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Le pot de départ

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Suite :
Je me retire à nouveau et remplace ma bite par 3 de mes doigts que j’enfonce bien profondément en jouant avec l’intérieur de son vagin. Puis, constatant la largeur de l’orifice de ma directrice j’y ajoute sans plus de précaution mon auriculaire et joue avec son clito avec mon pouce. Elle se malaxe les seins et tire sur ses téton comme une folle, me signifiant indirectement que je peux clairement aller plus loin. Mon pouce rejoint donc mes autres doigts et avec quelques crachas en plus de sa cyprine j’arrive sans mal à enfoncer entièrement ma main dans sa chatte.
C’est incroyable l’excitation que je ressens à ce moment. Je suis en train de réaliser une chose que je croyais réservée aux films pornos sur ma propre directrice. Je fist ma salope de directrice !
Alors que je bouge ma main en elle, elle lâche ses seins pour attraper ses jambes et les lève encore plus haut, encore plus écartées.
— Laisse-moi deviner : ce n’est pas la première fois qu’on te fait ça ?— Non… mais c’est… toujours le même pied à chaque fois ! Vas-y… encore…. Accélère … oui… OUIIII !!!
Je n’en reviens pas de l’avoir fait jouir avec un acte si brutal. De ma main gauche, je saisi Séverine par la nuque et la redresse vers moi pour l’embrasser. Ma main droite est toujours en train de défoncer sa chatte. Alors que nos langues se mélangent, je retire ma main, la remplace par ma bite, la baise rapidement et puis me retire et la fist à nouveau. Je procède à ces changements si souvent et si facilement du fait de la souplesse de son sexe qu’à un moment, ma bite et mes doigts sont en même temps en elle. C’est alors ma main que je sens en la baisant !
— Ouuhh, ça par contre, c’est la première fois qu’on me le fait ! C’est… spécial…— Ouaip… Moi aussi je préfère soit l’un soit l’autre…
Je sors donc ma bite de ce bazar et reprend un fist « traditionnel » ! C’est effectivement mieux ainsi.
Rapidement, je me lasse de cette pratique et ai envie de la défoncer autrement. De faire jouer mon imagination si perverse. Je la retourne sur son bureau et les écarte largement les fesses avec, en visée, son anus. Un anus que je n’imagine pas vierge vu l’expérience de la dame mais que je n’imaginais absolument pas aussi souple !!
— Je suppose que tu ne t’offusqueras pas si je t’encule ?— Non, au contraire, je me demandais combien de temps tu allais mettre avant de m’éclater la rondelle.
De ma main droite, je récupère de la cyprine dégoulinant de sa chatte et lubrifie son œillet. J’y enfonce un doigt sans ménagement ni difficulté, puis un deuxième pour préparer un anus qui n’en a absolument pas besoin tant il est souple… Je pose mon gland sur son petit trou et le sens se détendre immédiatement. J’y rentre doucement, sans aucune résistance ce qui, pour moi, est la preuve ultime du statut de salope de compet’ de Séverine et est donc terriblement excitant.
Dans le passé, j’avais sodomisé 2 ou 3 fois une copine et c’était à chaque fois dur de rentrer et court en durée car elle avait vite mal. Là, rien à voir. J’enculais Séverine aussi facilement que je l’avais baisé et le meilleur là-dedans : elle prenait autant son pied qu’en la baisant !
Avachie sur son bureau, les fesses bien relevées, je la défonce avec entrain alors qu’elle me crie de taper toujours plus fort, toujours plus vite. Elle était toujours aussi avide de domination brutale malgré plus d’une demi-heure de baise et un ou deux orgasmes. Je le redresse d’un coup en la tirant par les cheveux et continue de l’enculer tout en la plaquant debout contre le mur. Je me retire de temps en temps en écartant ses fesses pour mater avec perversité son anus béant, y enfoncer trois doigts et, enfin, y replonger ma bite d’un coup.
