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Ma première soirée de vacances en Afrique

Chapitre 1

Erotique
J’arrive à Abidjan en fin de soirée. A peine suis-je sorti de l’aérogare que de jeunes Africaines m’accostent. Je remarque qu’elles portent toutes un sac en bandoulière. Mais elles ne voyagent pas ! Elles se proposent comme "guides" ou "accompagnatrices" pour le temps que je passerai dans leur beau pays. Je suppose que le sac contient ce qu’il leur est nécessaire pour passer quelques jours hors de chez elles. Leurs cheveux sont trop longs (à l’évidence, des ajouts) et leurs jupes trop courtes. Par moments, je peux voir le coton blanc de leurs petites culottes. Bientôt, trois ou quatre se bousculent autour de moi. Je me faufile vers les taxis. Je monte dans le premier qui se présente : direction l’hôtel ! Je regarde par la lunette arrière. Les filles s’en prennent maintenant à un autre touriste. Il est gros et bedonnant. Beurk ! Mais peut-être auront-elles plus de chance avec celui-là ? C’est connu que certains Occidentaux ne viennent au Cameroun que pour goûter aux charmes de ce genre de donzelles.
L’hôtel est dans un coin tranquille, à l’extérieur de la ville. Je suis bien accueilli. Ma chambre est simple mais confortable. Le patron me propose de participer à une "soirée exotique" dans un bar à proximité. Il est tard et je suis fatigué. Mais je suis aussi décidé à bien profiter de mes vacances ! Alors, d’accord pour la soirée exotique ! Je me douche. Me voilà parti ! Je m’attends à du folklore, à des danses tribales, des pagnes, des tambours... que sais-je ? En fait, il s’agit d’un bar à l’européenne. Les clients sont peu nombreux. Ce sont des Blancs, attablés devant des whiskys. De noires créatures les enlacent. Je m’assois face à un touriste qu’embrasse à pleine bouche une jeune beauté, dont la vulgarité me trouble. Son petit haut me semble comme suspendu à ses seins. Sa jupette se trousse sur des cuisses que je trouve absolument impeccables. Quand la fille se pousse du col, pour mieux embrasser son compagnon, je distingue le slip qui lui pénètre sans vergogne dans la raie des fesses. Des cuissardes complètent l’accoutrement. Bref : l’ambiance est glauque ! Je suis déçu mais en même temps intrigué. Au lieu de partir, je commande un verre.
Une fille ne tarde pas à apparaître. Elle sort des toilettes, suivie par un touriste qui se reboutonne ostensiblement la braguette. Celui-ci quitte l’établissement. La fille me dévisage. Gêné, je lui adresse un sourire timide. Sans doute prend-elle mon geste pour une invitation ? Elle s’assied à côté de moi. Impossible de ne pas lui reluquer le décolleté ! Elle n’a pas de soutien-gorge. Pour que je voie mieux encore, la jeune Africaine tire sur son bustier. Les seins jaillissent. Je suis stupéfait ! La fille rit de bon cœur de ma surprise. Mais ce n’est pas fini ! Elle écarte les cuisses et me fait signe de regarder par dessous. Je comprends confusément qu’elle n’a pas de culotte non plus ! Je n’ose pas me pencher. Je sens que je transpire. La moiteur équatoriale, l’alcool et surtout cette fille ! Je dois être écarlate ! Jamais, je ne me suis trouvé en pareille situation.
Je préfère la franchise. Je reprends mon souffle et demande carrément à mon interlocutrice si elle se prostitue. Me croyant probablement grand naïf, la fille me précise qu’elle n’est pas une oeuvre de charité. Aussitôt, j’en profite pour lui dire qu’il n’est pas dans mes grands principes de payer pour faire l’amour. Je crois m’en débarrasser ainsi. Basta ! Mais curieusement, la fille semble ravie.— Je ne fais pas l’amour, je suce, susurre-t-elle, avec un naturel désarmant.Le sperme, c’est sa potion magique, assure-t-elle. Elle appelle ça sirop, nectar, suc vital. Tout un vocabulaire étrange. Elle me regarde, coquine et coquette : — Alors, tu me laisses te sucer ? La crème de toubab, je raffole !Sans même attendre ma réponse, la fille dégouline entre mes jambes. D’une main experte, elle me sort la queue, sans se soucier des clients du bar.— Qu’est-ce que tu me dis ? demande-t-elle.Je ne sais plus qui je suis. Je me sens oppressé. J’ai besoin d’un soulagement. J’entends une voix qui est la mienne et qui dit : "Suce !" J’ai honte.
Quelques minutes plus tard, je jouis dans un dernier claquement de langue, suivi d’un soupir. La fille se relève. Elle est bien jolie. Elle a tout avalé ! Je lui remets le petit cadeau qu’elle me réclame. Personne n’a prête attention à la scène. Finalement, je suis servi, en guise de folklore ! Quand nous sortons, je réalise que je suis encore débraillé. Je me surprends à me reboutonner la braguette sans plus d’embarras que le type de tout à l’heure. Dehors, un homme traverse une sorte de terrain vague et se dirige vers l’Africaine.— Qui c’est ? fais-je.— Mon père.— Tu sens l’alcool ! dit l’homme à sa fille, d’un ton moins furieux qu’il ne le voudrait.— Écoute papa, j’ai dix-neuf ans. C’est samedi soir, j’ai droit à un minimum de liberté !Ils s’éloignent. J’entends encore :— Si tu crois que je ne t’ai pas vue avec ce toubab, en train de te conduire comme...
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