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Prague : Lucia

Chapitre 4

Erotique
DEBUT DU QUATRIEME EPISODE
Lucia dormait paisiblement sur le dos, la bouche légèrement entrouverte, quand je me réveillais. Elle était belle dans cet état d’abandon total, ses tétons dressés vers le ciel. Je pensais à cette première journée mais aussi tristement à mon prochain départ. Il ne nous restait que deux jours avant cela et je ne savais pas quelle serait la suite, moi à Paris, elle à Prague. La distance n’allait-elle pas détruire notre amour naissant ? Et d’ailleurs était-ce bien raisonnable de le poursuivre ? Tant de questions auxquelles je n’avais pas de réponse… pour l’instant.
Je me penchai sur elle et ma bouche se posât sur son sein droit. Ma langue tournât autour de son téton pour qu’il puisse se dresser et me lèvres le prirent dans une douce succion. Je recommençai le même manège sur son sein gauche. Lucia se réveillât lentement, je le sentis aux frissons qui commençaient à l’agiter.
« Dobrý deň, moja láska. Čo sladké prebudenie! Vezmi ma chcem ťa ! »« Tu peux me traduire ? »« Bonjour mon amour. Quel doux réveil ! Prends moi je te veux ! » Dit-elle en s’étirant et en se tournant sur le côté.
Je me mis derrière elle et vins m’encastrer dans son dos. Mon pénis se mît à durcir au contact de ses fesses et se glissât dans sa raie culière. J’entamai un léger va et vient pour le rigidifier encore plus. Je passai ma main droite sous son corps pour lui prendre son sein droit, ma main libre vint se placer tout naturellement sur son sein gauche. Elle gémissait de contentement.
Je soulevai sa cuisse pour faciliter l’intromission de mon sexe qui entrât en contact avec les lèvres du sien. Ma main gauche quittant un moment son sein gauche m’aidât dans cette tâche. Puis, par petits à-coups, mon gland, telle une tête chercheuse, trouvât l’entrée de son antre. Elle était un peu sèche car endormie encore mais les mouvements de ses fesses me montraient qu’elle se réveillait et participait activement. Ses doigts, qu’elle fît pénétrer dans sa chatte, vinrent m’aider rapidement pour doucement me branler. Il n’y avait plus aucune résistance de sa part et c’est tout naturellement que je m’enfonçais d’une seule poussée au fond de sa matrice, un petit cri de sa part me signalant que j’étais bien au bout.
Dans cette position elle était totalement abandonnée dans mes bras, ses seins fermes malaxés, ses pointes étirées, son vagin défoncé, à ma merci et j’en abusais. Elle en voulait encore, me le demandait. Mais je commençais à fatiguer, aussi accélérant le rythme je la fis haleter de plaisir pour finir en déchargeant toute ma semence en elle, repu, alors qu’un énième orgasme la prenait.
Elle se dégageât de notre éteinte violente et, tout en restant à côté de moi, elle se penchât, ses seins fermes touchant mon torse, baisât mes lèvres et me dis : « Nikdy som si nepredstavoval, milovanie s mužom tak intenzívne. Milujem ťa láskou môjho života. Som moc s tebou, nechcem, aby si odišiel. »
« Tu me dis quoi ? »
Elle répondit en rougissant : « Je te dis que jamais je n’aurais imaginé faire l’amour avec un homme d’une manière si intense. Je t’aime amour de ma vie. Je suis trop bien avec toi, je ne veux pas que tu partes. »
« Pourtant tu sais que dans deux jours il faut que je rentre à Paris ? »
« Oui mais mon plus cher désir serait que notre aventure n’ait pas de fin. Tu crois que c’est possible ? »
« Je ne sais pas encore. A chaque fois que je te mène à l’orgasme je dis oui, même si en mon for intérieur je sais que ce sera difficile. Tu as ta vie ici, tes études d’interprétariat, tes parents en Slovaquie, mes deux filles à peine plus âgées que toi… notre différence d’âge, beaucoup de points en suspens. Et puis ça ne fait qu’une journée que nous nous connaissons. »
« Tu as raison Alors profitons à fond des deux jours qui nous restent et nous réfléchirons à notre futur. Retourne à ton hôtel, prends tes affaires et viens loger chez moi. J’en profiterai pour faire des courses et te concocter des spécialités tchèques et slovaques. Je te ferai gouter aussi à nos vins et nous ferons l’amour toute la journée, la nuit aussi. »
Lucia rayonnait en disant cela. J’étais aux anges, le démon de midi comme on dit.
« Tu as intérêt à mettre beaucoup de piment si tu veux que je tienne le coup parce qu’à mon âge c’est difficile de soutenir un tel rythme et je n’ai pas de Viagra dans mes valise. » Lui dis-je en riant.Elle éclatât de rire elle-aussi dans une osmose qui nous réunissait tous les deux. « Pour le Viagra, ça peut s’arranger j’ai une copine pharmacienne. Tu veux bien ? »
Que pouvais-je une fois encore lui refuser ? « Oui je ne veux pas qu’un seul instant soit gâché parce que je ne serai pas à la hauteur. » lui dis-je en souriant.
« Alors ne perdons pas une minute ! Je prends ma douche, seule, car je commence à te connaître ! Tu as un double des clés de mon apart sur la table du salon. On se retrouve ici dans une heure ? »
N’attendant pas ma réponse qui aurait été une évidence, elle déposât un baiser sur mes lèvres, sautât du lit et se dirigeât vers la salle de bains. Quelques secondes plus tard j’entendis l’eau qui coulait.
Les deux jours qui passèrent filèrent à une allure grand V. Nous vivions nus dans son appartement et tout était prétexte à faire l’amour. Nous explorions nos corps à la découverte de nouvelles sensations. Je la fis jouir de nombreuses fois dans toutes les positions, testant chaque pièce y compris la buanderie où je la pris assise sur la machine à laver le linge en plein essorage. Dans les moments où j’étais en pleine récupération, mes caresses intimes s’accompagnaient de pénétrations de son sexe, soit avec un concombre que j’avais trouvé dans le frigo, soit avec ma main. J’étais étonné de sa faculté à atteindre l’orgasme rapidement. Elle était faite pour l’amour. Elle me le rendait bien. Sa bouche, que j’adorais fouiller de ma langue, notamment quand nos sucs se mélaient, était un vrai délice lorsqu’elle venait se poser sur mon sexe pour entamer de divines fellations. Elle avait le don de me faire bander en quelques minutes surtout quand elle me prenait tout au fond de sa gorge et qu’elle me mettait un doigt dans l’anus pour venir me masser la prostate.
Le reste du temps nous parlions beaucoup pour mieux nous connaitre. J’appris tout de sa vie, elle apprît tout de la mienne. Nos conversations étaient variées et j’étais étonné de sa grande culture. Passionnée de musique classique, mais aussi de Jazz, elle était comme moi ecclectique dans ses choix.Paraphrasant le livre qui avait émaillé ma jeunesse, Love Story d’Eric Segal, « Elle aimait Mozart, Bach, le Jazz et les Beatles... Et moi »
FIN DU QUATRIEME EPISODE
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