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Premier emploi commercial

Chapitre 3

La faute et l'anniversaire

Voyeur / Exhibition
Laurent prit une grande inspiration et commença à frapper les fesses de Sally avec force et détermination. Il l’entendais geindre en retenant ses plaintes, elle avait peur de l’indisposer ; ses larmes coulaient. Elle gigotait pour échapper à ses claques, honteuse de se faire corriger comme une enfant mais elle sentait en même temps qu’il se retenait. Il veillait à ce que sa correction soit dure mais juste, sans mauvais esprit. Elle ressentait une douleur à chaque frappe et il fallait qu’il la tienne fermement de sa main gauche pour qu’elle ne soit pas tentée de s’échapper.Voyant que les fesses de sa subordonnée devenaient rouges, il fit une pose et se mit à les caresser délicatement.
— C’est presque terminé, ne vous en faites pas, dit-il en regroupant sa crinière blonde de ses deux mains.
Il saisit alors la chevelure de Sally de la main gauche et tira pour lui redresser la tête.
— Ouille, fit-elle.
Mais il ne lui laissa pas le temps de protester, il reprit sa fessée de plus belle en la tenant maintenant par les cheveux. Sous la douleur, ses jambes gainées de bas blancs battaient l’air au rythme des coups.Puis tout s’arrêta soudain et l’ambiance s’apaisa.
— Bravo, vous avez passé cette épreuve avec courage, dit-il en effleurant son dos et ses pommes d’amour maintenant cramoisies, il me reste à vous récompenser pour votre réussite. Il saisit alors quelque chose à proximité.— Écartez vos fesses, ordonna-t-il, je ne voudrais pas vous faire mal, ne bougez plus.— Mais que…
Elle sentit qu’il distendait doucement son œillet et qu’il y faisait pénétrer un plug métallique. C’était dérangeant pour elle car elle n’avait jamais laissé passer un homme dans son étroit conduit. Une fois l’objet en place, Laurent lui asséna deux petites claques sur le derrière pour lui signifier qu’elle pouvait disposer.
— Bien, une bonne chose de faite, vous garderez ce rosebud sur vous pendant une semaine, quand vous serez au travail, cela montrera votre bonne disposition.
Sally sortit, soulagée et humiliée à la fois en se frottant le postérieur, elle fut interceptée par Marie-Ange qui avait compris ce qui s’était passé.
— Vous mettrez ce baume, prescrit-elle en glissant à Sally un petit récipient.
Celle-ci s’éloigna en rougissant et s’empressa d’aller refaire son maquillage. En marchant, elle sentait en elle cet intru et mit quelque temps avant de l’oublier. Le soir, en repensant à cette scène, elle fut désappointée car si l’humiliation lui revenait en mémoire, une certaine excitation l’accompagnait.
Le lendemain matin, elle allait sortir de chez elle quand elle se sentit soudain nue, il manquait quelque chose : elle se rappela alors qu’elle devait enfiler le bijou anal. Elle le lubrifia avec la langue puis l’introduisit, c’était déjà plus facile, la petite porte avait gagné en souplesse. Elle s’en félicita, pensant que ce serait moins gênant à l’avenir. Comme tous les matins, elle se présenta pour faire examiner son intimité mais alors qu’elle allait partir, Laurent l’arrêta.
— Montrez-moi votre postérieur, je dois vérifier que vous êtes bien obéissante.
Il s’approcha alors de Sally et écarta ses fesses puis les gratifia d’une petite claque pour signifier son contentement.Sally était contente, elle avait pu reprendre son poste sans trop de dégâts, Laurent se comportait comme si rien ne s’était passé et, mis à part le petit contrôle du matin, elle ne sentait peser aucune contrainte sur son travail. Son chef agissait en grand professionnel et ne laissait pas l’érotisme prendre le pas sur les missions ; cependant, il ne manquait jamais de féliciter ses collaboratrices lorsqu’elles étaient particulièrement séduisantes.A quelques temps de cela, Marie-Ange annonça par mail que l’anniversaire de Laurent approchait, qu’une collecte était organisée et qu’ils se réuniraient tous un vendredi soir. Le soir venu, Sally entra avec ses collègues dans le bureau de la secrétaire. Celle-ci leur intima l’ordre d’enlever leurs habits, exception faite de leurs bas et escarpins.Puis, Marie-Ange, les faisait entrer une à une ;
