C’était le 5 février, Caroline et moi, Marianne, devions nous voir après 1 an exactement à clavarder sur Facebook. J’avais tellement envie de la voir, elle me faisait rêver. À peine quelques mois de discussion que j’en suis tomber follement amoureuse, je n’en croyais aucunement mon âme. Je la voulais pour moi seule, malgré qu’elle habite en France et moi au Québec, c’était cette française qui imageait mes rêves. Sa voix douce et son accent me faisait rire et c’était réciproque parce que j’essayais moi-même de prendre celui-ci pour qu’elle me comprenne au téléphone ou via Skype. Le jour où nous nous sommes enfin vues, je l’ai remarquée immédiatement. Ses cheveux couleur dorée et ses yeux aussi bleus que l’océan, son sourire blanc bien alignées. Nous nous sommes embrassées comme si rien autour n’existait, elle avait ses mains sur mes hanches et remontaient le long de mes flancs. Sa bouche sucrée me dévorait, c’était parfait pour un premier baiser. Je sentais toute sa passion, son amour et sa tendresse à travers celui-ci. Je suis restée bouche-bée face à autant de beauté, je croyais sortir tout droit d’un compte de fée. Je pris sa main et l’emmenait à ma voiture afin de la ramener chez moi et qu’elle y dépose ses bagages. Pendant le trajet, elle avait posée sa main sur ma cuisse et remontait lentement. Je savais très bien où elle voulait en venir, c’est pourquoi je ne perdis pas de temps à aller ma garer dans un endroit où nous serions seules. Je l’ai emmenée sur la banquette arrière et j’ai foncé, j’ai foncé droit sur elle. Mes lèvres l’embrassaient un peu partout, je la découvrais du bout des doigts. Elle était douce, mon amour, elle était divinement parfaite. Je lui embrassais le cou, elle avait ce parfum terriblement attirant. Je ne pus m’empêcher d’aller scruter ses seins du coin de l’oeil avec son décolleté, j’appuyais ma main sur son sein, caressant le côté de mon pouce. Je sentais son souffle sur mon épiderme et j’écoutais sa respiration chaude s’accélérée au rythme de notre ébat qui commençait à devenir plus chaud. Je lui retirais son haut, ma bouche prit possession de son buste en descendant vers le devant de ses seins qui firent bientôt dénudées de son soutien-gorge. Dieu qu’ils étaient beaux, pas trop gros ni trop petits. Une poitrine fièrement dressée et ses tétons bien pointées que pour moi. Je les pris en bouche et je suçotais à merveille ces bouts de chairs tendus, ma main prit la direction du bas de son corps pour qu’elle se retrouve à l’intérieur de sa jupe. Je décalais son string, elle était complètement trempée de désir. Elle humidifiait mes doigts, ses aines, ses cuisses et même la banquette en cuir. Elle dégoulinait d’amour et d’excitation à la fois, mon coeur battait à la chamade. Elle était toute lisse, un vagin à en faire tomber plus d’une et même d’un. Elle était à moi, et je compte encore aujourd’hui la garder pour moi. Je titillais son clitoris gonflé de mon majeur, ses gémissements fins me faisaient moi-même mouillée et ses doigts prirent vite la direction de l’ouverture de ma robe pour la descendre. Elle caressa mon sexe à travers mon string et je ne tarda pas à rejoindre mon bébé dans cette osmose de mouille, je mouillais pour elle. Je l’allongea un peu mieux pour qu’elle puisse bien écartée ses cuisses puis je plongea ma tête pour aller goûter à ce petit bijou. Ma langue s’activa sur ses petites lèvres, déposèrent un baiser. Elle gémissait encore et encore, ma bouche se récoltait d’un cocktail de sa cyprine. J’enfonçais ma langue dans son con tout humide avant de la remplacer par mes doigts. Ceux-ci s’enfoncèrent comme dans du beurre, elle était tellement trempée. Et je la comprenais car je vivais la même chose, j’activais mes doigts en elle rapidement. La chaleur devenait buée sur les vitres tellement nous atteignons l’apothéose de ce plaisir, je remontais ma main libre sur ses seins pendant qu’elle me caressait mes cheveux bruns brillants. Je bougeais bien ma langue sur elle et j’en récolta le prix de son plus bel orgasme, elle m’éclaboussa la bouche alors que j’allais y mettre un troisième doigt. Elle avait jouit à cause de moi, elle était trop excitée et son cris me l’avait prouvée. Pourtant, je continuais encore parce que je voulais lui faire connaître le paradis. Sa cyprine était devenue un peu plus épaisse maintenant qu’elle avait jouit et c’était savourant. Elle me poussa et ce fut mon tour, elle prit mes gros seins dans sa bouche après m’avoir retirer mon soutif. Prit mon string et ma robe entre ses doigts et m’écarta les cuisses outrageusement pour venir immédiatement me lécher. Elle était déchaînée et dévouée à me rendre la pareille. Et croyez-moi, c’était encore meilleur qu’une bite. C’était plus bon que jamais parce que je l’aimais, ce n’était pas une baise ordinaire. C’était de l’amour, elle était devenue toute ma vie et bordel que les orgasmes sont meilleurs. Je l’aime, elle m’aime. Le sexe est divin. Quoi demander de plus?