Alors que je sens à nouveau l’orgasme monter en moi, je l’encule de moins en moins et la doigte de plus en plus pour m’économiser. Evidemment, alors que j’ai quatre doigts bien enfoncés dans son fion, l’envie d’y fourrer tout mon poing est très forte ! Je joins donc mon pouce à mes autres doigts et les enfonce tranquillement dans son cul.
Séverine, toujours debout, le front collé au mur de son bureau et le cul bien cambré en arrière, gémit comme une chienne à chaque fois que mon poing écarte son anus pour pénétrer son colon. Et c’est avec un « oh putain » de plaisir malsain que je vois ma main disparaitre en elle et les parois de son trou de balle épouser la forme de mon poignet.
A l’intérieur de son intestin, je joue avec mes doigts, essaie de les écarter pour la dilater de l’intérieur et continue de m’enfoncer toujours un peu plus pour tester sa résistance. Comme lorsque je l’enculais, je me retire pour observer son trou immense, tire sur les parois pour l’écarter encore un peu plus et enfourne à nouveau mon poing fermé, comme un bourrin. Cette fois, elle crie de surprise et de douleur et, alors que je m’enfonce encore un peu plus, ses gémissements de plaisir se muent en gémissements de d’appréhension, de gêne puis de souffrance.
Alors que sa main se pose sur mon avant-bras pour m’inciter à y aller plus doucement, je décide de calmer le jeu et retire doucement mon poing.
— Désolé… je— Ne t’excuse pas ! me coupe-t-elle. Je t’ai demandé d’être bestiale et pour l’instant, c’est parfais… Mon cul a connu bien pire que ce que tu viens de faire !
Je la plaque alors à nouveau contre le mur et l’encule le plus sauvagement possible, comme un bourrin. Il me faut alors la plus grande maîtrise de moi pour ne pas jouir et me retirer à temps. Je l’allonge à nouveau sur son bureau et lui lèche la chatte et le clito. J’ai toujours adoré ce genre de caresse, autant que de me faire sucer, je pense. Là, je me fais plaisir autant que je lui fais plaisir en enfonçant ma langue en elle, en mordillant son clito ou en la doigtant à toute vitesse pour la faire monter. Un orgasme la secoue d’ailleurs rapidement et, à ma grande surprise, me trempe la main par une émission impressionnante de mouille.
— Encore… me dit-elle en soupirant.— Encore quoi ?— Doigte-moi encore… Tu vas voir ce que ça me fait…
Je renfonce donc mes deux doigts loin en elle et lui stimule à nouveau la paroi interne de son vagin, au niveau, je suppose de son poing G. Il lui suffit de 2 minutes pour à nouveau monter et exploser de plaisir. « Exploser » est le terme approprié car, en jouissant, Séverine émit un puissant jet d’un liquide bizarre. J’ai d’abord pensé à de la pisse, mais ça n’en avait ni l’odeur ni la couleur.
— Séverine… tu es une femme fontaine !!— J’ai découvert ça il n’y a pas longtemps… Quand on me fait jouir comme ça plusieurs fois d’affilée, ça sort tout seul !
A ces mots je reprends immédiatement mon mouvement et la doigte énergiquement. Et alors qu’elle jouit à nouveau, elle jute à nouveau. J’ai recommencé comme ça plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter car tous ces orgasmes l’épuisent.
Alors que je me retire et la laisse tranquille, les jambes écartées encore flageolantes sur son bureau, j’observe la scène. Le sol est jonché de mouille, de « flotte » issue de sa chatte, de bave, de sueur… Nos habits sont trempés, froissés, éparpillés… Les affaires de son bureau sont tombées au sol, ses documents sont en bordels. Bref, il règne une impression de cahot, une odeur d’orgie. Et j’adore ça.
