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PokémonVR

Chapitre 9

Sacrées hormones

Avec plusieurs femmes
J’étais seul, dans le noir le plus total, bercé par le flot des vagues, allongé sur le lit de la chambre qui m’était réservée. Allongé sur les draps blancs sur lesquels un motif de vagues bleues était imprimé, je me repassais la journée infernale que nous avions connue. Si ma victoire sur Ondine m’avait semblé mystérieuse, elle l’était désormais beaucoup moins. Seulement, cela ne voulait pas dire que j’avais une réponse à chacune des questions que je me posais. Pourquoi Secoya m’avait-il épargné ? Pourquoi avoir pris une vie à la place de la mienne ? Pourquoi celle de Pika-sama ? Et plus simplement, pourquoi avoir créé un jeu pareil ? Ces questions, je savais qu’Ayaka se les posait également. Mais ce n’était pas elle qui était rongée par le remords chaque fois qu’elle repensait au cadavre de Pika-sama. Un joueur était mort à cause de ma moi. J’aurais tout aussi bien pu le tuer de mes mains que le résultat n’aurait pas été un iota différent. Je posais mes mains sur mon front, incapable de m’endormir avec toutes ces choses qui se bousculaient dans mon crâne. J’essayais diverses positions afin de faciliter l’arrivée de Morphée, mais rien ne semblait y faire. Tandis que j’essayais la mille sept-cent quatre-vingt-dix-neuvième, j’entendis un léger tapotement. Je crus avoir halluciné, mais lorsque le tapotement se fit entendre derechef, je compris que quelqu’un frappait à la porte. Je me levai de mon lit défait sans trop de difficultés et me dirigeai vers la porte. Je retins un juron lorsque je me cognai le genou contre l’armoire posée contre le mur à ma droite, juste à côté d’une psyché. Je me redirigeai vers la porte, en faisant attention à ne pas foncer droit dans le meuble à télévision, à gauche de la porte. Lorsque j’atteignis cette dernière, je l’ouvris et découvris Ayaka, en nuisette blanche retenue par deux bretelles menaçant à tout moment de glisser le long de ses frêles épaules.
-Je n’arrive pas à dormir, se plaignit-elle en se frottant les yeux. Tu veux bien que je reste avec toi ?
J’acquiesçai et la laissai entrer. J’ignorai si elle se rappelait que deux personnes ne pouvaient dormir dans un même lit : ceux-ci étaient bien trop petits.
-Je peux allumer la lumière ? demanda-t-elle ensuite.
J’appuyai sur l’interrupteur, à droite de la porte, et la lumière fut. Je dus retenir un petit cri de douleur lorsque mes yeux furent éblouis, mais ils s’accommodèrent rapidement ; je pus à nouveau voir normalement. Ayaka était déjà assise sur le bord du lit, jambes croisées. Ses cheveux, partiellement démêlés, retombaient sur ses épaules en une pagaille brune.
-Désolée, dit-elle. Je ne peux pas m’enlever Pika-sama de la tête.-Moi non plus, admis-je. Impossible de fermer les yeux sans le revoir.
Une larme perla au coin de l’œil de ma petite-amie virtuelle. Je m’empressai de m’asseoir à côté d’elle et la pris dans mes bras.
-Pourquoi est-ce qu’on doit traverser ça ? céda-t-elle. Pourquoi faut-il que nos vies soient en jeu ?
Ne sachant que dire, je gardai le silence. Un long silence perturbant. Un long silence pendant lequel Ayaka se laissait aller contre moi, ses poings serrant mon haut de pyjama noir. Puis il y eut un nouveau tapotement à la porte. Je me levai après qu’Ayaka m’eût lâché et allai ouvrir. MissMalice se trouvait de l’autre coté de la porte, en robe de chambre rose. Ses cheveux blonds, quant à eux, étaient encore lisses, à croire qu’elle n’avait pas encore essayé d’aller se coucher.
-Désolée si je te dérange, mais il fallait que je te parle, dit-elle gênée en apercevant mon absence de bas de pyjama par dessus mon caleçon noir.
Je lui fis un signe de main signifiant qu’elle pouvait entrer. Elle ne fut vraisemblablement pas surprise de trouver Ayaka dans ma chambre, mais contrairement à cette dernière, elle resta debout jusqu’à ce que je lui indiquasse qu’elle pouvait s’asseoir. Elle prit place à côté d’Ayaka, et je m’assis par terre, en face des deux femmes.
-Si c’est une technique pour regarder entre nos jambes, ce n’est pas très subtil, me fit remarquer Ayaka en souriant légèrement.
