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" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! "

Chapitre 7

Ma mère nous sort le "grand jeu"!

Inceste
Le narrateur est Cécile.

Nous ne pouvions continuer comme cela, il fallait que je me sacrifie !
Nous en avons longuement parlé avec mon mari, et bien qu’il se refusa catégoriquement à « offrir « sa femme à son fils, je lui fis remarquer que cette dernière tentative de suicide ratée aurait très bien pu réussir.
Seule la branche de l’arbre, qui était un peu pourrie, sans que Damien s’en rende compte, lui avait sauvé la vie.
C’est mon mari en bon fin limier, déformation professionnelle oblige, qui avait vérifié pourquoi la branche avait cassé. Car effectivement elle aurait dû soutenir le poids du corps de notre fils.
Voulant à tout prix forcer son stupide orgueil de mâle, j’éclatais en sanglots en lui hurlant que nous aurions pu trouver Damien mort et pendu, et que cette fois-ci aucun miracle n’aurait pu le sauver .
Devant mes larmes, il me prit dans ses bras et me consola… puis rendit les armes.
J’avais gagné, j’allais coucher avec notre fils, mais en bonne petite perverse que j’étais, je voulais qu’il assiste a toute la scène.Rien que d’y penser, je mouillai le fond de ma culotte.

Car il faut bien l’avouer, Damien et mon mari ne s’étaient pas trompés, j’avais envie de me « taper » mon fils…Plus précisément j’avais envie de replonger dans une vie de débauche et de dépravation, comme dans ma jeunesse… les petites baises « à la papa » de mon époux ne me suffisaient plus ; il me fallait du sexe hard, très hard !Je voulais retrouver le frisson de l’interdit, comme quand j’étais jeune.
Je réussis même à convaincre Patrice d’être l’organisatrice de la soirée.
Et comme ma petite voix intérieure me le susurrait, je m’aperçus, couchée près de lui, que la bosse qui déformait son pyjama, confirmait mon intuition : mon mari avait très envie de me voir me rouler dans la luxure, dans les bras de mon fils.Je lui tâtai son engin et lui, il glissa sa main entre mes cuisses, et me dit :
« Toute cette histoire t’excite hein ? Tu es vraiment une petite pute Cécile la féline. »
Ces simples mots furent pour moi comme un détonateur…j’en eus quasiment un orgasme.

Enlevant rapidement ma nuisette et retirant ma culotte trempée de cyprine, je me plaçai en position, jambes complètement écartées, mon sexe largement ouvert demandant à mon mari de me prendre comme une putain.Patrice ne se fit pas prier et me pénétra sauvagement…nous fîmes l’amour comme des animaux en rut.Jamais depuis nos débuts, l’intensité pornographique de nos ébats n’avait été à ce point élevée.Cela promettait pour la suite…

Ce samedi soir, donc, je me préparai comme pour le bal des débutantes.Longtemps j’hésitais sur la tenue classe mais érotique, qui enjoindrait mon fils à me considérer non plus comme sa mère, mais comme une courtisane, une « femme fatale » qui lui prendrait sa virginité …
Je me décidai à revêtir un porte-jarretelles de couleur rouge, des bas coutures, pas de soutien-gorge ni de string, j’avais envie que mon fils …et mon mari sentent ou discernent les pointes de mes seins, turgescentes, au travers du tissu de mon chemisier.
Une jupe noire de tailleur classique, mais assez courte, au-dessus du genou, érotique sans être vulgaire et ce chemisier blanc assez léger.
Un œil de mâle avisé saurait discerner l’absence de parure sur mes seins.Ainsi attifée, avec un maquillage voyant sans exagération, je savais pouvoir provoquer un émoi érotique chez n’importe quel mâle normalement constitué…

La soirée débuta dans le salon, où servilement j’apportai olives, petits biscuits et verres de porto aux deux mâles qui allaient bientôt me baiser.
Langoureusement installée sur un fauteuil, en buvant mon porto en face des deux hommes, je croisai et décroisai les jambes pour faire monter la tension.Je savais que lors de cet exercice, leur cerveau reptilien enregistrerait le fait que mon minou était à l’air, sans la barrière protectrice du tanga ou du string.
J’étais déjà offerte à leur concupiscence, mais la suite allait encore plus les porter à ébullition !

