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Un praticien pervers

Chapitre 3

Divers
DEUXIEME PARTIE

J’ai raconté dans une première partie que lorsque j’étais jeune médecin, j’étais tombé sur une sorte de journal intime du médecin généraliste que je remplaçais, le journal bien salace d’un confrère pervers, que la libido devait titiller depuis qu’il était divorcé et seul, au point de ressentir le besoin de coucher sur le papier ses exploits sexuels (puis que déontologiquement interdits) avec certaines de ses patientes.
Il y a quelques mois je rangeais des papiers (je suis très bordélique, je dois l’avouer, et je garde très longtemps – trop longtemps – des papiers inutiles) et je tombai sur des papiers professionnels que j’avais gardés du temps de mon activité libérale.Or, quel ne fut pas ma surprise de trouver, parmi des documents vieux de vingt ans, (ma comptabilité passée et dépassée), des feuillets en vrac du confrère vicieux que j’avais embarqués par mégarde. Je me dis qu’il n’avait jamais osé me demander si je n’étais pas parti avec quelque chose à lui ; de toutes façons, je n’avais visiblement emmené qu’une petite partie de ses « œuvres ».Maintenant, il y a plus que prescription.
Néanmoins si ce praticien prenait des libertés éhontées avec l’éthique, il faut avouer qu’il était doué pour l’écriture, et devait prendre un malin plaisir à raconter les frasques de sa pratique « para-professionnelle ».
Je fis donc le tri de tous les papiers, et retrouvai, mélangés à mes documents, plusieurs de ses feuillets éparpillésVoici, ci-dessous, le deuxième feuillet :