— Il faut que j’aille pisser, me dit-elle alors.— Fait ça là !— Dans mon bureau ? N’importe quoi… répond-elle en se relevant.— Regarde le merdier qu’il y a ! Un peu de pisse ne changera rien et ne fera que compléter le tableau. Et sinon, je te retiens ici jusqu’à ce que tu te pisses dessus !— Bon, ok… Tu es décidemment plus pervers que j’imaginais. Je fais ça où ?— Sur ton bureau, ce sera parfait !
Elle grimpe alors sur son bureau, écarte ce qui craint (clavier, smartphone, classeurs…) et se met accroupie. Pendant ce temps que prend mon téléphone dans mon pantalon pour filmer la scène. Il faut absolument que j’immortalise ça !
— Tu fais quoi là ??— Je te film en train de pisser, pourquoi ?— Tu as intérêt à garder ça pour toi !— Evidemment, pour qui tu me prends ! J’ai entendu dire de ce qui est arrivé à l’ancien directeur… Ne t’en fais pas, je ne suis pas dingue…
Avec un sourire en coin, apparemment satisfaite que sa réputation de « mafieuse » soit aussi connue que celle de salope, elle se lâche et vide sa vessie directement sur son bureau. Un filet jaunatre sort alors se son sexe et, partant un peu n’importe comment, inonde son bureau. Se forme alors une flaque assez grosse qui ruisselle sur un coté du fait d’un léger faux-niveau. Puis elle redescend de son bureau et regarde sa pisse, apparemment contente d’elle.
— C’est vrai que ça va bien avec le reste de la déco, me dit-elle en riant. On continue ? Tu as encore de la ressource ?— Evidemment !
Bizarrement, la première envie que j’ai eu à ce moment a été de l’embrasser alors que j’imaginais la gifler sans ménagement. Je suppose que mon excitation était un peu retombée et d’ailleurs, mon sexe avait perdu de la vigueur durant la séance de pipi sur le bureau. Séverine s’en est aperçut et, sans même me demander mon avis, se met à genoux et commence à me sucer. Je la laisse d’abord maîtresse de l’acte et profite de sa langue experte. Alors qu’elle me masse les couilles tout en pompant mon gland, ma bite a retrouvé toute sa forme et une nouvelle vague d’envies perverses monte en moi.
Petit à petit, je reprends la main sur la fellation et lui lient la tête pour le baiser la bouche. Elle ne s’en offusque pas et met elle-même ses mains dans le dos, comme une bonne chienne soumise. A nouveau, je prends mon pied à lui enfoncer ma bite jusque dans son gosier, à voir sa gorge se déformer et à lui pincer le nez pour l’étouffer avec. Lorsque je la libère pour qu’elle reprenne son souffle, de longs et dégoutants fils de bave et de glaire pendent entre ma queue et ses lèvres. Je lui étale sur le visage, enfonce mes doigts dans sa bouche pour qu’elle me les lèche et y renfourne ma bite.
— J’ai envie que tu te souviennes longtemps de cette soirée… lui dis-je alors que je lui crachais dans la bouche.— Oh ça, je m’en souviendrai… Chaque mètre carré de mon bureau sentira le sexe pendant un moment après ça !— Ouai, mais je veux que tu te rappelles de moi en train de te défoncer à chaque endroit de cette boite ! Je veux qu’à chaque fois que tu rentres dans une pièce, tu te revois te faire enculer sauvagement…— Je vois… On va un peu se promener alors ?— Exactement ! Viens là…
Je me saisis alors de ma ceinture, fais une boucle avec et la passe autour du coup de Séverine.
— Voilà… Tu seras ma chienne. Je vais te promener dans chaque recoin de cette entreprise et je vais m’amuser avec toi…— Petit pervers, va….
Je la tire alors par le bout de la ceinture et l’emmène à l’extérieur du bureau. Je prends aussi mon téléphone portable avec la ferme intention de la photographier sous tous les angles et dans toutes les pièces.
A suivre...
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