— Vous allez défiler devant le chef et quelques-uns de ses amis, vous devez faire honneur au service et être les plus belles possibles ; en disant cela, elle attrapa Sally qui allait entrer et saisit à pleine main ses deux seins qu’elle malaxa.— Vos seins doivent pointer, annonça-t-elle en mettant dans sa bouche un des deux tétons de Sally ; celle-ci ne put retenir un petit cri de surprise puis de plaisir et sentit sa poitrine se redresser.
Poussée dans le bureau, elle marcha un peu hésitante au début, nue comme un vers ou presque et le rouge aux joues, puis décidée enfin, tête haute, fière comme un mannequin. C’était la première fois qu’elle s’exhibait en petite tenue devant de parfaits inconnus, à la vérité trois hommes. Laurent vint à sa rencontre et la remercia de lui offrir pour cadeau sa nudité, il la présenta à ses amis et bien que rougissante, elle fit bonne figure et resta ainsi pendant toute la fête, entourée de ses collègues que la nudité n’avait pas l’air de gêner.
— C’est normal, tu n’as pas encore un an d’ancienneté, après tu seras invitée à des week-end chez Laurent, on s’amuse bien mais je ne peux pas t’en dire plus, tu verras par toi-même, lui dit Emeline, une autre commerciale.
Pendant la soirée, l’un des amis de Laurent, un beau brun l’aborda :
— Si vous voulez changer de service, je serais heureux de vous accueillir, lança-t-il avec un air vicieux en glissant une main sur ses fesses.
Sally se dégagea immédiatement et prétexta qu’on l’appelait, pour fuir cet importun. Au début de la fête, elle avait dû prendre sur elle et se dire que c’était pour Laurent, mais, l’alcool aidant, elle finit par se couler dans l’ambiance et ses réticences disparurent. Elle déambulait maintenant au milieu de femmes seulement vêtues de bas et de talons, discutant de ci et de là et cela lui paraissait tout naturel.A la fin de la soirée, tout le monde se groupa pour la photo et Marie-Ange distribua des strings, il fallait pouvoir exposer quelques souvenirs convenables. Sally mit donc un string, bien qu’elle remarqua qu’il était blanc et particulièrement transparent mais tout le monde était logé à la même enseigne. On fit d’abord une photo où toutes les filles se couvraient les seins, puis Laurent ordonna qu’on laisse les poitrines en liberté. La photo fut particulièrement réussie car toutes les filles avaient de beaux seins, assez gros en général. Elles durent ensuite tourner le dos à l’objectif pour exposer leur postérieur.
— Tout le monde regarde bien l’objectif… FLASH penchez-vous maintenant mes cocottes, qu’on voit bien vos rondeurs.
Sally trouva la position indécente mais suivit le mouvement général.
— Bon, celles qui ne veulent plus être photographiées, vous pouvez vous retirer, indiqua-t-il, les autres autour de moi. Sally, venez, votre place est ici, commanda-t-il alors que celle-ci s’éloignait.
Sally ne put qu’obtempérer. Elle se plaça cependant aussi éloignée du chef qu’elle put, cet ordre lui avait beaucoup déplu.
— Bon maintenant, quelques photos amusantes, présentez toutes vos poitrines à l’objectif...FLASH pincez vos tétons et mettez-les en avant...FLASH retirez vos strings et écartez un peu vos cuisses...FLASH prenez en bouche le sein de votre collègue... FLASH
Au final, Sally se retrouva avec Samantha et Annie pendues chacune à un nichon, elle fut même gratifiée d’un doigt glissant dans son intimité trempée. Elle dut repousser les mains pour se dégager, cela allait trop loin.
— Bon les dernières photos, c’est pour ma collection personnelle, bonne soirée à tous et à toutes, vous avez tous été formidables, merci, déclara-t-il.
Il fit quelques pas et glissa à l’oreille de Sally “je suis fier de vous”, ce qui la rasséréna, les mœurs de ce service sont un peu olé olé, pensa-t-elle. C’était la première fois de sa vie qu’elle était besognée par des femmes et qu’elle se montrait en public dans le plus simple appareil. Quelle soirée !
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