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" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! "

Chapitre 8

Je baise enfin ma mère !

Inceste
Le narrateur est Adrien.
Je l’avais fait !
J’avais osé passer ma main entre les cuisses de ma mère pour lui caresser son sexe…humm son sexe, bien épilé, doux au toucher, chaud, et déjà légèrement humide.
Néanmoins au moment de faire pénétrer mes doigts dans la grotte qui m’avait donné le jour, j’eus un instant de recul.Ma mère n’hésita pas à presser ma main et, enfonçant mes doigts, je commençai à la masturber.
Mon père nous ayant rejoints et déshabillant Cécile, il lui caressait les seins et l’embrassait pendant que moi je menais ma mère à l’orgasme avec mes doigts.
J’avais fait jouir ma première femme et c’était ma mère, j’en étais fier et un peu honteux à la fois…mais elle était si chaude et mon père consentant à cette relation à trois …

Nous retrouvant nus sur le lit dans la chambre, mon père commença à baiser ma mère de façon très conventionnelle. Et moi en voyeur, je matais mes parents faire l’amour, mon père pénétrer sa femme de sa belle queue, et ma mère commencer à gémir sous ses assauts.La situation était tellement excitante et incongrue !!

J’avais l’impression de rêver, tous mes plus beaux fantasmes se réalisaient.Puis mon père m’invita à me faire sucer par sa femme pendant qu’il la prenait en levrette…mon Dieu quelle fellation, quelle jouissance.Je me faisais sucer en regardant mon père dans les yeux, qui labourait ma mère…le plaisir nous vint vite à tous les 3.
Mon père prit alors le rôle du voyeur pour récupérer de ses exploits. J’allais prendre sa place !Je n’osais y croire !
J’allais baiser ma mère !

Elle se dirigea vers moi à quatre pattes avec un air très vicieux, ses yeux rayonnaient d’une lubricité que je ne lui avais jamais vue…Elle dirigea sa bouche directement sur mon sexe à nouveau en érection, et commença à me sucer comme une chienne (l’animal) aurait sucé un mâle canin.

Mon père me dit :« Attrape-la par les cheveux, soumets-la et baise-lui la bouche …je veux la voir prise comme la salope qu’elle est redevenue ! »
Ce que je fis, ma mère toujours à quatre pattes devant moi, en signe de soumission.Dans un mouvement de va-et-vient très pervers, j’amenai sa tête sur mon sexe.Ses lèvres fardées coulissaient sur la colonne de chair tendue à son maximum…mon Dieu que c’était bon.Puis mon père m’intima l’ordre de stopper et de la baiser.
Enfin on y était !Faire l’amour avec ma mère sous les yeux de mon père me donnait une boule à l’estomac, presque une envie de vomir, c’était tellement pervers et vicieux, complètement amoral et en même temps tellement excitant !
« Cécile relève-toi et mets-toi debout sur les genoux, découvrez le corps l’un de l’autre, explorez-vous, caressez-vous…je veux que ton fils fasse toute l’anatomie de ton corps avec ses doigts. »

Ma mère était donc face à moi nue toujours en porte-jarretelle rouge, elle me lançait des œillades lubriques :
« N’aie pas peur Adrien, tout va très bien se passer, j’adore ta bite, dans quelques instants elle va venir buter contre les parois de mon vagin, par où tu es passé il y a 19 ans de cela…
Elle me caressait le torse, saisissait mon membre et le masturbait avec douceur. Timidement j’avançais mes deux mains sur ses seins, lui titillais un mamelon tandis que mon autre main saisissait l’autre sein.
Mes caresses se firent plus enfiévrées et bientôt nos bouches s’unirent ; nos langues s’entremêlaient en un ballet très érotique.
Puis toujours en l’embrassant je pris possession de son sexe avec ma main, je passais le tranchant de ma main sous sa vulve.A chaque fois que je pressais un peu plus en direction de son clitoris, je la sentais vibrer.Puis elle s’allongea sur le dos, les jambes bien écartées, offerte, et me demanda de découvrir son sexe.
Alors je vis les lèvres gonflées par le désir, la fente bien ouverte par les assauts de mon pèreLe clitoris turgescent semblait être une invite aux caresses de mes doigts.Elle saisit ma main et la porta sur son clitoris et me demanda de la branler.Alors, appliquant les leçons de mes films pornos, je commençais à masser doucement le gros bouton qui se dressait encore, et devenait tout dur sous mes caresses. Ma mère gémissait de plus en plus, et puis eut un premier orgasme.
Puis elle me demanda de la prendre, elle au-dessus de moi.Je m’allongeais donc sur le lit, et elle prenant ma verge la guida dans l’endroit sacré.L’ayant enfilée facilement, jusqu’à la garde, je commençais doucement un mouvement de mon bassin…
Cécile, ma mère, était donc empalée sur mon sexe et me présentait son dos.Elle ondulait du bassin, me provoquant des sensations sublimes, ma verge la pénétrait au plus profond de son intimité ; à chaque fois qu’elle avançait et reculait son bassin pour bien venir écraser son clitoris sur l’os de mon pubis, dans un « mouvement de meule », elle exhalait une plainte extatique.
A un moment, alors que je dois l’avouer, j’étais un peu statique et me régalais des sensations perçues, elle me demanda d’être un peu plus actif.Me redressant un peu, lui mettant les mains sur ses hanches je la pénétrais donc plus rapidement et très vite ce furent des coups de boutoir que je lui assénai.

Mon père qui s’était rapproché de nous et nous regardait en train de faire l’amour me dit :
« Tu lui tapes le point G avec ta queue, cela te plait ma chérie ?
— Mmhm ! Il me baise comme un Dieu, c’est trop bon, j’ai du mal à me retenir de crier.
— Tu as encore un reste de pudeur alors que tu te fais baiser comme une chienne par ton fils devant ton mari ? C’est plutôt drôle…Au point où tu en es, ne retiens pas tes cris de jouissance … »

Ce fut alors un festival ; à chaque fois que je butais contre son point G, Cécile gémissait et ahanait de plus en plus bruyamment.
J’étais fier de donner autant de plaisir à cette femme, j’avais l’impression de me débrouiller pas trop mal pour une première fois…
Alors que ma mère cria plusieurs fois et se raidit sur mon sexe toujours dans son vagin, je compris qu’elle venait d’avoir plusieurs petits orgasmes en répétition.
Inquiet devant l’intensité de ses réactions, je lui demandai si elle voulait que j’arrête, moi j’étais toujours valide.L’intensité du plaisir était tellement grande dans ma verge, que j’avais l’impression de ne plus la sentir…
Je me sentais enserré et presque prisonnier de ce vagin accueillant, une sensation de plaisir diffus ne me quittait pas, mais cela en était presque douloureux…j’attendais l’explosion finale, mais ne savais pas comment la provoquer.

Essoufflée Cécile me dit :
« Adrien, tu es encore dur en moi, je sens que tu peux me faire jouir comme jamais, occupe-toi de mon petit trou et ensuite donne-moi du plaisir avec le gode vibrant…. »

Il semblait que j’allais passer un degré de plus dans mon apprentissage des choses de la chair… et ma mère un palier de plus dans la perversité …
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