Cécile se posa sur le sofa, à coté de son fils, devant la télé. Il avait tellement insisté pour que sa mère le regarde avec lui, qu’elle n’avait pas osé se dédire, quoiqu’elle ait été effrayée par la description de la scène finale, qu’en avait faite son fils… Elle avait revêtu une petite robe de chambre très courte en soie noire au dessus d’un superbe déshabillé du même ton, aux liserés blancs.
Bien vite, elle fut rassurée par le coté historique et militaire du film. L’histoire de « La nuit des longs couteaux » paraissait peu compatible avec une scène d’incestes mère /fils, bien que la barbarie des exécutions la dégoutta ! Entièrement rassurée, elle se laissa aller sur le sofa, étendant ses longues jambes, en direction de son fils. Elle pensait qu’il avait dû faire une erreur d’appréciation en se trompant de titre de film. Mais lorsque vers la fin, le fils commença à se disputer avec sa mère, et que la confrontation devint vite violente, son estomac se resserra. Elle se souvenait avoir vu ce film et les scènes suivante à l’érotisme incestueux particulièrement pervers ! Elle s’était demandée en le voyant, alors qu’elle était plus jeune, comment une mère pouvait accepter de faire l’amour avec son fils et d’en retirer du plaisir, et pourtant elle avait aussi ressenti une terrible excitation sexuelle, au delà du tabou ! Dans le film, le fils après avoir giflé sa mère et l’avoir traitée de tous les noms, lui déchire son chemisier, faisant apparaitre une poitrine fantastique, lui saisit les seins et la jette sur le lit. Alors il se déshabille et malgré les supplications de sa mère, il la pénètre et lui fait l’amour toute la nuit !
Et perversion finale, au petit matin, la mère nue et visiblement satisfaite sexuellement des œuvres de son fils, le regarde nu sur le lit, et lui caresse les cheveux, avec un regard de femme amoureuse. Cécile tremblait presque en visionnant la scène, sachant parfaitement ce que son garçon devait éprouver en ce moment même !
Cécile essaya de replier ses genoux, le plus doucement et le plus loin de son fils, sans que ce dernier ne le remarque. Mais celui-ci saisit la cheville de sa génitrice qu’il caressait sensuellement en regardant la scène d’inceste…
Puis au moment du coït sur l’écran, Adrien se coucha carrément sur les jambes de sa mère, et pendant que sa main gauche tirait la cheville pour écarter les cuisses de sa mère, sa droite caressait l’autre jambe et parvenait à l’intérieur de la cuisse maternelle , très proche de son sexe !
Cécile était tétanisée, car elle ne portait pas de culotte, et elle sentait les doigts de son fils très proches de sa petite grotte d’amour ! Il lui effleurait l’abricot, du bout des doigts sans oser pénétrer la fente de sa mère… Cécile retenait à grand peine, les petits soupirs que lui provoquaient ces caresses incestueuses ! Il remonta de son autre main, la nuisette si légère et écarta les pans de sa robe de chambre : Cécile avait le sexe à l’air, les cuisses écartées, les doigts de son garçon sur sa chatte, et la tête de ce dernier à 10 centimètres de son entrejambes. Heureusement, le faible éclairage tamisé de la pièce, faisait qu’il ne pouvait distinguer les détails de l’anatomie maternelle…ouf ! la morale était sauve !
Elle pensait : « Mon Dieu, je ne dois pas soupirer, je ne dois pas gémir, je ne dois pas mouiller, sinon il va comprendre que moi aussi j’en ai très envie ! Il n’osera quand même pas me lécher la fente ou me doigter… Et s’il le faisait… Mon dieu j’exploserai en un orgasme dévastateur ! Non il n’osera pas, il n’est pas assez pervers pour cela…ce serait trop malsain…mais tellement excitant ! Mon fils me bouffant la chatte, on ne me l’a pas fait depuis 16 ans ! Mais comment puis-je avoir des pensées aussi salaces ?J’en ai fait des trucs hard dans ma jeunesse, mais ici il s’agit de mon fils !Je ne peux le laisser me traiter comme la dernière des salopes… Pourtant j’eeennn ai tellemeeent envie !Non ! je ne dois pas ! Rien que ces pensées me font tourner la tête, je n’ai pas droit à l’orgasme, je doooiiis luuuttteerr…. » Cécile se mordait les lèvres, elle se retenait au bord du supplice !
