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Le pot de départ

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Julien, j’ai 31 ans et je travaille actuellement dans une grande société de TP en tant que responsable du suivi des travaux. Plus exactement, je travaillais car j’ai récemment quitté mon poste pour un autre plus près de chez moi. J’ai donc eu droit, il y a quelques mois, à un pot de départ avec une bonne partie de mes collègues. Comme beaucoup d’employés français me direz-vous… Sauf que mon pot de départ et ce qui s’y est passé a été mémorable !
Nous sommes vendredi et je me rends à mon travail pour la dernière fois. Le trajet quotidien trop long, l’éloignement de ma région natale avec ma famille, mes amis et une fille qui me plais beaucoup mais que je ne vois que trop rarement pour concrétiser… Bref, je suis content de partir, même si certaines choses me manqueront.
En arrivant à mon bureau, je remarque une des première choses que je vais regretter : ma collègue ! Mon dieu que cette femme m’excite. Nadine est une femme mariée et mère de famille de 48 ans. Elle est encore superbe pour son âge et a l’excellente idée de s’habiller sexy. Classe mais sexy quand même et l’on sent bien qu’elle aime plaire, qu’elle aime attirer les regards sans jamais franchir non plus le cap de la vulgarité. Une MILF, une vraie !
Je travaille au quotidien avec elle depuis 2 ans, époque à laquelle j’ai été nommé responsable du suivi de travaux pour le secteur est après avoir assisté ma responsable, aujourd’hui devenu directrice, pendant des années. A ce titre, Nadine, qui me connait depuis longtemps, est ma secrétaire personnelle, chargée du suivi administratif des dossiers, des factures, etc. Bref, nous travaillons tous les jours ensemble et sont devenus proches, elle me voyant sans doute un peu comme un fils.
Moi, je la vois surtout comme une femme désirable, encore superbe pour son âge et qui est l’objet de nombre de mes fantasmes. Elle m’excite tellement que je suis sans cesse en train de regarder des cuisses, admirer son décolleté, mâter ses fesses à la moindre occasion. Je pensais, pendant ces années, être relativement discret, mais j’allais découvrir aujourd’hui que non !
En entrant dans le bureau, je la trouve à son poste, particulièrement sexy et provocante aujourd’hui. Elle porte une mini-jupe à la limite de la décence, un chemisier moulant et décolleté, des collants qui s’avèreront en fait être des bas et de chaussures à hauts talons. Ses cheveux sont solidement attachés en chignon et ses lunettes finissent de donner un air faussement sévère à cette femme si gentille mais qui, aujourd’hui, est manifestement habillée en salope.
Elle est assise à son bureau et, en me penchant vers elle pour lui faire la bise, j’ai une vue plongeante sur un décolleté extraordinaire. A-t-elle conscience de l’état dans lequel elle me met ? A-t-elle fait exprès de s’habiller comme ça pour mon dernier jour ? Si oui, pourquoi ? J’essaie de me calmer et m’assois à mon bureau situé à côté du sien. Ses cuisses au trois quart dénudée sont alors à moins de deux mètres de moi.
Je regarde mes mails, constitués essentiellement de messages de sympathie de la part de partenaires et clients pour mon départ. Mais tandis que je les lis, Nadine ne cesse de croiser et décroiser les jambes de manière négligée. Elle joue avec moi ou quoi ? Elle se tourne alors vers moi et discute de mes projets futurs, de mon déménagement, etc. J’essaie de suivre la conversation mais, ayant tourné son fauteuil vers moi, je vois des croisements de jambes de face et à chaque fois une vision furtive de son entrejambe. C’est là que je constate qu’elle porte des bas dans un frisson d’excitation.
J’essaie de garder mon sang-froid, de ne pas trop lorgner sur elle. Mais manifestement, elle veut me perturber car à force de croiser et décroiser ses jambes, sa jupe remonte et révèle progressivement ses cuisses, mise en valeur par… un porte-jarretelles ! Putain, je n’avais encore jamais vu ce type de lingerie sur une vrai femme (hors catalogue, magazines, internet, etc.) et là, j’avais sous mes yeux des bas, manifestement tenus par deux attaches en dentelle qui remontaient sous sa jupe.
Et elle continue à me parler de la pluie et du beau temps en me mettant sous le nez ses magnifiques jambes. Puis, enfin, elle se remet au travail et me présente à nouveau son côté gauche. Là encore, c’est magnifique car je vois sa cuisse enveloppée d’un bas et l’attache du porte-jarretelle.
La matinée avance tranquillement (on ne bosse pas beaucoup un dernier jour) mais avec une Nadine toujours aussi exhibitionniste à mes côtés. A plusieurs reprises, elle se lève, se penche vers moi pour me demander à quelle prestation correspond cette facture et m’expose ainsi son profond décolleté. Je constate ainsi qu’elle porte un superbe soutien-gorge noir à dentelle et que ses seins ont l’air encore assez fermes.
Elle cherche également des dossiers manifestement mal rangés puisqu’elle doit alors se pencher en avant durant de longs instants, m’offrant alors une vision magnifique de son cul tendu, de la jupe qui dévoile le haut de ses cuisses, du début de son entrejambe. L’arrière de ses bas est agrémenté d’un liseré noir de bas en haut qui rajoute une touche provoc’ à sa tenue. Mon dieu que c’est excitant !!
Elle s’amuse manifestement à m’allumer mais son visage reste impassible, professionnel. Et durant une bonne partie de la journée, elle m’allume ainsi de plus en plus ostensiblement, provoquant et maintenant chez moi une érection difficile à dissimuler. C’est d’autant plus excitant que je me prend au jeu et m’amuse avec elle en lui demandant d’aller me chercher des dossiers qui vont la mètre dans des positions embarrassantes. La première fois, je ne l’ai absolument pas fait dans ce but mais, voyant qu’elle obéissait sagement, j’en ai un peu profité.

