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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Le premier cocufiage de mon ex-femme

Chapitre 1

Hétéro
Nous sommes divorcés depuis dix ans....donc prescription.
Depuis bien longtemps, je lui demandais de franchir le pas, elle s’y refusait mais à force de la relancer, elle finit par passer à l’acte. C’est au cours d’une soirée Beaujolais au sein de son entreprise que cela c’est produit. Elle travaillait dans un commerce de pièces automobiles et pour la sortie de ce vin ils avaient invités leurs clients. Souvent, elle me parlait d’un client qui lui faisait des avances chaque fois que cela lui était possible. Elle n’était pas insensible à cet homme et plusieurs fois je lui avais demandé de donner une suite aux offres de ce dernier sans succès. Est-ce le Beaujolais où le fait de la pousser à le faire, toujours est il que ce soir-là elle a sauté le pas. En rentrant vers 3 heures du matin elle m’ a réveillé pour me raconter son aventure. Elle s’était habillée d’une jupe ample arrivant à mi-mollet et d’un caraco sur lequel une veste lui couvrait les épaules, dessous un porte-jarretelles noir assorti d’une culotte de même couleur, des bas noirs mais pas de soutien gorge du fait des fines bretelles du caraco, ce qui fait que l’on devinait une poitrine ferme mais pas volumineuse et ses tétons qui pointaient sous la soie. Elle est entrée dans la chambre, s’est retroussée et m’a dit : touche ma culotte, j’ai posé ma main sur le renflement de son pubis et au travers du tissu j’ai pu constater qu’elle était toute mouillée. Tu vois mon chéri, tu voulais que je couche et bien voilà c’est fait, tu es cocu, je me suis donnée à Pierre le gars de la base dont je t’ai parlé et dont tu souhaitais que je couche avec. Pierre est agé de 45 ans, ma femme a cette époque en avait 28. Tu veux que je te raconte comment cela s’est passé ? bien sûr que je le voulais ! Tout le long de la soirée il était à mes côtés, me faisant compliments sur compliments et me demandant si sous ma jupe j’étais comme sous mon bustier sans sous-vêtement, je lui ai répondu vous n’avez qu’a vous en rendre compte par vous-même. Il m’a dit OK viens dans les toilettes et je l’ y ai suivi. Une fois aux W-C et après nous être assurés qu’il n’y avait personne à l’intérieur, je me suis retroussée lentement, quand il a vu que de plus j’avais mis des bas, il est devenu pivoine, J’ai relevé un peu plus ma jupe lui dévoilant ma culotte au travers de laquelle il pouvait voir la toison brune de ma chatte par transparence. Il a avancé sa main pour me toucher et j’ai ouvert mes jambes pour lui permettre de mieux appliquer sa caresse, j’étais trempée tu t’en doutes et je lui ai dit : ce soir je suis à vous. Il s’est agenouillé et m’a retiré ma culotte, puis très furtivement a posé sa bouche sur mon sexe, faisant glisser sa langue dans le sillon de mes lèvres afin de recueillir la sève qui en coulait, il s’est levé et nous sommes retournés dans le magasin en attendant la fin de la collation. Le fait de me sentir nue m’ excitait encore plus. Vers 23 heures nous avons quitté le magasin et je l’ai suivi jusque chez lui. Sa femme était en voyage, nous étions donc tranquille pour nous donner l’un à l’autre. Très rapidement, il m’a déshabillé, faut dire que je n’avais plus grand-chose sur moi, me demandant de ne garder, que mes bas. Il m’a projeté sur le lit conjugale, s’est lui-même déshabillé, ce qui m’a permis de bien détailler son sexe et son corps, puis nu comme un vers s’est allongé à mes cotés. Nous n’avons pas perdu de temps et de suite il a a nouveau plaqué sa bouche sur mon nid d’amour, me faisant un cunulingus long et profond arrachant de ma gorge des soupirs de bien être, j’ai joui très rapidement en pensant à toi qui devenait mon cocu de mari. Après cela c’est moi qui lui ai prodigué une fellation chaude et profonde lui massant les testicules remplis du foutre