Je me sentis alors gêné au possible, je n’avais jamais eu cette intention. MissMalice sembla le remarquer, bien que ses jambes étaient exagérément serrées et ses mains plaquées contre son bas-ventre.
-Désolé, je suis un peu con quand je suis fatigué.
Je me levai et me décidai à m’asseoir au niveau de mon oreiller, après avoir proposé aux deux filles de prendre place de telle sorte que nous formassions un triangle. Ayaka, assise en tailleur, et moi regardions la dernière arrivée : nous voulions savoir de quoi elle voulait nous parler.
-Je suis venue pour m’excuser, débuta-t-elle, les joues empourprées.
La surprise me frappa de plein fouet : je m’attendais à tout sauf à cela.
-T’excuser ? répétai-je. T’excuser de quoi ?-De vous avoir surpris ensemble, l’autre jour. Vous avez dû me prendre pour la dernière des perverses.
Je ne pus contenir un léger ricanement, ce qui agaça la jeune blonde.
-Ce n’est pas censé te faire rire, s’indigna-t-elle.-Désolé, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. C’est juste que tu t’excuses pour t’être promenée, alors ça m’a fait rire.
Cette fois, ce fut son visage qui laissa transparaître sa surprise.
-Attends, tu veux dire que ça ne t’a pas dérangé de savoir que je vous avais vus ?-En fait, je me suis surtout dit qu’on avait dû passer pour des nymphomanes en manque.-Je n’ai jamais penser ça de vous deux, répondit-elle aussitôt.
Sa réponse semblait sincère, mais je sentis, sur son visage, que quelque chose clochait. Quelque chose la tiraillait, mais je n’aurais su dire quoi.
-Mais ? ajoutai-je.-Il n’y a pas de mais, me répondit-elle.-Pourtant, j’ai l’impression que tu ne nous dit pas tout.
Elle souffla légèrement, mais cela ne semblait pas être dû à l’agacement.
-Je peux être franche sans que tu t’énerves ?-C’est plutôt que je vais m’énerver si tu n’es pas franche, répliquai-je.-C’est juste que j’ai encore du mal à digérer que tu puisses tromper ta copine.
Ayaka réagit aussitôt, moi aussi.
-Qu’est-ce que tu racontes ? Je n’ai pas trompé Ayaka.-Ne fais l’innocent, me répondit MissMalice en me regardant droit dans les yeux. Ta copine, celle avec qui tu es arrivé IRL (In Real Life = dans le monde réel).-Attends, tu parles de Stéphanie ?
Soudain, je compris tout ce qui se passait avec MissMalice. Les regards qu’elle nous jetait, masqués par la gêne. Elle pensait que nous étions un couple adultère.
-C’est vrai que je n’ai prévenu personne, admis-je tout bas.-Prévenu personne de quoi ? insista MissMalice.-Mon couple avec Stéphanie battait de l’aile. Nous sortions peu, parlions peu, couchions peu ensemble. Nous avons rompu la nuit de notre premier essai de PokémonVR.
Je lui cachai volontairement la raison qui avait précipité cette rupture : je l’avais bel et bien trompée. Je vis alors la bouche de MissMalice s’ouvrir en grand. Elle semblait avoir du mal à réaliser ce que je venais de dire, et je voyais sur son visage qu’elle se sentait stupide.
-Vous devez me prendre pour la dernière des connasses, dit-elle, les mains devant son visage.-Tu ne pouvais pas savoir, la rassurai-je.
Bien qu’elle se sentît gênée, je sentais que sa réaction était quelque peu exagérée. Comme si elle avait honte de quelque chose, et donc qu’elle ne m’avait pas encore tout dit.
-Laisse-moi deviner, parla Ayaka pour la première fois, tu t’es dit que si je pouvais être une amante, alors tu aurais aussi le droit à un petit coup ?-Quoi ?! Mais que … qu’est-ce que tu racontes ?
Le visage de MissMalice tourna au cramoisi.
-Pas la peine de le cacher, les femmes voient ce genre de choses. Dis-moi, ça fait combien de temps que tu ne l’as pas fait ?-Je ne l’ai jamais fait, répondit MissMalice qui ramena ses genoux contre son torse afin de cacher son visage.-Je comprends, alors ce sont simplement tes hormones qui te travaillent. Crois-moi, laisse-toi aller et tu te sentiras mieux. Allez Clifford, fais lui oublier son problème.
Il me fallut plusieurs secondes pour réaliser qu’Ayaka, ma petite-amie, venait de me demander de coucher avec une femme, une amie rencontrée depuis à peine une semaine, qui plus est, et sans doute allait-elle assister à tout.
-Je ne peux pas faire ça, dit alors MissMalice.
Ayaka descendit du lit en un temps record et ferma la porte de ma chambre à clé avant de rester contre la porte, bloquant le seul moyen de sortir.
