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Un praticien pervers

Chapitre 4

Divers
Mais un jour, un appel au téléphone. C’était elle. Sa constipation ne s’arrange pas. Elle en a assez. Ca la fatigue. Elle aimerait bien être débarrassée de ce problème pénible.
C’est aussi fatiguant pour le médecin parfois. On a beau rabâcher, répéter les mêmes conseils (sans doute par toujours efficaces, je l’accorde), mais surtout que ça n’est pas grave (et se demander parfois pourquoi un truc aussi banal et répandu qui dure depuis plus de quarante ans est soudain devenu insupportable… mystère de l’esprit humain), certains patients ne se lassent pas. En tout cas ils finissent par lasser. Ou alors ils se disent il n’y a pas de raison d’être le seul à être empoisonné par ça, partageons cet empoisonnement, allez savoir. Peut-être une forme de vengeance qui voudrait dire : je te punis parce que tu n’arrives pas à me guérir… enfin.
Souvent, il faut comprendre les médecins qui se laissent tenter par l’escalade thérapeutique, un piège dangereux qui se referme sur eux. Il y en a qui craquent, se débarrasser de certains patients peut devenir leur obsession à eux.Non, je ne vais pas lui proposer la colectomie totale (ablation du gros intestin), aucun chirurgien n’accepterait. Et je n’en suis pas encore à rêver de le faire moi-même et à vif sur ma table de cuisine : non, cette femme commence à devenir un peu fatigante, certes, mais beaucoup moins que d’autres… Et en plus elle a un beau cul, et un trou très accueillant. (On trouve les compensations qu’on peut, j’appelle ça joindre l’utile (le travail) à l’agréable.)
Je lui parle très patiemment :
« - Ecoutez, on peut toujours vous proposer un autre traitement, même si je sais que vous en avez essayés et pris beaucoup. Sinon il y a toujours la possibilité de vous prescrire un lavement, un lavement évacuateur. Il ne faut pas les répéter trop souvent (ça peut rendre l’intestin paresseux) mais de temps en temps… Disons que ça peut vous débarrasser l’intestin et vous donner une sensation de mieux-être pendant quelques temps. » Surtout quand c’est dans la tête, pensé-je en même temps.
Cette fois, elle me demande de passer chez elle en visite, se trouvant fatiguée, « pas bien ». C’est vrai qu’elle habite à 200 mètres du cabinet, me dis-je. Harassant de marcher jusque là. Je cède, par lassitude, comme toujours. Mais ne lui accorde d’aller la voir que deux jours plus tard, le matin, les deux journées d’avant étant assez chargées. Et puis, elle peut attendre, me dis-je… voire changer d’idée d’ici là.
Le jour dit je me présente chez la patiente, qui m’accueille en chemise de nuit (une habitude, me dis-je.)Nous nous asseyons à la table du séjour, j’écoute une nouvelle fois ses plaintes, ses inquiétudes sous-jacentes, bien patiemment.Sa chemise de nuit, vaporeuse, est assez transparente et je vois sans avoir à forcer sur ma vue qu’elle ne porte rien en-dessous.
« - Bon, je vais vous examiner » lui dis-je.
Et ni une, ni deux, avant que j’ai eu le temps de dire ouf, la patiente s’est installée à quatre pattes sur le canapé et a remonté sa chemise de nuit jusqu’en haut du ventre !Eh bien, me dis-je, on peut dire qu’elle est habituée et a vite compris… ou alors on sait ce qu’elle veut !

Ne me laissant pas décontenancer par son attitude, je lui dis d’un air blasé :
« - Attendez. Mettez-vous sur le dos, je vais d’abord vous examiner le ventre. »
Elle se met sur le dos, de bonne grâce, et sans confusion aucune, m’offrant une vue dégagée sur sa chatte élégante.
Abdomen souple, indolore, examen sans particularité.
« - Tournez-vous maintenant. Prenez la position » osé-je dire, sans préciser. Puisque cette position lui est devenue familière, voire coutumière, et je pense, préférée (mais ça, elle n’allait pas me l’avouer…)
Sans laisser retomber sa nuisette, elle s’installe à genoux sur le canapé, appuyée sur le rebord, bien cambrée, me tendant son cul dans une posture d’offrande bien émouvante. Elle a d’elle-même bien écarté les cuisses, présentant l’avantage d’offrir une jolie vue sur son petit abricot dont la fente s’entrouvre délicatement.J’avoue que j’aurais bien fouillé cet orifice-là aussi ! …dommage que je n’en ai aucun motif.