qui allait dans quelques minutes inonder ma chatte. Mais avant cela je voulais sentir sa bite grossir, durcir du désir qu’il avait pour moi. Il me disait des je t’aime à ne plus finir, que j’étais magnifique, que ma chatte était douce, en fait tout ce que tu ne me dis plus. Il me caressait les seins, roulant mes pointes entre ses doigts, les faisant saillir encore plus. Après de longues minutes, il s’est couché sur moi et j’ai senti sa queue contre mon sexe, mes lèvres s’ouvraient à l’intrus, son gland pénétrait un peu mon intimité et maintenant pour la première fois un autre sexe d’homme allait prendre possession de mon être, je repensais à toi et cela augmentait mon désir, je n’avais plus qu’une envie, qu’un foutre nouveau jaillisse dans mon vagin, il me proposa de mettre un préservatif, mais je lui dis que non, je voulais qu’il s’épanche en moi pour te donner la preuve de ton cocufiage. En me disant cela, il est vrai que je sentais le sperme de cet homme, sur ma verge puisque pendant qu’elle me racontait tout ceci, je la pénétrais et mon excitation était grandissante, je me retenais de ne pas jouir pour connaître la suite de sa baise. Elle continua son récit, il s’excitait et m’excitait en continuant son mouvement de va et viens sur mon corps, masturbant mon clitoris avec son gland chaque fois qu’il pressait dessus, celui-ci était d’ailleurs bandé au maximum, une vraie petite bite. Des ondes de plaisir parcouraient mon ventre et le corps tout entier. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains écrasaient ma poitrine sans aucun ménagement. De petits orgasmes irradiaient mon être, j’étais bien et je me disais c’est extra, pourquoi avoir tant attendu pour me donner a d’autres. A présent, mon chéri je crois qu’il te faudra me freiner plus tôt que de m’encourager. Il s’est redressé et ouvrant le compas de mes cuisses ses yeux se posèrent sur mon minou qu’il allait posséder et que je lui offrais, c’est moi-même qui saisit son membre et le fit glisser sur mes lèvres pour qu’elles épousent la forme de son pieu. M’ouvrant à lui, il poussa lentement sa queue qui investit mon canal vaginal, petit à petit, son sexe emplissait mon intimité qui jusque là n’avait été possédé que par toi. Il plongea au plus profond de moi et s’y immobilisa quelques instants, le temps pour chacun de nous de profiter de cette possession réciproque et voulue. Il se retira et replongea au fond de mon corps, sa cadence augmentait au fur et à mesure des allers retour dans ma chatte qui se contractait un peu plus chaque fois, ses couilles claquaient sur mes fesses, je sentais l’orgasme prendre forme en moi, sa queue se dilatait, je sentais son gland doubler, tripler même et je savais que l’explosion était proche. Je l’encourageais verbalement à venir se vider en moi, il patientait comme pour mieux affirmer sa domination, alors qu’a présent je jouissais à chaque pénétration. Nous étions en nage tellement nous nous donnions. Il continuait à me posséder, il retardait son plaisir en me disant: depuis le temps que tu me fais patienter, je veux profiter pleinement de ce que tu me donnes, tu seras marquée à tout jamais dans tes chairs de mon foutre. Je répondais par l’affirmative à ses dires. Puis dans un râle animal, il se planta au fond de mon utérus et j’ai senti les salves de son sperme qu’il projeta en moi. Nous sommes restés un long moment accouplé, lui en moi, sa queue dans mon ventre, tout comme toi à présent. Après avoir repris nos esprits, il m’a offert un verre, et il m’a rendu ma culotte, cette culotte que tu as touché imprégné de son jus. Je n’ai pas souhaité me laver chez lui bien qu’il me le proposa, je voulais que tu te rende compte de ma conduite. J’espère que tu es fière de moi ! Pour toute réponse, j’ai mélangé mon sperme a celui de cet homme.
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    Meli
    par Anonyme
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