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La porte aux fous plaisirs

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Et moi,je me disais : demain soir, elle sera absente. Je tenterais de rentrer dans sa chambre, je ferais le code et je découvrirais ce qui peut l’avoir dévergondée à ce point.
Je me réveillais le matin vers 7 heures, encore émoustillée autant qu’intriguée par ce que j’avais vu hier soir. Comment expliquer que ma patronne après être passée nue derrière cette porte en soit ressorti maculée d’une crème blanche qui laisse penser des choses coquines sur son occupation dans ce lieu secret, du moins censé l’être car j’avais le projet d’aller voir l’envers du décor !La journée passait lentement, je savais que la patronne n’était pas la ce soir..J’irais donc faire semblant de me coucher dans ma chambre, mais au lieu de ça, je franchirais la porte aux fous plaisirs !
Vingt deux heures...
Je passais la porte de la chambre de Mme de Thomas et dans un silence pesant d’angoisse et d’excitation, je m’approchais de la porte pour taper le code fébrilement !...Deux...Cinq...Neuf...Quatre.Était ce le bon ?...Je me posais la question quand le verrou sauta, alors je franchissais rapidement le seuil de la pièce qui s’alluma à mon passage. Ce que je vis me figea sur place !
Il y avait trois hommes, attachés,avec des casques sur les oreilles et des masques sur les yeux...ils ne m’avaient même pas entendu entrer,sans doute que le casque devait diffuser un son assez fort.Mais ce qui me choquait surtout,c’était leurs vêtements...tout simplement parce qu’ils n’en avaient pas. Oui, ils étaient tous nus. Je pouvais voir leurs queues molles qui était maintenu dans un anneau prolongé par un bras qui rejoignait une machine assez imposante !...A quoi ce matériel pouvait-il bien servir ? je me posais la question, alors que je sentais mon sexe s’humidifier peu à peu. J’essayais de ne pas y prêter attention, toujours plongé dans ma réflexion.Mais soudain, je vis apparaître un rai de lumière sous la porte que j’avais refermé...Mon dieu ! La patronne était de retour.Je cherchais très vite un interrupteur pour éteindre la lumière, le trouvai et plongea la salle dans la nuit. La panique me gagna et ce encore plus quand je vis l’ombre de ses pieds devant l’entrée. Je décidai de me cacher au fond de la pièce derrière un siège. De ma position, je pouvais voir ce qui se passais. La patronne, comme hier, était nue. Je pouvais voir ses formes généreuses et sa belle chatte. Et,comme hier, je me remis de plus belle à mouiller. Mais Mme de Thomas, pendant ce temps là, s’était approché d’un pupitre avec des boutons dessus que je n’avais pas vu en rentrant. Je la vis appuyer sur des boutons, et alors sans que je ne comprenne pourquoi, je m’aperçus que les hommes se trémoussaient et que leurs quéquettes grossissaient peu à peu...Cela dura quelques minutes à l’issue desquelles la patronne appuya sur un nouveau bouton qui fit bouger les bras terminés par les anneaux. Ces messieurs avaient droit à une branlette en règle pendant que madame les regardait un par un, se gardant bien de toucher ces jolis membres qui me paraissaient bien bandés. Le charmant exercice prit vite fin,du moins pour deux de ces messieurs :
On pouvait voir devant eux le sol, maculé de sperme...Je ne comprenais pas comment ils avaient pu bander avant qu’elle n’enclenche les bras métalliques, plus généralement,je ne comprenais rien à ce qui s’était passé devant moi...Qui étaient ces trois hommes ?...Pourquoi étaient-ils la ?...Comment madame se retrouvait la ,à poil, en train de mater des sexes poisseux de sperme ?...je cherchais l’explication, mais mon regard se dirigea vers le troisième homme que madame avait détaché et entraîné vers un recoin de la pièce...Elle le fit s’asseoir sur un siège, puis lui enlevant masque et écouteurs, le regarda droit dans les yeux...Il n’avait toujours pas éjaculé, était-ce pour ça qu’elle l’avait pris avec elle ? Ce fut pendant cette interrogation que je la vis empoigner cette verge puis la caresser délicatement pour qu’elle retrouve de sa superbe...cela ne tarda pas, et soudain, madame se mit de dos à lui et posa son sillon fessier sur sa bite ! J’avais déjà entendu parler de la branlette grecque, mais n’en avais jamais vu jusqu’alors. L’homme avait l’air d’apprécier au vu de son regard et de ses soupirs. J’étais moi même surexcitée et avais passé une main sous mon sous vêtement pour me caresser la chatte !...caresses habiles , honteuses, mais délicieuses ! Mon autre main, elle palpait mon sein gauche !...Je sentais mon téton darder sous l’effet de ce pelotage mammaire ! Mais je ne devais pas jouir, de peur que madame de Thomas ne m’entende. Je ralentissais donc mes caresses, frustrée, mais toujours curieuse de ce qui se passait devant moi sur ce siège.La séance avec le troisième homme continuait, madame remuait son cul de plus en plus vite et je voyais bien que ce cher monsieur allait bientôt lâcher le yaourt !...Cela ne tarda pas, et je fus bouche bée de voir la patronne s’enduire les fesses et les seins avec le sperme qui avait giclé de cette bite qui avait déjà commencé à rétrécir !
L’homme fut replacé, avec masques et écouteurs à sa place...madame alla de nouveau au pupitre, selon moi, pour tout désactiver puis toujours nue sortit de la pièce. J’étais seule dedans, et ne pouvant pas échapper à l’appel du plaisir, je recommençais mes caresses sur ma nénétte en feu. Mon vagin réclamait des doigts, et je lui fis ce plaisir...pas besoin de chercher un fantasme lointain, le fait d’avoir assisté à tout ce que je vous ai conté était plus puissant que ce que mon imagination pouvait inventer.Le doigtage dura peu de temps...Et dans un cri que j’essayais de calmer, je jouis enfin. Je me sentais pantelante, chaude comme la braise. De mes nichons jusqu’à mon sexe, tout n’était qu’excitation animale. je décidai de me doigter à nouveau dans ma chambre mais il fallait d’abord sortir de la pièce et donc passer dans celle de la patronne. Si cela se passait comme hier, j’avais des chances de passer sans me faire remarquer puisque madame apparemment s’endormait vite.
Alors, très discrètement, j’ouvrais la porte :La chambre était dans le noir, j’étais rassuré...Je marchais avec mille précautions quand soudain, la lumière s’alluma. Madame était la, devant moi et me regardait avec un air fâché qui me glaça le sang. M’avait-elle vu dans la pièce, qu’allait-elle me dire ? ...je ne pus y penser car elle prit la parole :-Alors vous êtes contente d’avoir maté mes actes pendant toute la soirée ?-pardon,madame !...pardon !-J’imagine que vous vous demandez pourquoi ces hommes sont ici, enfermés et soumis à ma volonté !-Heu...je dois avouer que je me posais la question.-Alors,je vais vous expliquer.
La suite bientôt...
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