Elle se laisse enduire la rosette, comme les fois précédentes, tout en essayant de tourner sa tête vers moi, sans aucune appréhension manifeste, bien entendu ; ce geste me semble gracieux, presque érotique.Mais je garde la tête froide, et pénétrant son fondement en grand professionnel, je la fouille consciencieusement, en appuyant bien, en palpant bien ses parois, en pressant légèrement sur sa zone G vers le haut (l’air de rien), et en la massant un peu.L’opération au total ne dure pas plus de 30 secondes, ce qui est déjà long pour ce geste, mais la dame n’a pas l’air de s’en plaindre.Quand je retire lentement mon doigt (à regret) je crois voir que ses petites lèvres disjointes brillent un peu de sève.
« - Bon, dis-je. Tout est normal. Il n’y a pas de bouchon » comme s’il avait pu y avoir un doute. « Je vais vous prescrire un lavement. Vous prendrez le matériel à la pharmacie…— Ca n’est pas douloureux ? Il n’y a pas de danger ?— Non. Faites passer l’eau lentement, pas trop chaude naturellement (pas plus de 30 °C). Et faites-vous plusieurs lavages… pardon, lavements, à la suite, jusqu’à ce que l’eau ressorte bien claire.C’est entendu ? Après ça – et après quelques jours où vous serez peut-être un peu plus ballonnée - vous vous sentirez certainement mieux, plus légère, moins embarrassée. — Entendu Docteur. »
Et elle me dit au-revoir avec un sourire ravi, qui dit que la perspective de l’examen la réjouit plutôt qu’il ne la gêne.
Quelques jours après, elle m’appelle pour m’informer qu’elle a acheté le matériel.
« J’espère que je vais y arriver, Docteur…— Oh mais il n’y a pas de raison. Ca n’est pas sorcier. »
Je dois lui donner des conseils et des recommandations encore, la « «rassurer », s’il en était besoin.Je sens qu’elle insiste mais n’ose pas me demander de venir à domicile lui mettre en place le lavement.Elle me pose une avalanche de questions sur la bonne technique, le débit, la position à prendre durant le lavement, la hauteur à laquelle il faut poser le bocal etc…
Je finis par lui suggérer :
« - Vous pourriez vous faire aider ? Vous ne pouvez pas demander à votre mari de la faire ?— Oh non, Docteur, ça, lui, ça le dégoûte. Et puis ce genre de trucs il n’y connaît rien. Même s’il voulait il saurait encore moins s’y prendre. — Oui, je comprends. »
Finalement elle ose :
« - Vous ne pourriez pas au moins passer en fin d’après-midi pour voir si tout se passe bien, si je n’ai pas de problème ? »
Je m’entends répondre d’une voix lasse :
« - OK. Je passerai…— Merci beaucoup Docteur ! »
Le jour dit, je n’ai pas trop envie d’aller la voir. Mais je dois être fidèle à ma parole.
Bien qu’étant en plein après-midi (16H passés) elle m’ouvre en chemise de nuit. (Plus facile pour recevoir le lavement, me dis-je.)J’ai quand même une appréhension, et me demande soudain avec frayeur si elle ne m’a pas attendu pour commencer… Elle serait gonflée, tout de même.Mais non :
« - J’en ai déjà passé 3 litres, Docteur.— Bon. Fort bien. Et qu’est-ce que ça dit ? Le liquide est clair ?— Pas encore vraiment. Mais zut, que je suis sotte, je ne l’ai pas gardée pour vous montrer !— Oui… évidemment. »
Ouf, me dis-je, encore heureux, je ne tiens pas spécialement à ce genre de vision peu ragoutante.
« - Mais alors, vous pensez que c’est suffisant ? Comment savoir si je suis bien « lavée » ? »
Là, je suis piégé.