Nous passâmes à, table, sans provocation supplémentaire de ma part.Puis le repas terminé, je leur proposai d’aller voir un film en Vod sur le grand écran plasma du salon.
Les deux hommes s’étant assis tous les deux sur le canapé, je forçai le passage en m’installant entre eux deux. Nous étions cuisses collées tous les trois.Je sentais que mon fils retenait son souffle, n’osant pas croire à l’aubaine qui se projetait en réel…

J’avais choisi un film bien pervers et vicieux qui s’appelait « Ma mère »… tout un programme.
Il s’agissait de l’histoire d’une mère de famille bourgeoise, jouée par Isabelle Huppert, qui avouait à son fils qu’elle était une débauchée, et l’amenait progressivement dans ses soirées lubriques…tout cela sur fond d’inceste à l’initiative de la mère.Je savais que cette histoire ne laisserait pas Adrien indifférent.
À un moment de l’action, lorsque la mère de famille disait à son fils :« Mais que croyais-tu que ta maman faisait pendant toutes ces après-midi ?Hé oui mon fils, ta mère est une chienne, une débauchée ! »,je posai fermement ma main sur l’entrejambe de mon fils en même temps que de mon mari.
Ces deux petits pervers bandaient comme des ânes !Je salivais d’avance à la suite des événements, j’allais me faire baiser par tous les trous par deux hommes, mes deux hommes !

Alors que je commençai à masser les deux sexes masculins, je sentis une main fureter sous ma jupe de tailleur.Pour aider cette invasion, j’écartai les cuisses au maximum, et sentis bientôt deux doigts venir essayer de s’introduire dans mon coquillage déjà humide et presque ouvert. Puis une hésitation…
Je lançai un regard étonné vers mon mari, mais aperçus dans l’obscurité sa main droite sagement posée derrière sa nuque, comme il en avait l’habitude.
Je me retournai alors vers mon fils, qui sursauta quand il vit ma tête se tourner vers lui…c’était bien lui, le petit vicieux qui avait sa main à l’entrée de ma chatte, mais qui au dernier moment par pudeur, n’osait aller plus loin.
Alors je plaçai ma propre main sur la sienne et la poussai vers l’entrée de ma grotte, deux doigts s’y introduisirent facilement.Bien que je sente que le toucher était novice, je commençai à ressentir une excitation folle et un immense plaisir.je gémis :
« C’est le film que te met dans cet … », mon mari qui s’était tourné vers nous comprit que je me faisais doigter par mon fils…
Il s’adressa alors à Adrien :
« Mon fils je dois t’avouer quelque chose. Ta mère, comme tu as pu t’en rendre compte ces derniers jours, n’est pas la bonne mère de famille et l’épouse dévouée que tout homme devrait s’attendre à avoir à ses côtés . Quand nous étions jeunes, moi alors jeune inspecteur de police, je l’ai tirée de la fange dans laquelle elle se complaisait…pour faire simple, elle exerçait ses charmes.
Je l’ai sorti de ce milieu sordide et en ai fait une femme honorable.Malheureusement ses penchants libidineux ont ressurgi à cause de ta tentative de suicide.
Je sais, grâce à la lettre que tu nous as laissée, que tu éprouves une attirance très érotique envers ta mère.J’avoue m’être en quelque sorte servi de cette situation, pour jeter ta mère dans tes bras, espérant qu’ayant repris goût au stupre, elle me donnerait une vie sexuelle plus épanouie que celle que nous avons eue jusqu’ici…et je crois ce soir avoir réussi.Je sais que la situation est très immorale, mais moi je vais pouvoir combler mes fantasmes d’exhiber ta mère, la faire baiser par d’autres mecs, à commencer par toi, être voyeur, et libertin avec elle.
Toi Adrien tu vas pouvoir enfin faire l’amour avec ta mère, ce que tu désirais le plus.Et enfin toi mon amour, tu vas pouvoir renouer avec ta vie de débauche et d’extases sexuelles incontrôlées…et te taper ton fils, je sais que tu en meurs d’envie
— Donc si je comprends bien mon mari chéri, tout le monde a été la dupe de tout le monde dans cette histoire ?
— Oui, mais au final tout le monde y trouvera son compte.Qu’en penses-tu Adrien, es-tu heureux ?
— Oh oui, mais j’ai du mal à croire que ma mère soit la salope que tu décries ??
— Il n’y a qu’une façon de le savoir… Cécile lève-toi !Adrien, on va foutre à poil cette chienne qui en rêve depuis le début de la soirée. »

