqu’elle vit le message.
-T’es sérieux ? Timing parfait, je viens juste de finir de baiser Ayaka.-Ils penseront sûrement à une blague, dis-je en riant également.
Sans perdre de temps, nous nous rhabillâmes, malgré le fait que nous ne fussions pas tout à fait secs, et partîmes en direction de l’arène d’Azuria.

-Voilà notre petit plaisantin, s’exclama Pika-sama, l’un des dix-neuf joueurs restants. Ma parole, vous vous êtes baignés, s’exclama-t-il en remarquant l’eau qui coulait le long de nos corps.
Nous rejoignîmes alors le groupe, et comme toujours nous étions les derniers.
-Plaisantin ? fit remarquer Ayaka.-Tu as lu le message qu’il a laissé sur le forum ? demanda Pika-sama.
Un sourire apparut alors sur le visage de ma petite-ami. Elle tourna alors son visage vers le mien, et sans que rien n’eût été préparé à l’avance, elle m’embrassa devant tout le monde.
-Les gars, je vous présente mon mec, dit-elle alors à haute voix. D’ailleurs, ceux d’entre vous qui en doutent peuvent aller vérifier dans le bassin devant chez léo, son foutre devrait encore être en train de nager.-Parce que vous l’avez vraiment fait ? s’exclama alors MissMalice.-Et dans l’eau, ajoutai-je. Comme des dauphins. Des dauphins trempés.
Tous les bêta-testeurs sifflèrent alors, célébrant notre nouvelle relation. Ce fut comme si, pendant ces quelques secondes, la tension emmagasinée par ce jeu mortel était retombée.
-C’est beau tout ça, dit DragonChild, mais il faudrait savoir qui va affronter Ondine devant tout le monde. La stratégie a bien fonctionné la dernière fois, il ne devrait pas y avoir de problème en recommençant.-Je vais y aller, se désigna alors MissMalice en levant la main en l’air.
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