« - Hum… Normalement ça devrait suffire…— « Normalement » ? C’est-à-dire ? Parfois ça n’est pas suffisant ?— En général il faut 4 ou 5 litres de suite. » Je suis trop honnête, me dis-je. Mais en même temps, si la dame ne se fait pas bien laver, elle va revenir me harceler dans quinze jours. Lavons la poule comme il faut !
« - Bon, et bien, ce que vous allez faire c’est vous administrer encore deux fois un litre, et nous verrons si vous êtes bien lavée. »
Elle a un sourire ravi, elle a gagné. L’eau étant encore chaude, je lui demande de se mettre à quatre pattes par terre sur la moquette.Elle remonte gracieusement sa nuisette qui glisse jusqu’à se poitrine, étant donné qu’elle s’était bien cambrée, m’offrant le délicieux spectacle de son cul somptueux bien offert.
« - Comme ça » lui dis-je, « je vais poser le broc sur la table et avec le dénivelé, ça coulera très vite. » Et ça ne s’éternisera pas et je ne serai pas coincé ici, surtout, pensai-je.
« - Mettez bien votre c… euh, votre bassin bien en l’air, pour que ça coule vite et remonte bien haut dans vos intestins. »
Conquise, elle tend son derrière bien haut, en ayant allongé les bras bien à plat au sol, sa poitrine sur le tapis.
Avant de lui introduire la canule, je ne peux m’empêcher de mettre un doigtier, du gel, et de la doigter copieusement, sous prétexte de lubrification, (de protéger son canal anal de l’irritation que pouvait provoquer le passage répété de l’eau chaude.)Elle ne s’en plaint pas et son anus souple et accueillant est ravi de l’attention que je lui porte : il s’ouvre avec gratitude et absorbe (je dirais presque : aspire) mon index avec des bruits de succion.
Bon, je lui administrai dare-dare dans la foulée les 2 litres, la laissant juste aller se vider entre les deux (temps qui me permit juste de chauffer l’eau pour le dernier lavement.)Ensuite je lui demandai de se soulager dans une cuvette « pour que je vois les « humeurs ». »
Alors que je m’attendais à ce qu’elle fasse ça dans sa salle de bain, je la vis avec stupéfaction poser la cuvette à terre dans le séjour, relever sa chemise de nuit sur son ventre (me montrant bien au passage sa vulve duvetée et bien fendue), s’accroupir et se vider à grands bruits d’eau sifflante, tandis que son visage un peu congestionné exprimait une satisfaction intense. Ce faisant elle me regarda, réprimant un sourire de contentement.
Elle avait oublié de prendre du papier toilette, et se sentit un peu ridicule, coincée au-dessus de la cuvette, le cul en train de goutter, et n’osait bouger.Volant à son secours, j’allai chercher le papier, et quand je revins, la voyant embarrassée à maintenir sa nuisette relevée pour ne pas la salir, je pris le papier et lui essuyai moi-même le sillon fesser, ainsi que tout le pourtour, le haut des cuisses et les fesses qu’elle avait largement arrosés.
Son visage était rouge de confusion, mais outre la gratitude, j’y lus un trouble intense. Elle me remercia d’une voix faible, et finit par baisser les yeux sous mon regard qui la contemplait ainsi, dans une situation d’ordinaire plutôt humiliante.
Je regardai assez brièvement le « liquide » rejeté, pour déclarer solennellement qu’elle était bien « lavée » et que le traitement était bien réussi.
Là-dessus, elle me régla la visite, et je repartis.

Plusieurs jours se passèrent. Elle m’appela au téléphone. Oui je l’avais bien prévenue qu’elle pouvait être ballonnée durant quelques jours. Non ça n’était pas qu’elle était très inquiète. Mais elle n’avait quasiment pas de selles, est-ce que c’était normal ?
« - Madame Dautiez » lui dis-je, « on vous a totalement lavé l’intestin, de tout ce qui pouvait stagner depuis longtemps. Vous avez un transit lent, c’est normal que ce soit long à descendre chez vous…— Oui mais, il n’y a pas de risque ? Plusieurs jours sans y aller… Ca ne peut pas me boucher… ?— Non, ça ne peut pas vous boucher » répondis-je un peu sèchement, essayant de masquer mon agacement.— « Oui, bon, je vous crois. Mais comme j’ai assez mal au ventre… et je n’ai pas de médicament pour ça… — Vous n’avez pas de Spasmagol® ? Ou du Météorexyl® ?— Non, je n’ai rien de ce que vous dîtes… »
Elle me fit donc venir en visite l’après-midi même. J’étais pressé, j’avais pas mal de visites à faire, j’étais donc décidé à être assez expéditif.
