Il resta couché sur le dos, ses yeux balayant constamment mon corps de jeune femme, j’en étais à la fois intimidée mais excitée. C’était la première fois qu’un garçon me voyait nue. Je venais tout juste de retirer son pénis de ma bouche, il voulait me prendre maintenant. Je pris l’initiative de m’asseoir à califourchon sur lui, il empoigna mes hanches de ses mains. Ma chatte se posa sur son membre et s’y frotta doucement, heureusement, j’étais bien mouillée. En cambrant son bassin, il positionnait son dard bandé avec insistance pour me pénétrer. Je ne pouvais plus reculer, j’allais perdre ma virginité cette nuit. Tout avait été si vite. J’avais décidé à la dernière minute d’aller à ce party chez un copain de classe, ses parents étaient absents pour le week-end. Ma meilleure amie Jade m’y avait invité. Plein de copines seraient là, plus un tas de garçons... Nous avions bu du vin puis nous avions pigé dans l’armoire de bouteilles d’alcool fort du paternel pour prolonger la soirée jusqu’à tard dans la nuit. Tous le monde était ivre. À la fin, vers trois heures du matin, les gens se sont couché pêle-mêle un peu partout, sur les sofas, les tapis, dans les chambres. Michael, l’hôte de la soirée, et moi, s’étions embrasser toute la soirée pour la première fois. Cela faisait un bon moment que nous nous regardions à l’école, on avait enfin fini par oser se rapprocher. Je le suivi dans sa chambre pour passer le reste de la nuit. Rapidement nos vêtements sont tombés, sa main s’est faufilée dans mon entre-jambe, sa langue a léché mes petits seins et je me suis mis sa verge dans la bouche. La fatigue ressentie à cette heure de la nuit a vite disparue, chassée par le torrent d’adrénaline et l’intense tension sexuelle du moment. J’avais l’impression qu’il était bien membré, mais je ne savais pas trop, c’était la première fois que je voyais un garçon entièrement nu, je n’avais pas de référence. En bouche, sa queue m’avait parue grosse, je ne pouvais qu’en sucer la moitié, maintenant qu’elle était accolée à ma chatte, elle m’apparaissait encore plus massive, bien que je sois menue, son diamètre devait faire celui de mon poignet. Était-ce normal? Je n’en savais trop rien, tout ça était nouveau pour moi, chose sûre, j’étais nerveuse à l’idée qu’elle s’introduisse en moi. Je la plaça a l’entrée de mon vagin, Michael, surexcité, donna un coup de bassin vers le haut, sa verge s’enfouit en moi non sans résistance. Je ne pu retenir un cris d’un mélange de surprise, de plaisir et d’inconfort. Son membre n’entrait pas au complet, il me semblait trop gros pour être accueilli entièrement en mon sein. Mon compagnon me prit alors les hanches fermement et se mis à donner des coups de reins, il me pénétra avec force, mes cris s’intensifièrent, son pénis se forgeant un chemin à chaque aller-retour, étirant mes lèvres au maximum, j’étais déviergée. Après son élan initial incontrôlé, il se calma un peu et s’engouffrait en moi plus délicatement, à mon grand bonheur. Étant assise sur lui, je pu alors contrôler la pénétration, mes mouvements de bassin semblaient lui plaire, il me prenait les seins à pleines mains pendant que je bougeais sur lui. Je m’efforçais de ne pas entrer sa queue au maximum afin d’éviter la douleur. Rapidement je trouva le rythme, au point où je me mis à sentir une chaleur monter en moi. Je continua, accélérant le tempo, bien empalée sur son membre, sentant en moi la lente gestation de l’orgasme en devenir. Malheureusement, il stoppa et me demanda alors de me mettre à quatre patte sur le lit, j’obtempérai. Je ne savais pas qu’on pouvait faire l’amour de cette façon! Il se plaça derrière moi à genoux et guida son engin directement dans mon con. Sans délicatesse il me transperça jusqu’au fond, je criai. Ses deux mains empoingnirent mes deux petites fesses et il me fit l’amour de cette façon avec une passion déchaînée, il me martelait de son énorme queue. Mes cris n’arrêtèrent pas, j’adorais cette position, le plaisir ressenti plus tôt reprenait où il avait cessé, je n’éprouvais que du plaisir, mon vagin s’était accoutumé à son membre. Je n’eus bientôt plus de maîtrise sur mes cris, je ne pouvais plus les étouffés, mes cordes vocales servaient de soupape à mon corps en ébullition. Je m’appuya alors sur les avant-bras, relevant mon petit derrière plus haut, vers la source du plaisir. Ses mains serraient ma fine taille et continuaient sans retenu à ramener mon cul vers lui. À chaque fois mes fesses percutaient son bas ventre et le haut de ses cuisses provoquant un son de claquement répétitif. Encouragé par mes gémissements incontrôlés, Michael intensifia ses coups de boutoirs, il me défonça, je jouis. Je n’oublierai jamais ce premier orgasme, la plupart de mes amies n’avaient pas joui leur première fois. Il se retira de mon sexe quand mon orgasme s’estompa finalement. Était-il venu lui aussi? Je ne savais pas trop, je ne savais pas comment ça se passait pour les hommes. Il me plaqua doucement sur le lit, j’étais étendue sur le ventre, comblée. Il s’assit a califourchon sur mes cuisses et plaça son pénis entre mes deux fesses. J’eus alors très peur qu’il veuille me sodomiser, je n’étais absolument pas prête à ça, je me laissa faire. Bien que mon cul soit minuscule, il était légèrement bombé, ce qui lui permit de rabattre mes deux fesses autour de son membre en érection. Il se masturbait ainsi en utilisant mon derrière, ma craque de fesse était remplie par son imposant morceau. J’avais la frousse qu’il tente de m’enculer, je n’osais rien dire. J’eus ma réponse assez vite quand, au même moment où je l’entendis beugler, je vis une salve, que je devinais être du sperme, atterrir avec une vélocité impressionnante sur la tête de lit à un cheveux devant moi. Je ressentis en même temps une ligne chaude s’étendant du milieu de mon dos jusqu’à mon épaule. Wow, il venait de jouir et d’expulser tout ce sperme sur mon dos. Je compris la seconde suivante que ce n’était que le début alors qu’une autre salve couvrit tout mon dos et s’engouffra dans mes cheveux. Une troisième suivi le même parcours et me gomma encore la chevelure. Il continuait de se branler avec mon cul et d’éjaculer sur moi. Les jets puissants se succédèrent sans arrêt. Je devinais mon dos et mon postérieur recouvert de sperme, sans le voir, je découvrais pour la première fois ce liquide étrangement chaud et gluants qui m’enduisait. J’ai bien dû recevoir une dizaine de décharges. J’avais de la difficulté à m’imaginer avaler ce liquide comme il paraît qu’une de mes amie à déjà fait à un mec. La purge s’arrêta finalement, Michael s’effondra à côté de moi, épuisé. Nous nous regardâmes quelques secondes puis il s’endormit! Toujours couchée sur le ventre, je contemplais encore un peu le jeune étalon qui venait de prendre ma virginité, avant de m’endormir aussi. Au réveil, tout le sperme séché sur moi me prouva que je n’avais pas rêvé!
