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Premiére fois de Benny

Chapitre 1

Hétéro
Je me souviendrais toujours de ma première fois, ça s’est passé avec Cécilia. Cécilia m’a tout de suite tapé dans l’œil la première semaine de notre rentrée en première STG. Assez grande parmi les autres filles, brune avec des lunettes noires et un petit manteau en cuir. A force de la regarder j’en ai presque oublié d’écouter la directrice qui faisait l’appel, pour nous diriger dans nos différentes classes. C’est ainsi que je suis arrivé 10 min en retard le premier jour de la rentrée ; pour se faire remarquer il n’y a pas mieux. Mais je crois que ça m’a porté chance, comme pour prolonger mon voyeurisme, je me retrouve assis à côté de Cécilia, la seule place disponible. On aurait pu penser qu’elle l’avait fait exprès en remarquant comment je l’avais dévisagée dans la cour, ou plus simplement un signe du destin. Dans tout les cas c’est sûr maintenant, elle me plait, les signes ne me trompent pas, j’ai chaud et j’ai des sueurs froides. Je me vois mal tenir toutes l’année sans rien faire avec elle. Pourtant d’habitude je ne suis pas d’un tempérament bourrin, je suis plutôt celui qui prend son temps et qui fait tout en finesse; remarque c’est peut être pour ça que je suis encore puceau. Pendant que je me faisais ces réflexions, Cécilia avait eu le temps de me faire un petit mot et me le tendit discrètement. Quand je le pris nos mains s’effleurèrent, et là c’est le black out total…je ne sais pas combien de temps je n’ai pas du avoir de réaction mais il est sûr qu’elle a dû le remarquer car elle me chuchote à l’oreille : « bah ouvre-le ! ». Je m’empresse donc de l’ouvrir et voici ce que j’y trouve :« Alors ? A me baver dessus, on est en retard ? C’est flatteur… »Alors la, je ne sais pas trop ce qui me prend, moi Benny le timide, celui qui avant ne pouvait pas aligner une phrase compréhensible devant une fille qui me plaisait, lui sors sans préliminaire et alors qu’elle me dévisageait avec un sourire de fille sûre d’elle : « T’es célibataire ? ».C’est ainsi que le première jour de ma première année en STG je me retrouve à sortir avec la fille qui m’a plu dès le début. Logiquement ça m’arrivait souvent de flasher sur une fille dès la rentrée mais elle restait un fantasme inaccessible tout le long de l’année, celle qui me procurait la jouissance quand je me masturbais.
Après un mois de bisoutage à la récré, de caresse intime à l’heure du midi et de léchouille le soir, le moment de mon dépucelage est arrivé, mais pour comprendre comment nous somme arrivé à franchir le pas, alors que pendant un mois nous nous satisfaisions sans, il faut remonter à l’heure du midi de ce jour mémorable. Souvent pour moi le moment le plus existant de la journée, car on avait pour l’habitude de se caresser le midi mais sans jouir, ainsi on gardait notre frustration toute l’après-midi pour enfin se lâcher le soir à base de cunni pour elle et de fellation pour moi. Et je puis vous assurer que vous atteignez une jouissance phénoménale, qui même moi, n’ai plus atteint depuis que je ne sors plus avec elle. Donc comme je l’ai dit, après avoir mangé, on commence nos caresses. En fait c’est clair, on commençait à se connaître, à savoir ce qui plaisait chez l’autre, c’est pourquoi lorsque la première fois que l’on s’est caressé on a passé une heure pour atteindre le point situé juste avant le point de non retour, et que maintenant, en 15-20 min on y était. Je la connaissais presque par cœur ma Cécilia, pour les caresses. C’était simple, je n’avais qu’à passer délicatement ma main sous son pull, lui caressant tendrement le dos, en effleurant mes ongles sur sa peau, je partais des épaules et finissais à la limite de son jeans taille basse. Je remontais tendrement, presque à la façon d’un massage, sur ses flancs en forçant un peu pour détendre la chair. Arrivé à son soutien-gorge je le dégrafais, le retirais par le bas, et remontais mes mains sur ses seins que j’empoignais. J’étais donc dans son dos avec mes mains sur ses seins et effectuais de légères pressions de mon bassin sur ses fesses pour lui faire ressentir mon excitation. Ensuite je me levais, pressé de la voir nue, on se retrouvait face à face et on s’embrassait, lentement, passionnément, comme un dernier baiser, le temps de faire monter l’excitation, jusqu’à faire exploser notre patience contre l’envie de se caresser, de se découvrir. On se déshabillait, parcourant nos corps respectifs de baisers, de caresses, de haut en bas. Plus j’allais vers le bas, la dénudant petit à petit, plus je m’arrêtais longtemps sur des parties aux effluves existantes ; ses seins, son nombril et enfin source de tout le plaisir, son minou ; qui après ma demande était lisse et doux comme la peau d’un nouveau né. Je ne me lassai jamais à son plus grand plaisir, de caresser, de sentir, d’embrasser, d’effleurer son clitoris et ses grandes lèvres de mes doigts ou de mon nez, de ma langue ou de mes lèvres jusqu’à plus soif et jusqu’où elle ne pouvait plus tenir, quand ces gémissements commençaient à s’effacer et faisaient place au silence, correspondant au moment où elle retenait sa respiration pour pouvoir ressentir avec plus de force le plaisir qui montait, et qui se rependait dans son corps. Partant de sa chatte, se propageant tel un virus que rien ne pouvait arrêter, dans son ventre, le faisant bouger plus lentement et plus intensément, faisant frémir son nombril, et continuant sans relâche sa tâche de transmission du plaisir. Allant vers les seins sans pitié, pour les faire s’ériger, les faire durcir à en faire mal, et n’avoir plus qu’une envie…les pincer, les malaxer…pour, comme un moteur, redonner de la vigueur au virus du plaisir. A ce stade il ne prévient pas et arrive à la bouche, enlevant notre salive, asséchant notre gorge, et donnant un plaisir jouissif à lécher nos lèvres. Arrivé à nos yeux il est presque trop tard pour le repousser, nos yeux se ferme, la vision ne nous sert plus à rien, les yeux se révulsent et là…..Tout s’arrête le point de départ de ce virus du plaisir n’étant plus alimenté par ses caresses et ses léchouilles si élémentaires pour lui, le virus stoppe, tombe en panne, et redescend, plus vite qu’il ne monte, à une vitesse vertigineuse, et qui laisse un goût d’amertume et de colère pour celui qui n’est pas allé au bout de cette donation…Mais c’est comme ça que je le fais avec Cécilia, elle le sait et sait combien ça sera encore plus intense ce soir.
La suite dans le prochain récit où vous aurez les détails tout aussi croustillants de ma fellation et aussi de ma première pénétration m’enlevant à tout jamais mon pucelage.
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