Elle m’accueillit un peu gênée devant mon air renfrogné. Elle se rendait peut-être compte qu’elle abusait un peu.Elle était en robe, une robe à fleurs assez vieillotte. Elle me conduisit dans sa chambre, cette fois.Je la questionnai brièvement, je savais déjà tout. Pas besoin d’un interrogatoire très poussé.Elle s’allongea très vite sur le dos, comprenant que j’étais pressé, releva sa robe sur sa poitrine : elle n’avait pas de culotte. Parfait, me dis-je, on va gagner du temps.Je palpai son ventre, pas franchement gonflé, sensible « ouïlle, aï… » …elle devait en rajouter pas mal…
Puis sans dire un mot je pris un doigtier, me l’enfilai, et me surpris moi-même à lui ordonner sèchement :
« - Allez, en position ! »
Elle réagit très vite, sauta presque pour se mettre à 4 pattes en travers du lit, et me présenter son beau cul.
Je lui jetai presque le tube de gel et grommelai :
« - Tenez, mettez-vous vous-même du gel sur l’anus, ça nous gagnera du temps ! »
Etonnée mais sans oser rien dire, elle ouvrit le tube, se mit du gel sur les doigts et je la vis se contorsionner pour s’en mettre maladroitement entre les fesses.
Naturellement, je ne pénétrai pas son anus comme un sauvage, mais étalai le surplus de gel bien sur la cible, et la pénétrai avec l’index (son anneau était toujours bien ouvert et bien souple), l’enfonçai à fond, toujours le plus profondément possible, appuyant bien ma main sur sa vulve et bien sur les parois tout au fond et dans toutes les directions, gigotant mon doigt et le tournant.Je crus ressentir comme un spasme, tout au fond, venu d’on ne sait où, l’espace d’une ou deux secondes, mais elle resta muette.
J’avais déjà retiré mon index et enlevé mon doigtier qu’elle était encore à quatre pattes comme si elle attendait encore quelque chose.Enhardi par son attitude passive et pour la bousculer un peu, je lui assénai une claque sonore sur chaque fesse :
« - C’est bon, Mme Dautiez, vous n’avez pas de bouchon. Vous m’excuserez si je suis bref mais beaucoup de visites encore m’attendent. Il y a une véritable épidémie d’angines.— Oui Docteur, je comprends. Je vais vous régler. »

Quelques semaines passèrent durant lesquels je ne la vis plus ; je pensai que je l’avais « vaccinée » en la bousculant un peu de la sorte.Non qu’à l’instar de confrères, je fasse exprès d’être désagréable avec les patients que je n’aimerais plus revoir, mais je me dis que, soit elle s’était lassée, soit elle était frustrée du « traitement » trop bref que je consacrais désormais à son trou du cul.
Mais voilà que, ô surprise, un matin, je la trouve dans ma salle d’attente. Je me dis ça y est, la voilà revenue – ou plutôt repartie – avec sa constipation opiniâtre et sa peur d’être bouchée.
Mais elle semble radieuse, souriante. Elle vient parce qu’elle s’est fait une brûlure à la main il y a quelques jours ; elle a été soignée aux Urgences où on lui a conseillé de se faire faire un rappel de vaccination contre le tétanos.
Je regarde la brûlure, elle est cicatrisée, la peau est encore rouge, fine, sensible, rien que de normal. Je lui fais son injection. Je n’aborde pas (non, je l’évite) le sujet de son transit.Elle me remercie, me fait un chèque.
