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Poney boy

Chapitre 1

SM / Fétichisme
On avait eu de la chance !Tous les deux assis contre un box, nous laissâmes nos respirations se calmer, bercés par le tambourinement régulier de la pluie.Si je n’avais pas eu l’idée d’une course "le premier qui arrive à l’écurie à gagner", nous serions dehors, sur nos pauvres chevaux, trempés jusqu’aux os.— Tu as perdu ! Triompha Camille le sourire aux lèvres.Je soupirai.— Cobalt était fatigué et il a un concours ce week-end, je n’allai pas le pousser à fond ?— TU as quand même perdu.— Oui.— Donc tu as un gage !Je haussai les sourcils et me tournai vers Camille. Ses longs cheveux blonds étaient accrochés vers l’arriéré en queue de cheval et son joli visage arbora un petit air espiègle que je lui connaissais bien. Il faut dire qu’avoir passé deux années ensemble à faire de l’équitation depuis la quatrième, on a fini par se connaître par cśur.Mais laissant là mes souvenirs avec ma meilleure amie, je m’inquiétais de ce revirement de situation.— Hé ! Mais ce n’était pas prévu ça ! Tu triche !Camille fit semblant de se fâcher et fronça des sourcils.— Alors comme ça tu me traite de tricheuse, mauvais joueur ?— Mais non, vas-y pour ton gage si ça te fait plaisir. Je la taquinais, ah les gamines de nos jours...— Attends ! Je te rappelle que je fais cinq centimètres de plus que toi ! A ta place je ferais moins le fier !— Nan, quatre ! Protestai-je.— Bon, concéda-t-elle, quatre si tu veux.Je m’étirai en me relevant. Autant en finir au plus vite, et puis ce sera marrant. De plus, avec ces trombes d’eau il n’y a pas grand-chose à faire en attendant l’arrivée des parents.— Alors, que dois-je faire madame la gagnante ?— Je ne sais pas...— QUOI !? ( !+? = doute de son affirmation)— Mais non, rigola-t-elle, je plaisante. J’ai déjà ma petite idée en tête, ferme les yeux.Je m’exécutais.— Tu me donne ta parole que tu ne les ouvres pas tant que je ne te l’ordonne pas ?
— Oui, parole !Elle s’éloigna, s’activa et, quelques bruits de chutes plus tard, je l’entendis revenir.— Met toi à quatre pattes Charles.Le sol de l’écurie étant sec, j’obéis de bonne grâce.— Tu me promets de te laisser faire et d’aller jusqu’au bout ?— Euh... ça dépend, hasardais-je.— Si c’est pour ton gage ? Insista-t-elle.— Bon, d’accord, capitulai-je.Quel imbécile je faisais ! Je ne compris le piégé que quelques secondes trop tard, c’est à dire lorsque je sentis le poids de la selle se poser sur mon dos.Je sais, j’aurais dû protester, me plaindre, m’énerver, crier, mais bizarrement, je ressentais plus une excitation me gagner et une chaleur envahir mon bas ventre.Camille s’amusa à me passer les sangles et à bien les serrer. Je ressentis sais une gêne grandissante, surtout que je savais que l’une des sangles devait passer entre mes deux jambes, mais cela ne fit qu’augmenter mon érection, que le pantalon bleu clair moulant d’équitation mettait bien trop en valeur.Finissant comme par hasard par cette sangle, Camille nota avec amusement la bosse qui s’était formée et pris un malin plaisir en serrant avec force la dernière sangle.Je gémis.— On dirait que tu aimes bien ça Charles?— Mais non, tentais-je de me disculper, ce n’est pas fait exprès.Elle rit.— Tu sais, on a eu les même cours de SVT, donc avoue que tu aimes ça être traité comme un cheval.Je baissai la tête, aussi excité que mort de honte.— Camille, j’aime bien être sellé comme un cheval...Elle me caressa alors les cheveux gentiment. Puis prit un autre objet.— Bon, ouvre la boucheDocile, sans émettre la moindre protestation, je la laissai m’installer les mors dans la bouche? Ceci étant fait, je les testai en tentant vainement de fermer ma bouche; mais la barre en métal m’en empêcha.— Ah...ille !Je n’arrivai même pas à prononcer le prénom de ma copine.— Du calme mon cheval, du calme, dit-elle avec la même voix que lorsqu’elle s’adressait à sa jument.Elle s’installa sur la selle et, tirant un coup sec sur la bride, me fit relever violemment la tête.— Hue, petit cheval !A quatre pattes, humiliées, j’avançai sous les directives de ma cavalière. J’étais plus heureux que jamais. Je bandais et j’aimais ça.Nous étions à notre deuxième aller-retour lorsque, Horreur ! Je m’aperçus d’une présence !Postée à l’entrée, Constance, une camarade de classe et de club d’équitation, nous filmait en souriant avec son IPhone?Me soulageant de son poids, Camille descendit de la selle et, me tirant par la bride, s’approcha de Constance. Je n’osais regarder ma copine dans les yeux et restai à contempler ces bottes.— Tu veux essayer cette monture ? T’en fais pas, il aime ça !La jeune fille eu un sourire narquois.— Oui, mais je trouve qu’il lui manque quelque chose...Une note d’intérêt perça dans la voix de ma meilleure amie.— Quoi donc ? Tu as une idée ?— Il lui manque une queue à l’arrière entre ses fesses !Je blêmis? Une idée me traversa l’esprit, me fit bander. Elle n’alla quand même pas...Constance chuchota un instant avec Camille qui acquiesçât puis, une expression mauvaise au visage, s’approchèrent de moi.— Non ! M’écriais-je en tentant de me relever.Mais, hélas, sans trop d’effort, elles me maîtrisèrent et m’enlevèrent mon pantalon et mon boxer.Constance prit sa cravache et me cingla violemment mes fesses nues d’un geste expert. Les mors étouffèrent mon cri de fillette. Ça allait trop loin ! J’aurai voulu m’arrêter là, mais le mal était fait !— Tiens-toi tranquille, m’ordonna ma dresseuse, ou je te mets le cul en sang avant d’envoyer la vidéo ?Je me figeai.Camille vient se mettre à mon niveau et me caressa la tête comme un chien.— C’est bien Charles, tu apprends l’obéissance?Elle resta gentille, même en m’humiliant et, bizarrement, je voulais la rendre fière de moi.C’est sous la surveillance menaçante de Constance que, pour ma plus grande honte, mais aussi pour mon plus grand plaisir, ma meilleure amie m’écarta les fesses et introduisit une longue touffe de pailles dans mon anus, me faisant gémir de plaisir...ce qui la fit rire.— Je ne te connaissais pas comme ça Charles. Heureusement que j’adooore les chevaux !Constance lui tendis son IPhone.— Je te laisse filmer, je m’en vais le dresser ce petit poney ! Elle éclata de rire, il va filer doux ensuite !— Vas-y, l’encouragea Camille, te gêne surtout pas. Je te fais confiance.Pour commencer, après s’être installée, Constance resserra à fond les mors, me faisant pleurer de douleur.— Ça t’apprendra à prendre tes pieds pendant que l’on te dresse petit poney !Mettant toute sa force dans chacun de ses coups, Constance me cravacha pour me faire avancer tout en m’insultant d’être à ma place. Camille filmai la scène en se touchant machinalement l’entrejambe et semblait apprécier la situation. Moi, j’étais devenu leur cheval et j’en étais fier.
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