Adrien, quant à lui s’était bien émoustillé de la scène d’inceste final.Il avait piégé sa mère, elle n’y avait vu que du feu… Maintenant il fallait transformer l’essai ! Lui saisir les jambes sans la brusquer, la coincer avant qu’elle ne se retire de l’autre coté du sofa. D’autant plus qu’il avait cru voir que sa mère ne portait pas de culotte sous le déshabillé !
Dieu qu’il était content que les deux gouttières aient été enlevées ; il portait encore des bandes plâtrées mais pouvait diriger ses mains : Direction, la chatte de ma mère !
Cécile luttait avec courage contre la tentation incestueuse… « Mon fils, mon fiiills, sa bouche à proximité de mon sexe !Il est tellement beau, monté comme un poney de cirque, il est sincèrement amoureux de moi…mais non c’est interdit ! Et pourtant ma part « de salope » imagine très bien ce qui pourrait se passer…je ne bouge pas, le laisse poser sa bouche sur ma fente, consentante, il commence à me lécher….hummm ! Je le prends par les cheveux le plaque contre mon sexe, lui demande de me pénétrer de sa langue, il est comme un fou, ses doigts, sa bouche , sa langue…sur mon sexe si chaud, si trempé ! Il me mord les lèvres, les suce, sa langue baratte dans ma chatte offerte…J’écarte les cuisses au maximum, avance mon bassin, je suis lubriquement ouverte à tous ses désirs ! Je n’ai plus aucune retenue, je crie de plaisir, gémis, ahane, lui gueule ma jouissance…ses doigts, un, deux puis trois me pénètrent de plus en plus profond, je deviens folle de plaisir, je ne suis plus qu’une succube, un démon lubrique féminin, obsédé par le sexe !
Et puis douche froide, ma raison revient reprendre le contrôle de ma pensée… Et si son père arrive plus tôt que prévu ? Il nous trouve là, son fils en train de doigter, gamahucher sa femme, en train de la faire jouir comme une putain ! Quelle honte ! Il a beau savoir que son fils fantasme sur sa mère, mais le voir faire en direct live avec son épouse consentante ! Il entrerait dans une terrible colère, virerait son fils de la maison et me renverrait dare-dare au caniveau dont il m’a sorti ! Non ! Il faut être raisonnable, d’un autre coté j’ai peut être un peu allumé mon fils « sans m’en rendre compte ? »
Je lui repousse la tête ! « Écoute mon chéri, on ne peut pas, c’est mal ! — Mais maman, tu m’as laissé faire ,je suis presque dans ta chatte, quoique je ne voie pas vraiment les détails…s’il te plait, laisse moi faire ! — On va trouver un compromis. — lequel ? — Tu vas t’assoir dans le fauteuil là-bas, moi je reste ici en face de toi et je vais me masturber pour ton propre plaisir !Tu peux mettre une de tes vidéos de MILF, pour t’exciter (et moi aussi) si tu veux. »
Adrien en avait trouvé une qu’ils visionnaient tous les deux en se masturbant chacun de leur côté. Cécile se branlait la chatte du tranchant de la main, en essayant de voir la belle bite de son fils, pas facile vu l’absence de lumière, elle ne distinguait que le mouvement de sa main en train de s’astiquer la tige. Elle jetait aussi des coups d’œil vers l’écran plasma, où un fils et ses deux copains entouraient et caressaient la mère de famille, nue sur un transat au bord de la piscine… Puis l’un des copains se plaça à l’entrée de sa chatte et la baisa vigoureusement pendant que le deuxième, se faisait branler et que le fils se faisait sucer par sa mère… La vision de cette scène excitait beaucoup Cécile et elle ne tarda pas à venir, tandis que son fils en faisait autant… « Mon dieu je jouis, oh mon fils, c’est toi que je suce comme ça, après tu me prends par la chatte et tu me baises comme une folle ! Mon dieu c’est vrai que je suis folle, pensa t’elle en se rhabillant, dégrisée après l’orgasme.
« Bon Adrien, on n’en parle plus, tu as eu ce que tu as voulu ! Tu n’as pas honte de t’être branlé en regardant ta mère jouir comme la dernière des salopes ! Je te préviens, c’est la dernière fois qu’il se passe quelque chose comme ça entre nous ! »
Mais elle n’y croyait pas vraiment…Secrètement elle savait que cela resterait un vœu pieux !
