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Première expérience de voyeuse

Chapitre 1

Lesbienne
En classe de seconde à 15 ans, je me savais attirée par les filles mais n’osais en parler à cause du comportement sexiste des ados de la campagne. Les mots « pédés » et « gouines » représentaient l’insulte suprême.Un mercredi après-midi, pour passer le temps, j’assistai à une compétition de natation interne à notre lycée à la piscine municipale. Il s’agissait en fait de mater les nanas en maillot de bain sans attirer l’attention.Mon regard fut attiré par deux filles installées au rang devant le mien. Une de ma classe, mimi brune avec un sourire enjôleur et un corps de nymphette. L’autre en terminale, grande aux cheveux châtains sur une silhouette épanouie, était considérée comme sauvage et solitaire.Leur attitude passait inaperçue au milieu de l’hystérie collective des spectateurs. Inaperçue sauf pour une personne à la recherche de signes particuliers, comme moi.Elles se tenaient trop proches, se frottaient bras contre bras à la moindre occasion, se glissaient des mots silencieux à l’oreille. Je fus à peine surprise de les voir s’éclipser du buffet pendant la pause organisée. C’était le meilleur moyen de filer sans être remarqué.Il ne me fallut pas longtemps pour trouver la cabine dans le vestiaire des filles qui leur servait d’abri. Le carrelage au sol permettait de marcher en silence et ma présence passa inaperçue.Je pensais écouter quand j’aperçus un œilleton de fortune dans la cloison de contre plaqué. Celles qui pensent que seuls les garçons jouent les voyeurs dans les vestiaires n’ont jamais été au lycée. Mon œil se colla au trou.
Tandis qu’elles s’embrassaient à pleine bouche, la fille de terminale déshabilla sa camarade de jeux sans ménagement. La piscine réservée pour deux heures encore, il y avait peu de risque qu’on les découvre, mais il semblait logique de deviner leur impatience. Ma camarade de classe se retrouva nue.Les petits seins plantés haut se tendaient avec fierté, les tétons pointaient au milieu des petites aréoles foncées. L’autre les regarda un instant avant d’en suivre le galbe d’un doigt puis de les caresser.Elle s’arrêta le temps de retirer son pull et son soutien-gorge. Sa poitrine plus ronde avait déjà sa forme adulte. Elles s’embrassèrent encore en jouant lascivement du buste, se frottant seins contre seins, tandis que leurs langues jouaient un ballet sensuel.Excitée par le spectacle, je sentais ma poitrine gonfler et mes tétons durcirent, comme dans ces moments particuliers qui précèdent mes séances de masturbation.Ma camarade de classe se laissa tomber sur le petit banc de bois recouvert de moleskine. Ses cuisses fines écartées laissaient apparaître un minou lisse sous le mont de Vénus recouvert de poils sombres. Ainsi elle se rasait le sexe sans toucher à sa toison (ce que je fais depuis moi aussi). Qu’elle était belle ! L’autre la regarda de haut un instant comme si elle souhaitait être suppliée.L’œil collé à la cloison, je respirais par le nez avec ma main sur ma bouche pour garantir le silence. La situation me troublait au point de ressentir dans mon intimité qui se lubrifiait le picotement significatif de l’excitation.La fille de terminale s’agenouilla enfin et laissa échapper « Je veux te lécher. »Cette phrase retint mon attention. Mes jeux en solitaire n’impliquaient que l’usage des doigts et les dessins ne représentaient dans les toilettes du lycée que des « pipes ».La tête disparut entre les cuisses et la bouche se colla aux lèvres brillantes de ce que je savais être la manifestation physique du désir.J’allais me contenter d’un spectacle soft quand ma camarade de classe replia une de ses jambes sur la banquette, dévoilant son intimité à mes yeux éberlués, et murmura « Manges-moi. » Le timbre chaud augmenta mon excitation.L’autre écarta les replis intimes de son amante et choisit de ne plus la faire attendre. Le nez dans la toison duveteuse, elle caressa les ourlets de chair roses d’un lent mouvement tournant avec sa langue agile avant de s’insinuer dans la grotte.L’aimée se cambra et caressa ses seins en étirant les tétons, réflexe que je connaissais aussi lors de mes jeux sexuels en solitaire.La langue se faufila entre les nymphes jusqu’au capuchon et dénicha le bouton d’amour, ce petit organe si sensible source de tant de plaisir. La fille alterna les caresses de la vulve au clitoris avec une avidité grandissante, le menton luisant de cyprine.« Lécher », « manger », les mots se calquaient à une réalité surprenante. Le bonheur partagé ne faisait aucun doute chez ces filles en train de donner et de recevoir du plaisir. Mon intimité humide réclamait sa part de caresses. Mais si je me laissais aller elles me découvriraient.Les râles de ma camarade de classe montèrent d’un cran, ses mâchoires crispées ne retenaient plus l’envie de se laisser aller.« T’arrête pas » réussit-elle à articuler.L’air confiné de la cabine me grisa, chargé de la subtile odeur prémices à la conclusion. L’autre lapait l’intimité avec une soif vorace, pourtant elle s’arrêta. Si son amie allait jouir, le choix du moment restait sa prérogative.La bouche maculée de sève remonta le long du ventre animé de spasmes, s’attarda sur le téton dardé d’un sein que je devinai brûlant. Entre les cuisses, un doigt caressa la vulve de manière à entretenir l’état second sans rien précipiter de la délivrance.La victime pleura l’assouvissement de son désir. « Je t’en supplie… »« Chut mon amour. Laisse-moi faire. »Une impulsion permit à un sexe avide de happer une phalange indiscrète aussitôt retirée. Le doigt reprit une allure caressante sur tout le pourtour de la vulve, explorateur et inquisiteur.« Han ! » laissa échapper ma camarade de classe au bord des larmes. « Hum… »Le cri de bête blessée chavira le cœur de son amante, le jeu devenait malsain. Son index plongea dans le moelleux de la grotte tandis que son pouce dénicha le clito exacerbé. Elle lui prit la bouche et sembla se régaler de sa salive.« Jouis maintenant. »Les mots étouffés se mêlèrent aux bruits de succion des chairs palpitantes autour du doigt fouineur. Le mouvement du pouce sur le clito s’accéléra. Ma camarade s’arque bouta une fois encore, en état de transe proche du vertige.Elle expulsa sa jouissance dans un cri à peine couvert par la bouche sur la sienne, orgasme saisissant que son corps libéra en d’intenses spasmes révélateurs.
L’amante, pas mal mais somme toute banale, devint superbe l’espace d’un instant. Autant que l’acte lui-même, cette singularité provoqua mon émoi. Je compris alors l’osmose de l’amour entre femmes. Moi aussi un jour je serai belle de procurer tant de bonheur à une autre.
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