-Je ne peux pas te laisser dans cet état. Depuis que tu nous as vus, RedCliff et moi, en train de baiser, tu ne penses qu’à ça, je me trompe ?-Arrête, s’il te plaît.-Tu n’as pas besoin de le nier. Tu te fais plus de mal que de bien en faisant ça. Tout ce que tu as à faire, c’est retirer cette jolie robe de chambre et te laisser bercer par le bassin de mon copain.
MissMalice sembla hésiter, mais après une intense réflexion elle dénoua la ceinture permettant au tissu de recouvrir son corps.
-MissMalice, tu en es certaine ? Bégayai-je.
Elle ne répondit pas. Elle se contenta de faire tomber la robe de chambre rose sur les draps avant de la repousser jusqu’à ce qu’elle se retrouvât sur le sol, juste devant ma petite table de chevet que je n’utilisais d’ailleurs pas. Je reportai mon attention sur la femme assise en face de moi, totalement nue. Ses cheveux, glissant de ses épaules jusqu’au creux entre ses seins, semblaient briller pour une raison que j’ignorais. Son corps fin, que je pouvais découvrir pour la première fois à l’air libre, me faisait penser qu’elle était réellement une belle femme. Ses jambes parfaitement épilées -mais cela était surtout dû au jeu- masquaient son entre-jambe.
-MissMalice, je...-Tais-toi, m’intima Ayaka, et donne-lui ce qu’elle mérite.
Ayaka semblait être devenue autoritaire, mais je vis au sourire barrant son visage que cela l’amusait trop pour qu’elle fût sérieuse. Je me focalisai derechef sur ma partenaire du soir et m’aperçus qu’elle s’approchait lentement de moi en glissant par saccades sur ses jambes nues.
-Je... ne... sais... plus... quoi...ce que... je...nous...... Et puis merde ! rugit MissMalice en se jetant littéralement sur moi.
Je tombai, le crâne sur mon oreiller et le dos contre les draps. Ma partenaire blonde était allongée sur moi, ses seins compressés contre mes pectoraux, aussi développés que devaient l’être ceux des gamers, me caressaient tandis qu’elle s’agitait dans tous les sens, provoquant en moi un désir diaboliquement délicieux. Et ce même si j’avais encore mon haut de pyjama recouvrant ma peau. Comme si je n’avais rien été d’autre qu’un morceau de viande crue, elle posa sa bouche contre la mienne et força la passage avec sa langue. Elle n’y allait pas mollement, la bougre, remarquai-je tandis que son organe lingual tourbillonnait autour du mien. C’en était presque douloureux. Je décidai de la stopper lorsqu’elle réussit à envoyer ma langue contre l’une de mes dents. Je posai mes mains contre ses épaules et la repoussai légèrement. Son visage prit un air surpris, et aussitôt elle contesta mon action.
-Je pensais que tu étais d’accord, se plaignit-elle.-Là n’est pas le problème. Je t’ai arrêtée parce que tu m’as embrassée comme si tu voulais me dévorer. Or, un baiser est quelque chose de sensuel, même s’il n’est pas passionné. Tiens, regarde.
Afin de lui fournir un exemple digne de ce nom, je l’embrassai à mon tour. Sa bouche, ouverte, accueillit mon organe qui, aussitôt, alla caresser cette chose qui m’avait maltraité précédemment. Je la sentis gémir, ou plutôt essayer de gémir, tandis que je m’appliquai du mieux que je le pouvais. Lorsque je sentis qu’elle était prête à aller plus loin, ma main droite se posa sur son sein droit. Elle y trouva une bosse ferme mais adorablement exquise au toucher. MissMalice pencha sa tête en arrière, si bien que je ne pus continuer notre embrassade. Elle poussa alors quelques cris qui aigus qui, sans doute, ne seraient pas analysés par les PNJ dormant dans les chambres voisines, s’il s’agissait bien de PNJ. Je me rappelai alors que les chambres voisines étaient celles d’Ayaka et de la femme que j’embrassais quelques secondes auparavant.
-Je ne peux plus ignorer son appel, couina-t-elle alors en reculant son corps tout en se penchant en avant.
Ses lèvres, brillantes de salive -j’étais totalement incapable de dire s’il s’agissait de la mienne ou non-, se posèrent sur le tissu de mon caleçon, tendu au niveau de son centre. Elle y déposa trois doux baisers avant de poser ses mains sur le tissu de mon sous-vêtement et le baissa progressivement jusqu’à mes genoux. Je sentis alors une douce sensation de chaleur m’envahir le bas du corps. Humide et ardemment agréable, je ne pouvais qualifier autrement ce qu’elle me prodiguait. Elle semblait avoir compris que la précipitation ne faisait que ruiner ce genre de moments. Elle s’appliquait énormément et cela se ressentait. Je ne fus guère long afin de repousser son visage et la faire s’arrêter.