« L’année dernière, j’étais de garde durant le week-end de la pentecôte. Garde pas trop chargée.Dimanche matin, 4 appels pour tout le village (ce qui est moyen pour notre ville de G., 2200 habitants, sans compter les villages alentour.) Des bricoles, quelques enfants malades surtout. Et une dame que je ne connaissais pas. La personne qui prenait mes appels n’avait pas compris le motif ; ou plutôt elle ne lui avait pas demandé (j’ai beau toujours répéter, voir rabâcher que je veux qu’on note le motif de la visite, il n’y a rien à faire, il y en a toujours qui passent à l’as… on ne peut avoir confiance en personne.)
Vers 10 H me voilà devant la porte de la patiente. Je sonne, elle m’ouvre, encore en chemise de nuit. La cinquantaine débutante environ (comme à beaucoup de femmes de ce canton, il est difficile de donner un âge), sans aucune grâce, pas moche ni belle, mais bon. De toutes façons, elle est avec son mari, dans cette petite maison de ville.Elle m’explique qu’elle avait des problèmes de constipation (depuis…???) et qu’elle n’arrive pas à aller à la selle. Depuis le matin, elle s’y est essayé mais rien à faire (enfin, façon de parler…)Passionnant ! Voilà de la grande urgence, et de la grande médecine. Voilà où part l’agent de la sécu. Une visite de dimanche à 235 balles pour ça ! Mais bon, je suis un bon médecin, patient avec les gens, et puis nous ne sommes pas en pleine période d’épidémie de grippe. Sans quoi, c’est sûr qu’avec une douzaine d’appels, je l’aurais envoyée gentiment balader et expédiée. Et ça n’était même pas ma patiente, en plus. Une patiente du Dr R. (Elle a dû lui courir sur le haricot, celle-là.)
Bon, elle n’est pas allée à la selle depuis quand ? Cinq jours ? Ouais, en fait en posant les questions plus précises, en insistant (« pas du tout ? »), on s’aperçoit que ces personnes qui se disent constipées ou « bouchées » ont juste un transit un peu lent, paresseux, mais ça les inquiète beaucoup. Pour certaines ça tourne à l’obsession, il n’y a plus que ça qui compte, elles n’ont rien d’autre à penser, et le monde tourne autour de ça… enfin, de ce qu’elles « produisent »… ou ne produisent pas, d’ailleurs.Elle s’est assise sur le trône, tout à l’heure, juste avant que j’arrive, et n’a pas réussi. Pas de quoi appeler les pompiers ni déclencher le plan Orsec, vous avez compris.
Celle-là n’a pas l’air franchement inquiète, d’ailleurs.
Bon, la dame n’a pas mal au ventre, pas vraiment. Elle n’a pas de signe inquiétant. Pas d’antécédant grave (pas d’occlusion, de péritonite ou d’opération de l’intestin, pas de maladie chronique de ce côté… ni d’un autre d’ailleurs), de toutes façons elle me l’aurait dit en premier, eh oui.
Je lui demande de s’allonger. Elle s’allonge sur un canapé en tissu très vieillot (c’est la mode dans ces campagnes, une mode hideuse qui présente l’avantage qu’elle ne se démode jamais : la laideur intemporelle.)Je dois lui palper le ventre. Elle relève sa chemise de nuit jusqu’en haut de son abdomen, et comme elle ne porte rien d’autre, elle me dévoile également son pubis (orné de poils clairs et fins), ses cuisses, somme toute, assez bien faites.Pas pudique la dame. Il y en a plein qui auraient au moins mis un slip, sachant qu’elles attendaient le médecin. Mais bon. Il y a en effet des femmes que leur nudité ne gêne pas, ou pour qui le médecin est un médecin avant tout, avant d’être un homme, et font une entière confiance au regard professionnel et technique de l’homme de l’art.C’est effectivement mon regard dans la plupart des cas. Parfois, un moment après, j’y repense et revois involontairement dans ma tête ce que j’ai vu d’agréable.
Je lui palpe donc consciencieusement le ventre, en prenant mon temps. Pas de douleur, rien. Je vais finir (avant de lui prendre la tension) par un toucher rectal, par acquis de conscience (car il n’y a pas le début d’un signe d’occlusion.)Je lui annonce ce que je vais lui faire. Pas de gêne ni de confusion, pas de réaction effarouchée (le contraire m’aurait d’ailleurs étonné, vu sa tenue.) Elle a certainement déjà dû en subir, pas de quoi l’effrayer.
« - Je me mets comment ?— Restez comme ça. Vous allez juste mettre vos poings sous vos fesses. »
J’enfile en doigtier en P.V.C., j’ouvre le tube de gel, en mets une bonne noisette sur le bout de mon index ganté.
« - Relevez un peu les jambes. Oui, comme ça. »
Son œillet froncé est bien visible. Elle attend, docile. J’enduis durant quelques secondes la rosette de gel, puis lentement je force l’entrée. L’anus s’ouvre sans résistance. J’enfile mon doigt dans le conduit étroit jusqu’à la garde. Je tourne, explore bien toutes les parois de l’ampoule rectale… qui est vide, bien entendu.
« - Vous n’avez pas de bouchon, il n’y a rien. C’est bon. »
Je lui prescris un petit traitement de fond pour la constipation, et m’en vais, repars finir mes visites et ma garde.
Lundi matin j’appelle mes confrères pour les informer des visites que j’ai faites, de leurs patients que j’ai vus. Habitude déontologique - la continuité des soins, et surtout l’attitude attendue par les confrères (« je te préviens, je te pique pas ta clientèle. »)Je raconte le motif de la visite de la patiente du Dr R. à celui-ci. Il ne semble pas vraiment étonné. Au bout de quelques années on a tout vu et on est blasés.