Je vais la raccompagner jusqu’à la porte du bureau, et au moment d’ouvrir celle-ci, elle se tourne vers moi avec une petite moue coquette :
« - Dites, Docteur, ça ne vous embêterait pas de vérifier… quand même ? Je n’ai plus mal au ventre, mais je vais à la selle tellement peu souvent (une fois par semaine… à peine.) »
Evidemment, elle est rhabillée, le sac à la main, prête à partir. Ma porte se trouve juste à côté du divan d’examen (le cabinet est petit.)Je pose ma main sur son bras, l’autre sur le bas de son dos et la pousse doucement vers la table d’examen pour qu’elle s’y accoude (pas question que je la fasse se déshabiller et compagnie…)Debout, elle se penche sur la table d’examen, remonte sa robe sur ses reins d’un geste lent et gracieux.
Elle est là, en position d’attente, les jambes légèrement écartées sur ses chaussures à semelle de corde. Elle a encore sa culotte, un joli slip brésilien en dentelles. Elle ne bouche pas. J’attends quelques secondes mais rien ne vient. Elle sait bien pourtant qu’il faut la retirer.Répondant à cette invite et pour ne pas perdre d’avantage de temps, j’attrape les deux côtés du slip et le descend d’un coup. Elle secoue un peu ses reins, comme si son postérieur mis à nu se sentait saisi par l’air frais. La culotte tombe lentement aux chevilles. D’un petit geste des jambes elle s’en débarrasse. Je me retrouve donc devant sa pleine lune, ses deux fesses épanouies.Je prends le doigtier, le gel, une bonne dose et lui ordonne :
« - Ecartez-vous les fesses. »
La voilà qui couche sa poitrine et l’appuie sur le divan d’examen, passe ses mains le long du corps, et s’écarte largement ses deux hémisphères, me révélant son sillon fessier sombre et le petit cratère bien exposé.Je caresse - plus que je n’enduis de gel – toute la vallée des fesses, et fond sur la rosette froncée qui palpite. Elle s’ouvre comme d’habitude sans difficultés et laisse passer mon index qui glisse tout seul jusqu’au fond, bien à fond.Je l’explore, je la fouille, je palpe du bout du doigt toutes les parois, j’avance, je recule, j’hésite, je retourne sur mes pas, mon doigt insiste, appuie, comme en proie au doute.
Elle se laisse faire bien docilement, sa respiration est ample.
« -Attendez », dis-je, « je sens quelque chose de bizarre… — C’est grave… ?— Je ne sais pas, je ne sens pas bien… sur la paroi antérieure… hum, ou plutôt sous la paroi antérieure…— C’est où… ?— Attendez. Ce qu’il faut… Ce que je vais faire, c’est vous faire un toucher bi-digital.— Un quoi ?— Un toucher vaginal en même temps… Ne vous inquiétez pas, ça n’est pas douloureux. »
Là-dessus, je sors mon index, me garnis les mains de deux doigtiers, reprends du gel, en mets sur mes deux index, et lentement je lui enfile l’index droit dans la chatte… elle est brûlante ; je pousse le doigt bien à fond et lui fais un toucher méthodique, dans toutes les directions, et explorant bien toutes ses parois.Puis sans le retirer, je rentre le majeur gauche dans son anus, et en crochet, il cherche son homologue en dessous. La paroi est mince, mais musclée ; naturellement je ne sens aucune masse.Je fais des va-et-vient coordonnées pour essayer de retrouver ce que j’avais « cru percevoir. »
Je sens que sa respiration est courte, elle bouge légèrement les reins, elle a lâché ses fesses et se tient au bord opposé du divan.J’ai l’impression que sa vulve coule, que l’orifice corail, brillant, est de plus en plus humide.
Soudain elle crie, brièvement, et je crois voir un petit jet de cyprine qu’elle vient d’expulser.
Je feins la surprise :
« - Je vous ai fait mal ?!— Non… non, ça va » répond-elle, la voix un peu hachée, essayant de reprendre ses esprits.« - Bon, non, il n’y a rien. J’ai cru sentir… mais c’est normal. »
Je retire mes doigts, elle reste ainsi cuisses écartées et le cul offert, je prends du papier et l’essuie méthodiquement bien partout. Elle se laisse faire comme un bébé, un gros bébé.
Quand elle se relève pour reprendre et remettre sa culotte, son visage est très rouge, elle a l’air échevelée. Elle lève à peine les yeux vers moi, son regard trouble et confus, et me tend la main, me dit au-revoir et s’en va presque en flageolant sur ses jambes.
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