-Désolé, dis-je, mais à ce rythme là, tu m’aurais achevé sans avoir pu bénéficier de ta part.
Elle me sourit et ôta mon tee-shirt, sans doute n’avait-elle pas remarqué que je l’avais sur moi avant cet instant. J’étais tout aussi nu qu’elle, mais je n’avais pas un filet de salive coulant le long de mon menton. Elle semblait confuse de ce qu’elle venait de faire, comme si elle ne réalisait pas totalement. Je profitai de cet instant pour plonger ma tête entre ses jambes et sortis la langue. Plus par enthousiasme que par surprise, elle poussa un cri qui me poussa à redoubler d’intensité. Je m’occupai d’elle à l’image des efforts qu’elle avait fournis lorsque cela avait été mon tour. Je parcourus l’épiderme hautement érogène de cette zone féminine et la fis frémir par quelques tours de langue. Comme quoi, tourner sept fois sa langue autour d’un certain point n’avait pas du tout le même résultat que lorsqu’il s’agissait de sa bouche. Elle posa ses mains sur mon crâne, et si je m’attendais à la voir appuyer pour accentuer les sensations de ce ballet des plus spéciaux, je fus surpris de la voir me repousser.
-J’ai envie de le faire, là, maintenant. Je ne peux plus attendre.
Comme pour illustrer ses propos, MissMalice me poussa en arrière ; je me retrouvai sur le dos, mon crâne reposant sur mon oreiller douillet. Ma partenaire d’un soir, repoussant une mèche récalcitrante de ses cheveux blonds derrière son oreille, m’enjamba. Chacune de ses jambes se trouvait d’un côté de mon corps, ses genoux l’empêchant de tomber à la renverse. Elle abaissa lentement son bassin avec un rythme saccadé par l’appréhension qu’elle ressentait. Après tout, elle avait avoué n’avoir jamais pratiqué la chose, et sans doute craignait-elle que la pratique ne fût douloureuse. Mais une fois que nos deux fragments de corps entrèrent en contact, je la sentis tressaillir tandis qu’une chaleur humide enivrait mon corps. Je butai alors sur une paroi que j’identifiai immédiatement comme étant la preuve de la pureté féminine. Dès lors, elle tenta de la faire céder, mais cela ne fit que lui arracher quelques cris de douleur. J’allais lui proposer d’abandonner si elle le désirait lorsqu’Ayaka intervint et posa ses mains sur les épaules de MissMalice. La jeune blonde, au comble de la surprise, tourna alors la tête vers ma petite-amie.
-Je sais que ça fait mal, mais il faut que tu passes par là, lui chuchota-t-elle à l’oreille.
Sans attendre une quelconque réponse de la part de notre nouvelle amie, Ayaka augmenta la pression qu’elle exerçait sur les épaules de ma partenaire, si bien que je la sentis s’enfoncer petit à petit. Je sentis alors un craquement et une intense chaleur recouvrir cette partie de mon corps, le tout sous un cri de souffrance de MissMalice. Je vis également quelques larmes perler aux coins de ses yeux. J’étais immobile, attendant qu’elle se sentît mieux. Mais encore une fois, Ayaka, qui avait abandonné sa nuisette sur le sol de ma chambre, ne lui laissa pas de répit. Elle enjamba mon visage afin de se mettre en position assise et approcha chacune de ses lèvres de nos bouches, à MissMalice et moi. Cette situation m’embrasa et je ne pus contenir un coup de rein. MissMalice réagit aussitôt à ce geste et posa ses mains au-dessus de mon pubis. Elle commença alors à aller-venir, sa bouche toujours reliée à celle de ma petite-amie, elle-même assise sur mon visage. Une sensation légèrement acide caressa alors mon palais tandis que je ne pouvais fermer la bouche. Ayaka, quant à elle, ondulait du bassin tout en poussant quelques cris joviaux. Nous maintînmes cette position plusieurs minutes durant, jusqu’à ce que, dans un concerto extatique, je sentis MissMalice se libérer de la pression accumulée. Les contractions qui caressèrent ma chair ne mirent pas plus longtemps afin de me libérer également. À peine quelques secondes plus tard, je sentis une pluie physiologique éclabousser mon visage. Incapables de tenir plus longtemps, les deux filles s’effondrèrent chacune sur le côté et s’endormirent. Je ne mis guère longtemps à la rejoindre, le temps de déplacer mon visage et de libérer mon corps de l’attraction de ma partenaire blonde.
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