Alors que j’étais debout devant ces deux hommes, ils s’approchèrent de moi, et sans aucune pudeur mon mari déboutonna mon chemisier, exhibant mes seins.Il prit ceux-ci à deux mains et commença à en sucer les pointes, me tirant des gémissements de plaisir.
Mon fils, sur le coup hésitant, me caressa le ventre et poussant son courage jusqu’au bout commença à dézipper la jupe de tailleur, qui tomba sur mes pieds. L’enjambant je me présentai nue, en porte-jarretelles, le mont de Vénus à la vue des deux hommes.
Toujours en me caressant les seins, mon mari m’embrassa à pleine bouche, tandis que je prenais l’une des mains de mon fils pour la placer entre mes cuisses.

Adrien put se rendre compte que sa petite maman était folle de désir, vu l’humidité qui régnait entre mes cuisses.Il osa enfin introduire de lui-même ses doigts dans ma chatte et commença à me masturber de cette façon.Je ne mis pas longtemps à avoir un premier orgasme, sous les assauts érotiques des deux hommes.Adrien me regarda, ému d’avoir provoqué la jouissance chez sa première femme, qui plus est sa mère…
Je me retrouvais nue, offerte, entre deux hommes qui me caressaient et me pelotaient sous toutes les coutures, je n’arrêtais pas de gémir et d’ahaner.
À un moment, n’en pouvant plus et désirant être baisée de toutes les façons possibles, je tirai les deux hommes par la main et les emmenai vers notre chambre à coucher.

Là, je me plaçai nue sur le lit, les jambes écartées, en attendant l’assaut des deux mâles.Ceux- ci au comble de l’excitation se déshabillèrent et se présentèrent à moi, le sexe en érection.
Je me régalai d’observer avec attention le sexe de mon fils qui, plus long que son père, devait bien faire dans les 21 centimètres somme toute assez normal pour un gaillard de 1,92 mètres et 92 kilos de muscles.
Tout mon être tremblait d’excitation de connaitre ses assauts virils …

Mon mari commença à me faire l’amour, sous les yeux attentifs de mon fils.D’abord de façon relativement conventionnelle, en missionnaire, il rentra du premier coup tant j’étais déjà ouverte et lubrifiée.
Puis il me fit me mettre à quatre pattes et me prit en levrette.À cette occasion il demanda à son fils de venir se faire sucer la queue par sa mère.
Au sommet de son excitation perverse, d’être en moi, me labourant et observant sa femme tailler une pipe à son fils, il jouit en moi rapidement, de même que mon fils dans ma bouche.

Comme mon fils était jeune et plein de sève, je lui proposai de venir s’occuper de moi, pendant que son père récupérait.
Je le fis placer sur le dos et me mettant à l’envers sur lui, dans la position de la « reine fière », je le baisais carrément.
À un moment, sentant le besoin de me faire sodomiser en même temps, je lui demandai de m’introduire dans mon petit trou, le gode vibrant, ce qu’il fit avec doigté, et moi doublement pénétrée et mon fils excité à mort, nous eûmes rapidement un nouvel orgasme.
Couchée les jambes écartées, déjà débordante de sperme, je regardai les deux mâles en train de reprendre leurs esprits, et me préparai à des figures à trois beaucoup plus compliquées.

J’allais vraiment de nouveau, après tant d’années, connaitre la pluralité masculine, mais cette fois de façon incestueuse !
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