Une quinzaine de jours après la patiente me rappelle. Je suis un peu étonné parce que nous sommes un jour de semaine et que le Dr R. doit consulter. Mais bon, les patients ont de droit de changer de médecin traitant quand bon leur semble. Bien entendu sans le prévenir, la plupart du temps. Et sans dire de façon précise au nouveau médecin qu’ils en changent, d’ailleurs. Ce qui a l’avantage de pouvoir faire machine arrière et de continuer à voir l‘ancien si le nouveau ne leur semble finalement pas mieux. C’est humain et nous sommes habitués à cela aussi.
Elle me dit que sa constipation ne s’arrange pas, et qu’elle a vraiment peur d’être « bouchée. »Je lui demande de passer à mon cabinet. Je trouve donc Madame dans la salle d’attente, à la consultation de l’après-midi. Elle ne semble pas plus inquiète que la première fois. Elle porte une robe longue, légère.
Je lui repose les mêmes questions. Aucun signe de gravité bien entendu. La constipation ne semble finalement pas s’être aggravée, mais persiste, sans plus.
Je lui demande de se dévêtir un peu afin de l’examiner. Elle retire sa robe. Elle est en un instant en sous-vêtements, soutien-gorge et culotte, un slip brésilien de couleur bordeaux, assez élégants.Sans que je lui ai rien demandé, elle baisse sa culotte et l’enlève. Là, me dis-je, elle doit penser que le toucher rectal est systématique. Bon, et bien soit. Ca n’était pas obligatoirement au programme, mais puisque elle s’attend à ça, ne la décevons pas.
« - Montez sur la table » lui dis-je.
Elle s’exécute et s’allonge sur le dos. Je lui palpe longuement le ventre, ne constate aucune anomalie, l’abdomen est souple, indolore, même pas sensible, pratiquement pas météorisé (presque pas de gaz perçu). Je lui en fais part.
« - Je vais quand même vérifier que vous n’avez pas de bouchon, à tout hasard. Mettez-vous à quatre pattes. »
Elle me regarde un peu étonnée.
« - Ca sera plus pratique » rajouté-je en réponse à son regard interrogateur.
Voilà donc la dame qui se retourne et s’installe dans une position des plus suggestives, un peu bestiale s’il en est, position de soumission dans laquelle beaucoup d’hommes aiment voir les femmes, il faut bien dire.Le spectacle est agréable à voir ; si le physique de cette femme est assez quelconque, bien que sans aucune difformité ni particularité disgracieuse, son cul pas trop large mais aux fesses bien féminines, épanouies comme il faut, est assez beau.
Je prends un certain plaisir, je dois bien l’avouer, à soigner la mise en scène et la préparation. J’exige :
« - Reculez le plus possible, le plus près du bord de la table. Oui comme ça. Allez-y. Tant que vos genoux reposent sur la table, vous ne tomberez pas », plaisantai-je.« Et écartez un peu les cuisses, sinon je ne pourrai pas m’approcher. »
Bien entendu, elle se conforme avec zèle à ma prescription.
J’enfile le doigtier, prends du gel, une bonne dose que j’étale sur l’extrémité de l’index et du majeur, puis je me place derrière elle, juste contre le bord du divan d’examen ; j’ai là une vue imprenable sur un spectacle unique : une jolie paire de fesses bien rondes et bien déployées, ornées au centre d’un petit cratère plus sombre et plissé, et juste en dessous, une jolie pêche fendue et entrouverte se prolongeant plus bas par le ventre.
Avec les deux doigts j’enduis copieusement la petite cupule, et même tout son pourtour (bien plus qu’il est nécessaire), faisant durer l’opération autant que je le peux sans que cela paraisse suspect.Puis, après avoir caressé encore deux secondes la rosette, je glisse l’extrémité de mon majeur, pris par une subite envie de déroger à la règle (l’index est plus habile pour les touchers médicaux, mais le majeur est plus long !)Le canal s’ouvre et laisse passer sans difficultés le doigt qui glisse toujours sans aucune résistance bien jusqu’au fond ; j’appuie avec insistance ma main sur son périnée, plus que de besoin, sous prétexte d’aller explorer son ampoule rectale bien à fond. Là, tandis que la pulpe de mon majeur fouille et palpe la paroi interne, je fais trois ou quatre rotations en prenant bien mon temps (là où, d’habitude on en fait une, parfois deux, maximum), ma main fermée, ce faisant, frotte bien contre sa vulve entrebâillée.
Quand je retire mon doigt en la rassurant, une nouvelle fois, sur la parfaite normalité de son examen, je rajoute :
« - Attendez, je vais vous essuyer »
Et je prends du papier afin de lui enlever la copieuse dose de gel que je lui ai étalée autour de sa rosette, et qui déborde sur tout le sillon fessier et la face intime des fesses.Bien entendu, l’usage veut qu’on donne le papier au patient et qu’il le fasse lui-même, afin d’éviter un geste pouvant paraître équivoque, et lui épargner ce geste qu’il pourrait ressentir comme humiliant.Là, j’avoue que d’instinct, je prends cette initiative, et la dame se prête de bonne grâce à cette attitude de soumission prolongée.Je passe plusieurs fois le papier dans le sillon, insistant sur la rosette, et également sur l’intérieur des fesses, jusqu’au milieu des rotondités qui sont toutes luisantes.
Elle se rhabille, attend ma prescription, mes conseils, très attentive, très docile, et s’en va en me remerciant avec gratitude et déférence.

Là je me dis que si j’avais exagéré pour m’en débarrasser et ne plus la revoir avec son obsession, sa peur de boucher sa tuyauterie, elle reprendra le chemin de son médecin traitant, et je ne la reverrai plus dans mon cabinet.
Quelques semaines passent, qui manquent de me donner raison.
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