Le clou du spectacle a été lorsqu’elle ma demande de vérifier son PC qui plantait. Après avoir fait les manips standards à partir du clavier, je lui dis qu’il faut que j’inspecte la tour. Et au lieu de me laisser la place, elle ne fait que se décaler pour que je passe sous le bureau et reste sagement assise sur son fauteuil. Je bricole donc son PC, la tête à quelques centimètres de ses jambes qu’elle continue de croiser. Puis, n’y croyant pas mes yeux, elle écarte ses jambes, petit à petit, doucement, de plus en plus grand jusqu’à les avoir complétements ouvertes, la jupe remontée sur ses hanches et son string totalement visible.
De ma position, j’ai une vue parfaite sur son entrejambe, son sexe délicatement couvert par une fine étoffe, ses jambes écartées, son porte-jarretelles. Il est maintenant évident et assumé qu’elle s’exhibe à moi volontairement. Je cède à la tentation et à l’appel et pose une main sur sa cuisse. Je le sens frémir mais elle ne bouge pas. Je remonte ma main vers son entrejambe, cesse de la caresser à travers le bas pour toucher directement la peau intérieur de ses cuisses. Délicatement, je la masse et remonter jusqu’au string que j’effleure du bout du doigt. Un nouveau frémissement. J’insiste et caresse son sexe au travers du tissu, constatant que celui-ci est moite. Mon dieu, Nadine mouille en s’exhibant devant moi ! Mais alors que mon doigt glisse sous le tissu et frôle le bord de ses lèvres, elle se lève d’un coup de son fauteuil et disparait de mon champ de vision.
Je sors de sous le bureau en m’excusant :
— Je suis désolé, Nadine, je n’aurai pas dû…
Je m’aperçois alors qu’elle s’est dirigée vers la porte du bureau et la ferme clé de l’intérieur.
— J’ai toujours su que tu me matais, me dit-elle l’œil coquin. — Ah ? répondis-je gêné. Et cela ne te dérangeais pas ?— Non, j’adore plaire j’adore que les hommes me regardent. Cela plaît également à mon mari…— Du coup, aujourd’hui, tu as voulu me faciliter le travail ?— Exactement. Et te montrer des angles que tu n’avais encore pas vu… Cela t’a plu ?— C’était superbe… Et très excitant. Mais sous le bureau…— Disons que c’était pour siffler l’arrêt du jeu et passer aux choses sérieuses !— Les choses sérieuses ? Mais…. Je veux dire… Tu es mariée… Et…— Oh, ne t’inquiète pas : nous n’allons pas baiser… Jamais je ne tromperai mon mari. — Ha ? Je comprends, dis-je avec un air franchement déçu.— Par contre, je vais t’offrir un spectacle dont tu te souviendras un moment. Puisque tu aimes mater, assieds-toi et profite.
J’obéis alors et m’assois dans mon fauteuil. Nadine, toujours près de la porte, s’approche de moi. Elle déboutonne son chemisier et m’expose sa magnifique poitrine.
— Est-ce que toucher serait commettre une infidélité ? demandais-je alors innocemment.— Tant que tu ne dépasses pas certaines limites…
Je pose donc délicatement mes mains sur sa poitrine et la masse doucement. Pendant ce temps, elle fait tomber son chemiser au sol. Je descends alors mes mains sur ses côtes, sa taille et ses cuisses. Elle se recule d’un pas, me signifiant que je l’avais assez touché pour le moment, et baisse délicatement sa jupe. Elle se retrouve alors devant moi, simplement vêtue d’un soutien-gorge, d’un string, d’une porte jarretelle, de bas et de talons haut. Elle dégrafe ensuite son soutien-gorge et me révèle enfin, après deux ans de fantasmes à leur sujet, ses magnifiques seins.
Des seins pas très gros mais superbes et surtout encore fermes pour son âge. Et manifestement naturels. Elle se rapproche, m’autorisant ainsi à la toucher à nouveau. Évidemment, mes mains se portent sur ses seins. Mais je peux à peine les palper qu’elle me met une petite tape sur la main pour me faire cesser. Elle se retourne, me montre ses belles fesses. Là encore, je les caresse, les écarte. Voyant qu’elle ne réagit pas, je glisse ma main dans sa raie et caresse son string, de son anus jusqu’à son sexe. Mais comme sous le bureau, un doigt un peu trop baladeur la fait se retourner en me disant « non, non, non… ».
Elle est à nouveau face à moi et baisse délicatement son string (porté sur son porte-jarretelle, elle avait prévu le coup…) et m’expose fièrement son sexe. Le sexe d’une femme mûre et mère de famille, avec une discrète cicatrice de césarienne. Mais un sexe très beau, couronné d’un triangle de poils pubiens bien taillés ne masquant aucune partie de son anatomie. Je n’en reviens pas d’assister à ce spectacle et observe, effaré, Nadine m’exposer son sexe sans même en rougir. Son clitoris, légèrement ressorti, est bien dégagé, tout comme ses lèvres. Cela se voit qu’elle s’épile depuis des années car il n’y a pas de trace de poils rasés ou de ports de la peau rougis. Ce sexe est bien entretenu et j’ai une furieuse envie de le dévorer !
— Ne t’avise même pas de le toucher… m’ordonne-t-elle, ayant deviné mon envie.— Je n’y comptais pas !— Parfait. Maintenant, je vais me caresser devant toi.— Énorme !— Sauf qu’à aucun moment tu ne devras te ou me toucher. Compris ?— Je sens que cela va être une torture… Mais OK.
A suivre...
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